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La Connaissance protège, l'Ignorance expose au péril … (Cassiopéens) Traduction par Micheline Deschreider Chapitre IX:Ou: Oui, je sais que j’avais dit que nous allions revenir à l’Onde proprement dite, et c’est ce que nous allons faire. Mais d’abord il me faut faire une nouvelle petite incursion dans le monde amusant et intéressant des “Monstres”! Ouh! Des monstres! Vous vous demandez ce que les monstres peuvent bien avoir de commun avec l’Onde? Eh bien, probablement beaucoup de choses. Tout au long de l’Histoire on a noté que des créatures étranges et anormales visitaient notre monde. L’exemple le plus récent et le plus médiatisé est celui du “ Chupacabras”, qui sévit principalement en Amérique Latine. Tous ceux d’entre vous qui ont eu l’occasion de lire des rapports au sujet de cette créature bizarre feront immédiatement le lien avec les cas que je vais relater ici pour le plaisir du lecteur. "Dans une région reculée de la France du XVIIIe siècle, une bête errante se livrait à des carnages tellement terribles que ses exploits sanglants sont passés dans la légende...." Ainsi débute une des versions de l’histoire de la bête du Gévaudan, étrange et horrible créature qui commença à semer la terreur en juin 1764, et continua à mystérieusement apparaître et disparaître pendant plus de deux ans. Tout commença dans la forêt de Mercoire, près de Langogne, alors qu’une jeune femme était en train de garder ses vaches. Une bête hideuse fonça soudainement sur elle. Ses chiens (bizarrement) s’enfuirent, et elle aurait été tuée si les vaches n’avaient pas gardé le monstre à distance en le menaçant de leurs cornes. La jeune femme ern fut quitte pour quelques égratignures, des vêtements déchirés, et des nerfs ébranlés (les nerfs ébranlés SEMBLENT ETRE une des constantes dans ce type de cas, ce qui peut être constituer une “connexion” comme nous allons le voir). Elle fit aux gens du village la description de la bête, qui était à peu près de la taille d’une vache, avait un poitrail large, une grosse tête et un cou épais, de petites oreilles dressées, et le nez d’un lévrier. Deux longs crocs pointaient de chaque côté de sa gueule noire. Sa queue était longue et exceptionnellement mince, et une ligne noire allait du sommet de sa tête au bout de sa queue. Elle dit également que la bête pouvait faire des bonds d’environ neuf mètres. En général, ceux qui entendirent la description pensèrent qu’il s’agissait d’une sorte de loup gigantesque. Sommes-nous ici devant un récit hystérique? Je veux dire : qui a jamais entendu parler d’un loup aussi gros qu’une vache? Un loup qui peut faire des bonds de neuf mètres d’un seul coup? Gardez en mémoire les “bonds” également.... Au cours des mois qui suivirent, la bête attaqua des femmes et des enfants, ainsi que des hommes isolés qui menaient paître leurs troupeaux. Nombreux d’entre eux furent dévorés et emportés. On trouve aussi des cadavres à moitié dépecés et des membres arrachés, gisant çà et là. Le 8 octobre 1764, deux chasseurs virent la bête et tirèrent sur elle à une distance de seulement 10 pas. La bête tomba mais se releva immédiatement. Les chasseurs tirèrent encore, et la bête retomba. Mais elle se releva et se précipita en chancelant vers un bois proche. Pendant qu’elle s’encourait, les chasseurs tirèrent encore, et à chaque fois la bête tomba, se releva, et poursuivit sa course. Les chasseurs étaient sûrs qu’elle avait été sérieusement blessée et qu’elle serait trouvée morte le jour suivant. Au lieu de cela, un nombre plus important encore de personnes furent tuées pendant les jours qui suivirent, comme si la bête se vengeait des attaques qu’elle avait subies. Le mois suivant, un certain capitaine Duhamel prit en charge la situation et fit appel aux paysans pour une battue, tandis que lui-même et sa compagnie de dragons (40 fantassins et 17 cavaliers) se préparaient à tuer la bête traquée. Mais la bête ne tomba pas dans le piège. Chaque fois qu’ils pensaient l’avoir encerclée et commençaient à tirer, elle parvenait à s’échapper. Une importante récompense fut offerte pour la capture de la bête, ce qui amena des chasseurs de tous les coins de la France. La traque se poursuivit pendant des mois. Les paysans se lassèrent bientôt de tous ces chasseurs et soldats qui mangeaient leurs provisions et piétinaient leurs récoltes, et des rumeurs de mécontentement commencèrent à se répandre. A la même époque, la bête se lança dans des attaques encore plus terribles que précédemment, sous le nez des chasseurs et des soldats.! C’était comme si elle se nourrissait des sentiments négatifs, et elle devint encore plus audacieuse et forte. Le roi Louis XV envoya dans la région un chasseur fameux : M. Denneval. Denneval était réputé avoir tué 1200 loups. Il commença à traquer la bête avec ses lévriers en février 1765. En mars, alors que Denneval avait traqué la bête pendant un mois, les trois enfants d’une famille du nom de Denis étaient en train de garder leur bétail près de Malzieu. Jacques, âgé de 16 ans, avait allumé un feu sous un surplomb rocheux, et Julienne, qui avait dans les 20 ans, s’était éloignée un moment. Jeanne était auprès de Jacques qui surveillait le feu. Soudain, elle poussa un cri. La bête avait sauté sur elle et l’avait saisie à la tête. Jacques parvint à la sauver en poussant la bête dans le feu et en l’y maintenant jusqu’à ce qu’elle parvienne à se dégager en hurlant. Jeanne s’en tira avec deux blessures béantes (une derrière chaque oreille) et une épaule déchirée. Mais elle devint folle et ne recouvra jamais ses esprits. Elle souffrit d’accès de terreur qui la faisaient trembler et crier, comme si la bête était de retour. Sa soeur Julienne, qui était présente à l’époque mais s’était éloignée un moment, se sentait coupable de n’avoir pas protégé Jeanne, et on l’entendit dire : « maintenant ce sera la bête ou moi ». Elle commença à s’ « exposer » à la bête en parcourant les pentes de Malzieu. Jacques Denis jura de venger sa soeur Jeanne, et fut rejoint par Denneval, le chasseur renommé. La tactique utilisée par ce chasseur fut de laisser la bête acquérir assez de confiance pour qu’elle en vienne à s’aventurer en terrain découvert, de sorte que les chasseurs et les chiens puissent alors l’encercler, plutôt que de tenter de l’acculer dans un coin. Cependant, cette stratégie ne donna elle non plus aucun résultat. La bête était souvent poursuivie par des chiens et des dizaines d’hommes, qui s’épuisaient rapidement à courir sur un terrain difficile, mais le monstre continuait à sévir avec une endurance qui semblait surnaturelle. Et il laissait toujours derrière lui des cadavres ensanglantés d’enfants, des corps déchirés, et des morceaux de corps dépecés. Le 29 avril 1765, un noble nommé de la Chaumette localisa la bête près de sa demeure à Saint-Chely. Il la vit épier un berger dans un pâturage, et cria à ses deux frères d’aller prendre leurs fusils; tous trois se mirent en embuscade. Ils tirèrent sur la bête et l’atteignirent. La bête tomba sur le sol et roula à deux ou trois reprises. De la Chaumette fit feu une nouvelle fois. La bête roula vers le bois, parvint à s’y abriter, et s’échappa. De larges taches de sang couvraient le sol et les buissons aux alentours; il était donc clair que la bête avait été touchée. Chacun pensa qu’elle s’était éloignée pour aller mourir quelque part. Ceci avait lieu au début de la Foire de printemps de Malzieu, en mai 1765, de sorte que de grandes réjouissances furent organisées pour célébrer la mort de la bête. Au beau milieu de ces festivités, un cavalier arriva au galop sur la place et cria : «Marguerite est morte. La bête l’a attrapée! ». Marguerite était une amie de Jacques Denis, le jeune homme qui avait juré de tuer la bête pour venger sa soeur Jeanne. Il se précipita à la recherche de Marguerite. Elle se trouvait, un peu à l’extérieur du village, gisant dans son sang, la gorge tranchée (ne semble-t-il pas un peu étrange que cette seule famille ait eu de si nombreuses « rencontres » avec la bête ?). Ce même jour, la bête tua trois personnes, mais ne se soucia pas de les dévorer, comme elle le faisait habituellement. Une autre série de « revanches » pour avoir été pourchassée ? De toute manière, ces morts atroces rendirent les paysans fous de rage et de désespoir. Empoignant fourches, piques, bâtons, baïonnettes et tout ce qui leur tombait sous la main, ils mirent leurs chiens sur les traces fraîches de la bête, et menés par un Jacques Denis désespéré, se jurèrent de trouver la bête! Il se fit que Jacques se retrouva rapidement en face de la bête pour la deuxième fois. Il l’attaqua à la baïonnette. La bête sauta sur lui et l’aurait tué, si la foule des villageois n’était pas arrivée à ce moment même, ce qui fit fuir la bête. Le roi était en fureur, parce que cette bête rendait la France ridicule aux yeux de l’Angleterre, qui mettait à profit cette affaire pour se gausser. Le roi ne voulait tolérer plus longtemps cette situation, et envoya son chasseur personnel, Antoine de Beauterne, régler le problème. Le grand chasseur Denneval, avait déjà abandonné la partie après la débâcle de juin. A la même époque, la bête se remit à l’oeuvre. Le 16 juin elle attaqua une petite fille, qui fut sauvée à la dernière minute. Le 21 elle tua un garçon de 14 ans, devora une femme de 45 ans, et emporta une autre petite fille. L’Eglise se mit alors de la partie en déclarant que la bête était « un émissaire du démon » envoyé pour punir les gens de leurs péchés (combien typique !). Des rumeurs de sorcellerie, de magie noire et de loups-garous commencèrent à circuler; il devint manifeste qu’on n’avait ni affaire ni à un loup normal « géant », ni à rien de connu.! Alors, pendant trois mois, l’émissaire du roi, Antoine de Beauterne, ne proposa rien. Il inspecta la région, dressa des cartes, étudia les chemins empruntés par la bête, et se contenta de faire une analyse générale du problème. Enfin, le 21 septembre, il organisa une battue avec 40 chasseurs locaux et 12 chiens. D’après les instructions de Beauterne, basées sur son « intuition » les rabatteurs enclerclèrent un ravin dans le bois du Pommier. Soudain, les chiens se mirent à aboyer avec fureur. La bête se trouvait là, en effet, et donc l"analyse de Beauterne avait été correcte. Les chiens furent lâchés et la bête fut forcée de quitter la clairière. Elle se mit à tourner sauvagement à l’orée du bois, essayent de trouver une issue. Elle hésita, puis s’approcha, dans la lumière du soleil. De Beauterne tira et plusieurs balles s’enfoncèrent dans l’épaule droite de l’animal. Une balle s’enfonça dans son oeil droit et dans son crâne. La bête s’abattit et les chasseurs sonnèrent de la trompe pour annoncer la victoire. Soudain, à la stupéfaction générale, la bête se remit debout et se dirigea vers Antoine de Beauterne. Un homme fit feu et la balle lui traversa une cuisse. Mais apparemment dotée d’une énergie surnaturelle, la bête se tourna, trouva un trou dans le « filet » et s’enfuit dans les prés. Là, elle s’effondra pour de bon. Elle était morte enfin. Elle mesurait un mètre quatre vingt du bout du nez à la base de la queue, et pesait 72,5 kilos. Elle avait une grosse tête, et des crocs d’environ 4 cm de long. On la fit naturaliser, et on l’envoya au roi. Par la suite, elle fut exposée au Musée des Sciences Naturelles, où on la conserva jusqu’au début du XXe siècle. Je n’ai pas été capable de déterminer où elle se trouve à présent, car la plupart des documents disponibles sont en français. Mais l’histoire ne finit pas là! Il semble que pendant les deux mois suivants, jusqu’en novembre 1765 – les tueries se poursuivirent, mais il fut défendu d’en parler, par ordre du Roi! Alors, ou bien ce n’est pas la « bonne » bête qui avait été abattue, ou bien il y en avait DEUX! Le mois de décembre fut un cauchemar. Les gens se barricadèrent chez eux, craignant la bête qu’on ne pouvait nommer et dont on ne pouvait pas discuter. Julienne Denis, qui avait déclaré « ce sera la bête ou moi », avait continué à errer dans la campagne, dans un état de semi-folie, et elle disparut le jour avant Noël. Jacques Denis se mit à la recherche de sa soeur. On ne la revit plus jamais, mais des restes impossibles à reconnaître furent trouvés dans un ravin étroit une semaine plus tard. Pendant tout l’hiver le carnage continua. De nouvelles recherches furent entreprises, mais « l’indignation populaire » et « l’hystérie collective » furent étouffées, sur ordre du Roi. L’hiver 1766/67 fut plus calme : il n’y eut que quelques disparitions. Mais au printemps, le carnage reprit de plus belle. Il est impossible de connaître le nombre des victimes, parce que les ordres de répression du roi eurent pour résultat que de nombreux décès ne furent pas enregistrés comme tels, et que de nombreuses familles, craignant la colère royale, refusèrent de déclarer ces décès. Mais de mars à juin 1767 on pense qu’il y eut encore au moins 14 victimes de la bête, dans une petite zone près de Paulhac. En mai et en juin, les paysans commencèrent à faire des pélerinages, priant pour être délivrés de la bête. Un des pélerins, Jean Chastel, reçut trois cartouches bénies lors de son pélerinage. Le 19 juin 1767, une autre battue, de 300 chasseurs et rabatteurs, fut organisée par un noble de la région. Jean Chastel se joignit à eux et se plaça sur le Sogne d'Aubert, de la même manière qu’Antoine de Beauterne s’était placé dans le ravin de Beal lorsque la première bête avait été tuée. Il ouvrit son livre de prières et se mit à lire en attendant la bête. La bête, fuyant chasseurs et rabatteurs, déboula en face de Chastel. Chastel termina calmement sa prière, ferma son livre, enleva ses lunettes, et mit le tout dans sa poche. Il leva alors son fusil et tira. La bête tomba et on dit que Chastel s’exclama : « tu ne tueras plus ! ». D’après diverses sources, lorsqu’on ouvrit le ventre de la bête on trouva dans ses entrailles les restes d’une petite fille. Pendant plusieurs emaines, la carcasse de la gigantesque créature fut promenée dans toute la campagne pour célébrer sa mort. On dit qu’à l’endroit où la bête s’est abattue, l’herbe n’a jamais repoussé. H. Sidky, auteur de Witchcraft, Lycanthropy, Drugs, and Disease: An Anthropological Study of the European Witch-Hunts. [1] (New York: Peter Lang Publishing, Inc. 1997) writes: Ceux qui croyaient que les tueries étaient l’oeuvre d’une seule créature - un loup-garou venu de l’enfer - nommèrent celle-ci : "Bête du Gévaudan." Des chasseurs de loups professionnels furent amenés sur les lieux avec leurs meutes de chiens, ainsi que plusieurs détachements de dragons, pour traquer l’animal infernal, tandis que les pouvoirs publics promettaient d’importantes récompenses. A un moment, près de 20.000 hommes en provenance de 73 paroisses, se joignirent à la chasse ; le résultat de cette traque fut la mort de plus de mille loups, mais la Bête ne se trouvait pas parmi eux. Les insaisissables créatures restèrent invisibles et poursuivirent leurs activités meurtrières jusquà ce que le mâle du couple fût abattu le 21 septembre 1766, et la femelle quelques mois plus tard. Les investigations faites par la suite prouvèrent que les événements décrits avaient bien eu lieu et que la créature était un « une espèce rare de loup ». Ce fut du moins l’opinion des experts à l’époque. Et des cryptozoologues confirmèrent plus tard ces comptes rendus en se basant sur les rapports faits par les chirurgiens. Une "espèce rare de loup" ont-ils dit? Rare comment? Deux seulement pour le monde entier? Ou bien d’autres loups de cette espèce ont-ils été trouvés en d’autres temps et en d’autres lieux? Il est difficile de faire une évaluation de l’histoire, parce que la plupart des documents sont en français, et que les rapports de l’époque ont été indubitablement altérés, de sorte que les études ultérieures, encore alourdies par des altérations modernes, sont encore plus obscures. J’ai pensé qu’il était plutôt curieux que lorsque la Bête avait été abattue et qu’on avait pensé qu’elle était morte, elle était revenue, plus acharnée que jamais, comme si elle cherchait consciemment à se venger des blessures quii lui avaient été infligées, ou parce qu’elle possédait des pouvoirs surnaturels acquis à la suite des attaques dont elle avait fait l’objet! La Bête du Gévaudan a été une sorte de « merveille d’un jour » , par comparaison avec Jack-le-Bondissant qui a terrorisé les bonnes gens de la ville de Londres pendant des dizaines d’années! Voilà un autre cas des plus intéressant, qui mérite qu’on s’y attarde un peu. De nos jours, les histoires de Jack-le-Bondissant sont considérées comme des fruits de l’imagination victorienne Une théorie a été qu’elles avaient été répandues par des domestiques ou des gens de basse extraction qui trouvaient ainsi une justification à leur propre négligence ou à leurs propres méfaits. Selon un autre théorie, ces histoires ont été concoctées pour effrayer les petits enfants qui « seraient emportés par Jack-le-Bondissant » s’ils n’obéissaient pas. Le fait est que les apparitions de Jack-le-Bondissant ont été largement couvertes par la presse locale et nationale (bien que cela ne soit pas, non plus, une garantie de fiabilité, bien sûr!) Personne ne sait avec certitude quand Jack-le-Bondissant a fait sa première apparition, et certaines sources indiquent que les premiers récits datent de 1817. Mais c’est en 1837 seulement que Jack-le-Bondissant devint l’objet de l’intérêt général. A Londres, en septembre 1837, Jack attaqua trois femmes en pleine nuit. L’une des victimes, Polly Adams, raconta que sa robe avait été déchirée, ce qui avait permis à Jack de lui égratigner le ventre avec ses « doigts de fer » (apparemment une référence à de longues griffes). Par la suite, les victimes décrivirent Jack comme étant un homme grand, mince et doté d’une grande force, qui portait une cape sombre, et dont les yeux brillaient d’une lumière rouge ou orangée ; il avait aussi le pouvoir de cracher des flammes bleues. Les agressions se poursuivirent, au point qu’ en janvier 1838, le Lord Maire de Londres, Sir John Cowan, déclara Jack-le-Bondissant ennemi public. Un groupe de vigiles fut créé dans le but de capturer Jack, mais celui-ci échappa à toutes les tentatives. Le bruit se répandit qu’il parvenait à s’échapper en faisant des bonds de 8 à 9 mètres d’un coup ! (Où donc avons-nous déjà entendu ça,?) Le mercredi 18 février, Lucy Scales, une jeune fille de 18 ans, et sa soeur Margaret revenaient chez elles après avoir rendu visite à leur frère. Lucy marchait un peu en avant de sa soeur quand soudain, en passant devant l’entrée d’une allée, une forme surgit des ténèbres, crachant du feu au visage de la jeune fille, puis s’éloigna en faisant de grands bonds. Lucy s’effondra sur le sol, prise d’ une crise de nerfs. Deux jours plus tard, le 20 février, Jane Alsop répondit à un violent coup de sonnette au domicile de ses parents. Sur le seuil de la porte se tenait un homme extrêmement agité qui se déclara policier, et dit « Pour l"amour du Ciel, apportez-moi de la lumière, car nous avons attrapé Jack-le-Bondissant dans l’allée ! ». Jane alla prendre une chandelle et la remit au policier, qui rejeta brusquement sa cape. Sous ce vêtement, il était vêtu très bizarrement : il portait un grand casque et un costume blanc qui lui collait au corps et qui semblait fait de toile cirée. Ses yeux devinrent rouges et protubérants quand il se mit à fixer Jane, et il commença à cracher des flammes bleues dans sa direction! (Ici, je me pose une question à propos de cette chandelle. Est-ce qu’il lui fallait disposer d’une « flamme » pour pouvoir « cracher du feu » comme un dragon ? La présence d’une bougie ou autre flamme n’est pas mentionnée dans le compte rendu de Lucy Scales, mais il est un fait que les cracheurs de feu actuels utilisent une flamme pour enflammer les mixtures volatiles qu’ils se versent dans la bouche. Il ne semble n’y avoir aucune allusion à une odeur de gaz, mais cela ne veut pas dire qu’il n’y en avait pas. Les témoins peuvent avoir été trop perturbés pour s’être attachés à un tel détail.) Enfin, Jane se trouva temporairement aveuglée, et Jack l’agrippa avec « ses doigts comme des serres », déchira sa robe, et égratigna profondément sa peau. Naturellement, Jane cria de toute la force de ses poumons, et ses deux soeurs accoururent à la rescousse, l’arrachèrent aux griffes du monstre, et claquèrent la porte au nez de celui-ci. Une semaine plus tard, Jack voulut réitérer son exploit, mais sa victime potentielle devait avoir entendu parler du premier incident et se tenait sur ses gardes. Jack s’enfuit, et un témoin dit qu’il y avait sur son vêtement, un écusson décoré d’une lettre "W" brodée en or (?) On croirait voir un des "Superhéros" actuels! Quoi qu’il en soit, les apparitions de Jack devinrent de moins en moins fréquentes, jusqu’à ce qu’en 1843 débutât une nouvelle vague de terreur. Il apparut alors dans le Northamptonshire, le Hampshire et dans la région d’ East Anglia. On vit Jack en 1845 dans un « bas quartier » (immortalisé par Charles Dickens dans Oliver Twist), où il accula dans un coin une jeune prostituée de 13 ans, lui souffla du feu au visage, et la jeta ensuite dans un caniveau où elle se noya. C’est ainsi que Jack ne se contenta plus de terroriser les gens mais devint un meurtrier. Il y eut des rapports isolés concernant des activités de Jack-le-Bondissant au cours des 27 années qui suivirent, mais la plupart sont douteux car les témoignages sont peu convaincants. Mais en novembre 1872, Londres fut à nouveau dans un état d’agitation extrême lorsqu’on entendit parler du « fantôme de Peckham » qui, selon les journalistes de l’époque, était aussi inquiétant et mystérieux que Jack-le-bondissant l’avait été pour la génération précédente ». Jack fit une réapparition supposée en mars 1877 à la caserne d’Aldershot, et un soldat tira dans la direction de la forme en fuite, mais il semble que cette forme était insensible aux balles. Dix ans plus tard, en 1887, on suppose que c’est encore Jack qui effraya plusieurs jeunes personnes dans le Cheshire en se précipitant dans la pièce où elles étaient assemblées. Il balaya tous les bibelots du manteau de la cheminée puis disparut en courant. Le bruit courut que cette apparition avait été, en réalité, un mauvais tour joué par les fils de plusieurs hommes bien connus, qui avaient décidé que l’un d’entre eux devrait se faire passer pour le Jack original, de manière convaincante. Plusieurs théories ont été émises quant à la personnalité de l’étrange créature qui pouvait faire des bonds gigantesques, cracher du feu, et qui avait des yeux comme des charbons ardents ; mais aucune explication satisfaisante n’a jamais pu être fournie. Personne n’a jamais été pris, personne n’a jamais été positivement identifié, en dépit des comités de vigiles mis sur pied à plusieurs reprises et destinés à capturer Jack. A de nombreuses reprises, une silhouette fuyant à grands bonds a été aperçue, mais jamais aucune explication n’a pu être donnée non plus. Une observation m’est venue à l’esprit tandis que je réfléchissais à tout cela : c’est que Jack l’Eventreur était assi un « Jack » et la période impliquée pourrait englober les activités de celui-ci aussi. Je possède tout une série de livres sur l’Eventreur, chacun d’eux proposant une théorie différente sur l’identité de celui-ci ; et j’ai bien sûr, ma propre théorie favorite, selon laquelle aucun des incidents n’est « anormal ». Mais cela n’exclut pas des événements anormaux de notre analyse du phénomène « Eventreur », particulièrement lorsqu’on se réfère aux incidents de la « Bête du Gévaudan » et à l’appétit vraiment féroce de cette créature! Il est certain que l’Eventreur doit avoir eu des moyens d’échapper à toute poursuite, et parmi ceux-ci, le pouvoir de sauter par dessus les immeubles, ou autres choses du genre. Et on pense que les meurtres de l’Eventreur ont commencé et se sont arrêtés de manière mystérieuse, sans aucune explication logique, sauf que l’assassin a pu se suicider, ou avoir été envoyé dans un hôpital pour aliénés, ou bien s’être rendu en Amérique ou en Australie. (ce sont là des théories qui ont été envisagées avec sérieux.) Dans les années 80 j’ai lu The Mothman Prophecies [2] de John Keel. Je dois dire que ce livre vraiment bizarre m’a tenue éveillée pendant la nuit, à cause des « choses étranges » qui pourraient bien se passer « là, quelque part », et à propos desquelles nous savons bien peu. J’ai récemment vu sur un pare-chocs un auto-collant qui disait : « quand on ne vous cogne pas, vous ne faites pas attention ! ». Je voudrais le modifier un peu en : « quand on ne vous étonne pas, vous ne faites pas attention » ! Il y a, sur la grande Bille Bleue, des choses tout-à-fait étonnantes qui se passent. Charles Fort était un grand collectionneur de ces choses, et il y a des piles et des piles de références et de cas très bien documentés qui restent à la disposition de toute personne intéressée. Mais quand on commence à passer ces cas en revue, avec un esprit ouvert, on n’est plus seulement étonné mais intrigué, et la surprise devient telle alors, qu’on n’est plus capable de voir la réalité comme on la voyait « avant ». Dans Strange and Unexplained Phenomena, (Clark et Pear, 1997) nous trouvons une discussion concise à propos de l’homme chauve-souris, un phénomène plus récent, apparu dans l’ouest de la Virginie en 1966. Mothman (l’homme chauve-souris) est apparu pour la première fois à deux jeunes couples récemment mariés, qui se promenaient en voiture près d’une manufacture abandonnée de dynamite, à Point Pleasant, tard dans la soirée. Ils virent d’abord deux grands yeux (rougeoyants, d’après ce que je comprends), de deux pouces de large [3] et d’un écart de six pouces [4] , attachés à quelque chose qui ressemblait à une figure humaine, mais en plus grand, et la créature avait deux grandes ailes repliées sur le dos! Les quatre jeunes gens paniquèrent et s’enfuirent, mais ils revirent la créature sur le flanc d’une colline près de la route! Elle étendit alors ses ailes, qui étaient semblables à celles d’une chauve-souris, s’éleva dans les airs, et suivit leur voiture. Il semble qu’elle les ait suivi très aisément, même quand ils accélér èrent à 150 km/heure, essayant ainsi de semer leur poursuivant. L’un des témoins a assuré que l’homme chauve-souris parvenait à les suivre de près sans un seul battement d’ailes!. Il semble que quelqu’un d’autre avait déjà aperçu l’homme chauve-souris au cours de cette même nuit. Un certain Mr. Newell Partridge, qui habitait dans les faubourgs de Salem, dans l’ouest de la Virginie (à 135 kilomètres de Point Pleasant), regardait la télévision, lorsque l’écran devint subitement noir et qu’un fin motif en arête de poisson apparut, accompagné d’un fort sifflement plaintif se prolongeant vers l’aigu pour finalement s’arrêter brusquement... cela ressemblait à un générateur qui se serait mis en marche." Le chien de Mr. Partridge se mit à hurler à la mort, et continua, même lorsque la télévision fut éteinte. Partridge sortit et vit son chien regarder en direction de la grange à quelque 150 mètres de sa maison ; il dirigea le faisceau d’une lampe-torche dans cette direction et vit « deux cercles rouges, ou des yeux, qui ressemblaient à des réflecteurs de bicyclette. Le chien courut à la poursuite de la créature ; Partridge le rappela, mais sans succès. Mr. Partridge alla alors chercher son fusil, mais il était tellement affecté par les « yeux » qu’il avait vus qu’il décida qu’il était plus sage de rester à l’intérieur de la maison! Il garda son fusil à portée de main pendant toute la nuit. Au matin, le chien n’avait toujours pas reparu, et ce n’est que deux jours plus tard que Partridge lut le rapport fait par les deux couples qui avaient vu l’homme chauve-souris près de la manufacture de dynamite. Le compte rendu fait par l’un des témoins disait qu’alors qu’ils se trouvaient à la limite de la ville de Point Pleasant, ils avaient vu le corps d’un grand chien sur un côté de la route et quelques minutes plus tard, alors qu’ils quittaient l’endroit, le chien avait disparu. Mr. Partridge fit immédiatement le rapprochement entre ce corps et la disparition de son chien. Il ne revit plus jamais son animal! Un autre phénomène étrange est que, lorsque l’assistant du shérif qui s’occupait de l’investigation à la suite du rapport des deux couples se rendit à la manufacture de dynamite, il y eut des interférences sur les ondes de la radio qui se trouvait dans sa voiture. Il dit par la suite que le son était puissant et ressemblait au bruit que fait une cassette-audio passée à grande vitesse. Le son était si fort qu’il avait dû éteindre sa radio. A partir de ce moment et jusqau mois de novembre 1967, il y eut de nombreux rapports de personnes qui avaient vu l’homme chauve-souris. L’un de ces rapports décrit l’homme chauve-souris comme quelque chose qui s’est lentement élevé du sol : « une grande chose grise, plus grande qu’un homme », et qui n’avait pas de tête ! Mais elle AVAIT deux grands cercles rougeoyants au haut du torse. D’après John Keel, au moins cent personnes ont vu la créature et de l’ensemble des rapports il a tiré la description générale suivante: la créature mesurait entre 1m50 et 2m10, était plus large qu’un homme normal, et marchait difficilement, sur des jambes comme en ont les humains, en traînant les pieds. Elle produisait un son grinçant et les yeux étaient situés au niveau du sommet des épaules. Ses ailes étaient semblables à celles d’une chauve-souris mais elles ne battaient pas quand elle volait. Lorsqu’elle décollait du sol, elle montait tout droit, comme un hélicoptère. La couleur de sa peau était grise ou brune, et deux témoins ont dit qu’ils avaient entendu comme un « ronflement mécanique » alors qu’elle volait au-dessus d’eux.. Après 1967, il semble que de moins en moins de personnes aient aperçu la créature. Pratiquement tous ceux qui ont enquêté dans le cadre de cette affaire ont assuré qu’il ne s’agissait pas d’une mystification. Bien sûr, un des « experts » a déclaré qu’il devait s’agit d’une grue des dunes. Néanmoins, de très nombreux témoignages recueillis par la police et les enquêteurs ont été reconnus comme extrêmement fiables. Curieusement, il semble qu’en 1961 une femme (encore une fois dans l’ouest de la Virginie) ait aperçu une créature similaire et le témoin a raconté à John Keel qu’elle était beaucoup plus grande qu’un homme. De couleur grisâtre. Elle se tenait au milieu de la route. Une paire d’ailes s’est déployée dans son dos, et elles couvraient pratiquement toute la largeur de la route. C’était presque comme un petit avion. Puis elle a décollé tout droit... et a disparu en quelques secondes. Et quelqu’un semble l’avoir aperçue dans le Kent, en Angleterre, en 1963. Quatre jeunes gens avaient vu une « étoile » traverser le ciel dans la nuit et disparaître derrière un bouquet d’arbres pas très loin de là. Ils en avaient été effrayés et se mirent à courir, mais s’arrêtèrent brusquement pour observer une forme ovale de couleur dorée qui flottait à quelques pieds au-dessus d’un champ, à environ 80 mètres de l’endroit où ils se trouvaient. Cette lumière disparut ensuite dans une zone boisée. Puis, soudain, les témoins virent s’avancer vers eux traversant le champ, une forme sombre qui traînait les pieds. Elle était noire et de taille humaine, n’avait pas de tête mais des ailes comme celles d’une chauve-souris ! A cet instant ils paniquèrent tous et s’enfuirent. Un OVNI semblable fut aperçu par d’autres personnes au cours des quelques nuits suivantes. Le 23 novembre, deux hommes qui étaient venus faire des recherches trouvèrent « un vaste espace dont les fougères avaient été écrasées ». Ils dirent aussi avoir observé trois grandes et profondes empreintes de pieds de soixante centimètres de long et de 22 cm et demi de large. Est-ce que les visions d’une « créature volante de forme humaine » ont débuté en même temps que la « folie des OVNIs » en 1947 lorsque Kenneth Arnold a vu les premières « soucoupes volantes » ? Non pas. Il semblerait que des créatures volantes d’apparence humaine sont observées de temps en temps. Une « forme humaine ailée » a été aperçue au-dessus de Brooklyn, New York, le 18 septembre 1877 et a fait l’objet d’un article dans le New York Sun. Il est intéressant de noter que c’est à peu près à l’ époque des rapports sur « Jack-le-bondissant » en Angleterre. Le 12 septembre 1880 un rapport est fait à propos d’un « homme possédant des ailes de chauve-souris et des jambes semblables à celles d"une grenouille... à au moins trente mètre au-dessus du sol... se dirigeant vers la côte du New Jersey... [avec] une expression cruelle et déterminée ». Je me demande évidemment comment on a pu juger de son expression, mais je suppose que cette créature a paru effrayante au témoin, et que c’est de cette manière subjective qu’il a décrit l’aspect effrayant de la créature. V.K. Arsenyev, un écrivain russe, a écrit ce qui suit à prpos d’un incident survenu le 11 juillet 1908 dans les Monts Sikhote près de Vladivostok: La pluie s’est arrêtée, la température de l’air est restée basse, et une brume est apparue sur l’eau. C’est alors que j’ai vu la marque sur le sentier, très similaire à une empreinte humaine. Les poils de mon chien, Alpha, se sont hérissés, il a grogné, puis quelque chose s’est précipité dans les buissons, et n’en est pas ressorti. Arsenyev jeta ensuite une pierre dans la direction de « l’animal inconnu . ... Quelque chose de totalement imprévu se produisit alors ». Il entendit des « battements d’ailes. Quelque chose de grand et sombre émergea du brouillard et survola la rivière. Un moment plus tard, cela disparut dans le brouillard dense ». Arsenyev raconta par la suite son expérience à des gens de l’endroit, et ils lui racontèrent l’histoire d’un homme qui pouvait voler dans les airs. Des chasseurs apercevaient souvent ses traces, traces qui apparaissaient brusquement et s’arrêtaient tout aussi soudainement, de manière telle qu’elles ne pouvaient avoir été laissées que par « un homme qui aurait atterri puis se serait envolé à nouveau ». En 1952 au Camp Okubo, près de Kyoto, au Japon, U.S. Le soldat de l’armée de l’air américaine Sinclair Taylor, qui était de garde, dit qu’il avait entendu un grand bruit de battement d’ailes. Lorsqu’il avait levé les yeux, il avait vu un grand « oiseau » dans la clarté de la lune. Lorsque cet « oiseau » s’était approché de lui il avait pris peur et avait chargé son fusil. L’ « oiseau » avait arrêté son vol et planait, tout proche, en fixant des yeux le soldat Taylor. Il dit: La chose, qui avait alors recommencé à descendre, avait un corps humain. Elle mesurait bien plus de deux mètres de la tête aux pieds, et son envergure était pratiquement égale à sa hauteur. Je fis feu et vidai le chargeur de ma carabine là où la chose avait heurté le sol. Je regardai pour voir si les balles avaient atteint quelque chose, mais il n’y avait rien là. Lorsque le sergent du garde était venu, alerté par les coups de fusil et après avoir entendu le récit du soldat, il dit à Taylor qu’il le croyait, parce qu’une année auparavant un autre garde avait vu la même chose! En août 1969, près de Da Nang au Vietnam, le soldat Earl Morrison qui faisait partie de la Première Division des Marines, était assis en compagnie de deux autres gardes au sommet d’un bunker Ils étaient en train de parler, lorsqu’ils observèrent quelque chose dans le ciel, qui s’approchait d’eux. Morrison dit: Nous vîmes quelque chose qui ressemblait à des ailes, à des ailes de chauve-souris, mais elles étaient énormes par rapport aux ailes d’une chauve-souris ordinaire. Lorsque cette chose se fut approchée suffisamment pour que nous puissions l’observer, nous vîmes qu’elle ressemblait à une femme. A une femme nue. Elle était noire. Sa peau était noire, son corps était noir. Mais il était luminescent. Il brillait dans la nuit, d’une lumière verdâtre. Les soldats observèrent les mouvements de la créature dans le ciel. A un moment donné elle se trouva juste au-dessus d’eux, à environ deux mètres seulement. Elle se mouvait silencieusement, sans battre des ailes. Morrison dit qu’à un moment elle avait couvert tout le disque de la lune, mais qu’en dépit de l’obscurité ils l’apercevaient parce qu’elle luisait fortement. C’est seulement quand la créature commença à s’éloigner que les hommes entendirent un bruit de battement d’ailes. Morrison était d’avis que ce qui recouvrait son corps était plutôt une fourrure que des plumes. Il dit : « la peau de ses ailes était comme si elle avait été moulée sur ses mains ». Il remarque aussi que les mouvements de ses bras suggéraient que ceux-ci étaient dépourvus d’os ! ». J’ai choisi les rapports dont il est question ci-dessus parce qu’ils correspondent aux questions que nous avons posées aux Cassiopéens à ce sujet. Il y en a tellement d’autres, il y a tellement de sortes différentes de créatures qui ont été observées en diverses circonstances au fil des ans, que nous pourrions en tomber assis d’étonnement et saisis de crainte! Oui, de telles choses sont effrayantes, spécialement pour ceux qui ne sont pas ouverts à la nature anormale de notre réalité. Mais dans une perspective appropriée, on peut voir qu’en effet, notre monde est peuplé de ce genre de choses.... Mais, pour en revenir à la séance au cours de laquelle nous avons posé des questions au sujet de ces choses (et je ne vais pas décrire les observations drelatives au Chupacabras, car il existe de nombreuses pages web à ce sujet, où l’on peut lire des rapports détaillés) et voyons ce que les Cassiopéens ont à dire à propos de ces mystères. 09-06-95 Q: (L) J’ai lu un livre au sujet d’un
monstre appelé "Bête du Gévaudan" apparu pour la première fois
en 1764, et qui aurait été abattu en 1767. Qui ou qu’était cette bête ?
03-12-96 Q: (L) On a beaucoup parlé récemment du
Chupacabras... En ce qui concerne « les explosions d’ondes électromagnétiques accompagnées de variations de limite de fréquence » nous aurions sans doute intérêt à nous rappeler ce que les Cassiopéens ont dit à propos du « vyage dans le temps » : Tout d’abord, nous devons donner plus d’explications à propos des voyages dans le temps, parce que les deux concepts sont étroitement liés. La première étape est l’induction d’un champ électromagnétique artificiel. Ceci ouvre la porte entre les dimensions de réalité. Ceci pourrait certinement expliquer les anomalies électroniques dont Mr. Partridge et l’assistant du shérif ont fait l’expérience dans le cas de l’homme chauve-souris. Malheureusement, dans les autres cas personne ne disposait de la technlogie permettant de déterminer si de telles anomalies électroniques se produisaient lorsque les monstres faisaient leur apparition. Mais si de tels cas se présentent à nouveau, ce sera une question intéressante à ajouter à la liste. Ouvrir les portes entre dimensions est une chose très délicate semble-t-il. John Keel, un des écrivains d’histoires mystérieuses les plus célèbres, les plus influents et les plus controversés, s’est beaucoup inspiré des travaux de Charles Fort. Bien qu’il ait beaucoup écrit surr les OVNIs et les phénomènes qui s’y rapportent, les idées de Keel à ce propos suivent plutôt la ligne de l’occultisme que celle des explications purement techniques. Il utilise le terme "Ultraterrestres" pour décrire les créatures étranges, et cela correspond mieux que toute autre explication à ce que disent les Cassiopéens. Selon John Keel, la longue histoire des interactions humains-créatures mystérieuses prouve l’existence des « dieux » des temps anciens. Pour Keel, les hommes en noir, les OVNIs, et même l’homme chauve-souris sont des versions modernes des « démons et diables » d’autrefois. Et il pourrait bien être près de la vérité. La seule chose que je voudrais ajouter est que nous devons aller au-delà de la connotation « surnaturelle » qui accompagne les mots « diables » et « démons ». Le dialogue qui suit rendra les choses plus claires : 03-12-94 Q: (L) J’ai reçu d’un ami, un article
concernant des expériences entreprises par un certain Persinger, qui a
tenté de reproduire l’expérience d’enlèvement en soumettant des personnes
à des champs électromagnétiques dans une capsule d’isolation sensorielle.
Je voudrais faire des commentaires à ce sujet, et ensuite ... Mais nous voulons mieux comprendre ce type de phénomènes, et nous avons interrogé les Cassiopéens à de nombreuses reprises à propos des différences entre densités et dimensions, et quelle est la relation entre les deux, et comment des dimensions peuvent interagir avec la nôtre. 05-12-94 Q: (L) Je voudrais savoir quelle est la
définition d’un rideau dimensionnel et en avoir la description. Donc, la remarque: " il vous faut changer vos suppositions pour pouvoir faire une expérience positive de l’Onde" n’annonce certes rien de très bon pour ceux qui ferment leur esprit aux anomalies! Mais revenons à l’idée que ces « explosions électromagnétiques » sont des moyens de pratiquer des ouvertures entre dimensions. Il semble que cela puisse se produire naturellement, et que c’est souvent le cas. L’extrait suivant, bien que pas spécialement consacré aux « anomalies » telles que nous en avons discuté, soulève cependant la question. Nous y voyons comment des anomalies sont vues ou expérimentées en même temps que des perturbations géomagnétiques ou même des activités « cataclysmiques », sans oublier les « hics » électroniques. (Souvenez-vous que nous habitons la Floride et que les cancrelats font partie de notre vie. Généralement il n’y en a pas dans la maison, mais j’ai commencé à remarquer, il y a quelques années, que juste avant des phénomènes géologiques ou climatiques, ils entrent dans la maison en passant sous les portes et par les autres ouvertures. Dès qu’ils sont à l’intérieur, mon vaporisateur de « formule secrète » les fait passer promptement de vie à trépas, de sorte que nous en voyons partout qui sont tombés sur le dos et agitent faiblement leur pattes.) 22-04-95 Q: (L) Pourquoi les cancrelats étaient-ils
en folie la semaine dernière ? Ils ont réellement dépassé
les bornes. La remarque qu’il s’agissait d’électromagnétisme naturel mais non « normal », devrait nous faire réfléchir. Puis il a été dit que c’était sismique, mais l’origine du séisme n’a pas été mentionnée. Cela pourrait suggérer une perturbation dans le champ électromagnétique naturel due, peut-être, à quelque chose qui ressemble à des « explosions d’ondes électromagnétiques accompagnées de variations de fréquence », c’est-à-dire un voyage dans le temps. Si nous revenons à l’idée que le voyage dans le temps revient à transiter entre les dimensions, tout comme le facteur OVNI est souvent vu en rapport avec des « monstres », ou bien avec les « chutes au travers de « fenêtres transdimensionnelles », nous pourrions nous poser certaines questions à propos des activités présentes sur la Terre, et sur la manière dont ces phénomènes pourraient être des indices d’un changement de réalité. En d’autres termes, ces « chutes par des fenêtres interdimensionnelles » pourraient-elles être une conséquence de ces activités ? Et si c’est le cas, pouvons-nous considérer de telles anomalies comme des indices qu’il se passe quelque chose d’autre en ces endroits et à ces moments ? L’extrait suivant donne quelques indices à ce sujet: 21-01-95 Q: (L) Bon. Dans ce document
de KRLL, il y avait une déclaration selon laquelle les Gris et autres
créatures extraterrestres « utiliseraient des substances glandulaires
prélevées au cours d’examens physiques d’êtres humains » ou au cours
de ce qui est souvent appelé « examens gynécologiques » et « examens
de prélèvement de sperme », pour « s’envoyer en l’air
ou pour se nourrir ». Il est supposé que certains
extraterrestres sont adonnés à ces substances et que c’est
la raison pour laquelle il y a, ou semble y avoir, un tel nombre d’enlèvements
et de prélèvements d’ovules et de sperme, et de sécrétions sexuelles.
Est-ce le cas ? Eh bien, nous commençons à nous faire une idée de ces ramifications! Mais nous essayons d’en savoir davantage à propos des créatures « trans-dimensionnelles » qui vont et viennnent dans notre réalité.A quel point sont-elles REELLES ? L’extrait suivant parle de cela d’une manière plus pratique. Nous avions assisté à une nouvelle réunion du MUFON où un astrologue védique avait fait un exposé sur l’ancienne littérature indienne védique et avait parlé des OVNIS et des extraterrestres. Il pensait qu’ils étaient seulement une manifestation de l’activation de l’expérience de la kundalini à l’échelle de notre planète tout entière, et que nous étions donc simplement des symboles sans aucune réalité propre. Autrement dit, les activités humaines orientées vers l’ « élévation de conscience » faisaient en sorte qu’ OVNIs et extraterrestres " se manifestaient en conséquence comme des « produits de notre imagination ». Plus particulièrement, il disait que les « Lézards » représentent l’énergie serpentine de l’ascension de la connaissance et de la conscience. La question précise à ce sujet se trouve dans l’extrait suivant ; j’ai inclus pratiquement la séance tout entière vu sa relation avec le sujet qui nous occupe : 12-08-95 J’ai posé une question qui se rapportait en quelque sorte à ce sujet, et qui ouvre de curieuses perspectives quant à la forte odeur de soufre (que l’on relie aux « manifestations sataniques de « démons et sorcières » du passé). 07-05-95 Q: (L) Pourquoi associe-t-on une intolérable
odeur de soufre aux corps d’extraterrestres et autres phénomènes et entités ?
Et cela, bien sûr, nous ramène à l’idée qu’ils doivent utiliser quelque chose de nos corps humains de troisième densité pour pouvoir « stabiliser » leur physicalité lorsqu’ils visitent la réalité de troisième densité en général. Une question qui se pose est : y a-t-il des limites aux « dimensions »? On nous a déjà dit qu’il y a sept densités, et cela confirme tout-à-fait les enseignements anciens. Dans sa très intéressante explication à ce sujet :, The Ancient Wisdom, [6] Geoffrey Ashe écrit que ses recherches ont indiqué que Le caractère magique et sacré du nombre sept...est la clé de forces dangereuses...Si nous considérons sept de manière impartiale, certains faits deviennent évidents, et tous suggèrent...qu’il existe un fil qu’il serait utile de suivre. Tour d’abord, s’il existe vraiment quelque chose comme des indices occultes permettant d’accéder à la sagesse antique, le chiffre sept paraît bien en faire partie. Deux sciences majeures sont nées de systèmes magiques qui, dans leur forme occidentale, étaient basées sur le chiffre sept. L’astronomie est née de l’astrologie, la chimie de l’alchimie; et l’astrologie et l’alchimie étaient mystérieusement reliées à ce chiffre. (c’est moi qui ai mis certains mots en gras) Pendant plus de deux mille ans, les astrologues ont travaillé non seulement avec le Soleil, mais aussi avec la Lune et avec les cinq planètes dites vraies: Mercure, Véenus, Mars, Jupiter et Saturne. Leurs héritiers modernes ont essayé d’ajouter les trois planètes découvertes par la suite : Uranus, Neptune, et Pluton, mais les résultats ont rarement été convainquants. Pour tout ce qui est vital, l’astrologie occidentale a toujours été un système septenaire basé sur les planètes qui voyagent à travers les signes ; les Sept planètes interprétant et étant le canal des Douze signes. [Certains disent que les anciens SAVAIENT qu’il y avait davantage de planètes, mais qu’ils ont choisi les sept qui comptent réellement de par leur influence, et n’ont révélé que celles-là au public.] L’alchimie occidentale connaissait aussi sept métaux. A chaque métal correspondait une planète-maître. [Cette constante référence au chiffre sept] est un trait proprement humain qui n’a aucun motif apparent. ...La fréquence du chiffre sept dans d’autres contextes prouve que nous sommes confrontés ici à une réalité profondément ancrée dans notre mental, et qui mérite notre attention. Nous articulons toujours notre temps de travail et notre temps de loisir autour de la semaine de sept jours. Sa survivance obstinée n’a ni logique ni utilité. La plupart des êtres humains qui ont vécu depuis leur naissance selon des semaines de sept jours, ont également l’oreille faite à la gamme de sept notes et leur musique est composée sur ce modèle depuis de nombreux siècles. Un élément physique est à la base de cette gamme : si l’on part d’un do, le do suivant, une octave plus haut, voit son taux vibratoire multiplié par deux. Mais les sept étapes du parcours sont le produit d’un conditionnement. Les Chinois ne le connaissent pas. Leur gamme a cinq notes. Il en va de même en optique. Nous insistons sur le fait que le spectre comprend sept couleurs; jaune, orange, rouge, vert, bleu, indigo, violet. Les Chinois comptent différemment. Pour eux, l’arc-en-ciel a cinq couleurs. Il y a très longtemps, une forte pression a été exercée, qui n’a pas encore trouvé d’explication. Les occidentaux (ou leurs précurseurs culturels dans paprtie la plus proche de l’Asie) se sont sentis obligés de faire correspondre sept métaux aux planètes. Ils se sont sentis obligés de reconnaître sept planètes. Pourquoi ? Ce nombre était vital, et cela, c’est tout ce dont on peut être certain pour le moment. L’astrologie persane primitive parlait de neuf planètes. Il en allait de même pour l’astrologie hindoue qui en dérivait. Les Chinois quant à eux avaient décidé qu’il y en avait cinq, c’est à dire la même liste moins le soleil et la lune. La liste des planètes selon les Babyloniens se démarque, si l’on considère les astres concernés, car elle accorde au Soleil et à la Lune la même importance qu’à Mercure, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne.... La prédominance du chiffre sept a donc laissé sur leur faim tous les chercheurs. Cette théorie ne suit aucune technique connue, d’analyse psychologique. La raison semble se trouver ailleurs En dirait, en fait, que les Babyloniens ont choisi de le prendre en compte à cause d’une mystique pré-existante de l’heptade. [Ashe, 1977] Ashe suit les traces du chiffre sept sur la planète entière et ses conclusions, au vu de tout ce que les Cassiopéens nous ont dit à ce sujet, sont très importantes. L’affirmation des Cassiopéens, selon laquelle il y a sept niveaux de densité et SEULEMENT sept, est confirmée par un grand nombre d’éléments de sagesse ancienne, et en fait ce pourrait être l’une des clés des technologies antiques. Voici ce qui a été dit sur le sujet des sept niveaux de densité: 07-05-95 Q: (L) Après le niveau sept, y en a-t-il
un autre... Désolée d’avoir pris la tangente ici, mais cela se rapportait en quelque sorte au sujet , et maintenant il est hors des pieds. Mais pour en revenir à notre question de savoir s’il y a ou non des limites au nombre de dimensions latérales, voici un extrait des réponses des Cassiopéens: 04-01-97 Q: (L) Les physiciens parlent d’univers
multi-dimensionnels. L’idée est que notre espace tri-dimensionnel
et notre temps unidimensionnel sont des illusions des créatures
qui se trouvent sur ce plan ; l’univers a en réalité plus
de dimensions, qui sont perpendiculaires à celles mentionnées ci-dessus.
Les physiciens ont fait différentes estimations à ce sujet: 5,
6, 7, 11, 256. Combien de dimensions l’univers a-t-il en réalité? Pas de limites aux possibilités. Alors, nous commençons à avoir dans l’idée que cet « univers » dans lequel nous vivons, est en fait un endroit ETRANGE et MERVEILLEUX, bien au-delà de nos concepts limités de troisième densité. En outre, nous commençons à penser que notre réalité est réellement manipulée par des forces de densités supérieures et que les apparitions de « monstres » et de « choses anormales » peuvent être des indices quant aux époques et aux endroits où ces manipulations ont eu lieu, pour parler en termes généraux !! Nous approfondirons les « mécanismes » de tout cela à mesure que nous avancerons, mais nous terminerons ce chapitre sur une citation extraite de l’introduction de Strange and Unexplained Phenomena, [lien ci-dessus une compilation de Jerome Clark et Nancy Pear, un plaisant recueil de TAS de choses étranges: Les quatre mots que les êtres humains ont le plus dur à dire sont « Je ne sais pas ». Parce que nous aimons que les mystères soient rapidement et nettement expliqués, dans les temps modernes nous en sommes venus à demander aux scientifiques de trouver des explications logiques aux expériences humaines qui appartiennent à l’étrange. Parfois, la science parvient à utiliser ses connaissances et ses outils pour trouver des réponses à des incidents qui intriguent ; parfois elle propose des explications qui ne semblent pas se rapporter à ces anomalies, ce qui ne fait qu’ajouter à la confusion. Lorsque les expériences sont particulièrement incroyables, il arrive que les scientifiques décident que rien ne s’est produit et refusent simplement de les analyser. La plupart d’entre nous pensent que lorsque la science en aura appris davantage, elle sera capable de donner plus d’explications. Mais il est pratiquement certain que la science ne sera jamais capable d’interpréter les « choses bizarres » que les humains trouvent sur leur chemin. Lorsqu’une anomalie fait l’objet d’un rapport, il est naturel de ne pas y croire, de faire preuve de scepticisme. En général, on se pose des questions sur la fiabilité des témoins. Est-ce que cette personne aurait un intérêt à mentir ? Il arrive qu’on soit l’objet de plaisanteries et de mystifications. Il y a des gens qui font beaucoup d’efforts pour tromper les scientifiques et le public, et qui espèrent trouver renommée et fortune en présentant de fausses allégations simplement pour montrer combien ils sont malins. Il est également naturel de se poser des questions quant à la santé mentale d’une personne qui a été témoin d’un événement extraordinaire. Le bon sens nous dit que TOUS les récits étranges doivent être mis sur le compte d’une mémoire défaillante, de mauvais rêves, de l’imagination délirante d’esprits malades et confus! Et cependant, les psychologues qui ont examiné les témoins d’anomalies trouvent en face d’eux, la plupart du temps, des gens semblables à ceux qui n’ont jamais fait d’expériences bizarres. Et aussi, le nombre des rapports sur des choses étranges peut ébranler quelque peu notre bon sens, de même que les cas où de nombreux témoins observent simultanément les mêmes phénomènes étranges. Plus intéressants encore, sont les récits qui se répètent au fil des siècles : les premiers rapports sur des monstres vivant dans les eaux profondes du Loch Ness, par exemple, remontent à l’an 565 de notre ère! Les récits étranges, même s’ils sont des plus incroyables, méritent qu’on leur accorde quelqu’attention. Bien que la plupart des lecteurs n’acceptent les phénomènes bizarres que dans leurs propres limites sur l’échelle de l’étrange, les questions suscitées par les anomalies valent la peine qu’on s’y attarde, même si l’événement ou l’objet est au-delà de ce que nous pouvons croire. La vraie compréhension des anomalies demande du temps, des efforts et un esprit, non pas crédule mais ouvert. ...Les expériences humaines prennent davantage de formes et de dimensions que nous ne pouvons imaginer! Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais je trouve que l’idée d’une réalité qui peut prendre une infinité de formes, et qui contient toutes les choses et êtres imaginables, est drôlement passionnante! Oui, il y a le problème de ceux qui veulent supprimer notre Libre Arbitre, nous contrôler et/ou se nourrir de nous ; mais même cela peut être vu comme un défi et une aventure!
[1] Sorcellerie, lycanthropie, drogues et maladies: une étude anthropologique de la chasse aux sorcières en Europe [2] Les prophéties de l’homme chauve-souris [3] 5 cm [4] 7,5 cm [5] “Le chevalier à l’armure scintillante” et “Reprise” [6] Sagesse antique [7] Un jardin de poésies pour enfants En tant que propriétaires et éditeurs de ces pages, nous souhaitons souligner que le matériel présenté ici est le fruit de notre recherche et de notre expérimentation en communication supraluminique. Nous nous demandons parfois si les Cassiopéens sont ce qu¹ils prétendent être, parce que nous ne tenons rien pour vérité indiscutable. Nous prenons tout "cum granulo salis", même si nous considérons qu¹il y a de bonnes chances que ce soit la vérité. Nous analysons constamment ce matériel ainsi que beaucoup d¹autres qui attirent notre attention, issus de divers domaines de la Science et du mysticisme. Honnêtement, nous ne savons pas CE QU'EST la vérité, mais nous croyons qu¹elle est « quelque part par là» et que nous pouvons sans doute en découvrir une partie. Oui, nous pouvons dire que nos vies ont été enrichies par ces contacts, mais certains éléments nous ont aussi rendus perplexes et nous ont désorientés, et ils restent encore à être clarifiés. Nous avons certes trouvé beaucoup de «confirmations» et de « corroborations » dans d¹autres domaines, entre autres la Science et l¹Histoire, mais il y a aussi de nombreux éléments qui, par nature, sont invérifiables. C¹est pourquoi nous invitons le lecteur à partager notre recherche de la Vérité en lisant avec un esprit ouvert, mais sceptique. Nous n¹encourageons pas « l'adepte-isme », ni aucune « Vraie Croyance ». Nous ENCOURAGEONS la recherche de la Connaissance et de la Conscience dans tous les domaines qui en valent la peine, comme le meilleur moyen de discerner le mensonge de la vérité. Voici ce que nous pouvons dire au lecteur: nous travaillons très dur, plusieurs heures par jour, et nous le faisons depuis de nombreuses années, pour découvrir la raison de notre existence sur Terre. C¹est notre vocation, notre queste, notre mission. Nous recherchons constamment à valider et/ou à affiner ce que nous envisageons comme possible, probable, ou les deux. Nous faisons cela avec l¹espoir sincère que toute l¹humanité pourra en bénéficier, si ce n¹est maintenant, alors dans un de nos futurs probables. Contactez l¹administrateur
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