Un article par Laura Knight-Jadczyk |
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Jour d'IndépendanceTraduction française: Henri R. Vendredi 4 Juillet 2003: L'année dernière le 4 juillet nous allâmes en voiture au centre commercial local pour regarder le feu d'artifice. Nous achetâmes des repas en boîte du Colonel Sanders, et écoutâmes du Vivaldi tandis que le ciel était transformé en royaume des fées cosmique de Magie et de Mystère. Nous ne savions guère que ce serait le dernier Quatre Juillet que nous célébrerions. Sept mois plus tard, nous étions dans un avion quittant les Etats-Unis – probablement pour toujours – et je jetais mon dernier regard au Pays de ma naissance, mon cœur était lourd avec la conscience de ce qui se trouve très probablement dans l'avenir pour le Pays de la Liberté et la Patrie des Braves. Qu'est-ce que je veux dire? Le 13 mai, j'ai écrit un peu sur la mystification sur la Planète X: Will the world end on Thursday? (Le Monde finira-t-il Jeudi?) Comme je le notais à la fin de ce commentaire: "Les chiens aboient, mais ils aboient au mauvais arbre." Nous avons entendu parler pendant tant d'années des mystifications et des paniques de la "Fin du Monde" que c'est devenu plutôt fatigant et ennuyeux. Quand est-ce que vous avez entendu parler du non-sens de la Ceinture de Photons? Celle-ci était plutôt populaire pour un temps. Garda tout le monde comme fou tandis que des douzaines de gens firent un tas d'argent avec les livres et les cours d'"ascension" pour aider les gens à survivre à l'"illumination" de la planète. Bien, la "ceinture de photons" a apparemment échoué… et ensuite la Frénésie Hale Bopp a démarré, menant à quelques suicides de masse et un air général de paranoïa partout. Ce qu'un tas de gens n'a pas remarqué fut qu'il y eut quelques choses extrêmement étranges se passant sur la Grosse Boule Bleue tandis que Hale Bopp décorait nos cieux – le temps changeait spectaculairement et l'Europe éprouvait ce qui était appelé "L'Inondation du Millénaire". On doit se demander si l'affaire Hale Bopp n'était pas juste une autre forme de distraction de ce qui se passait réellement – une sorte de procès O.J. Simpson cosmique? Après le flop de Hale Bopp, la Panique Planète X eut son moteur mis en route et Nancy Leider – artiste trompée ou escroc, qui peut le dire? – peut être confrontée à des poursuites judiciaires pour avoir égaré des gens sur ceci. Très certainement, nos recherches dans les projets de contrôle de l'esprit gouvernementaux secrets suggèrent que Nancy et d'autres ne sont pas à blâmer pour leur démence: c'est planifié et délibéré; Bien sûr, pendant que tout ceci se passait, le monde politique devenait fou et nous sommes maintenant assis sur une planète qui est comme un baril de poudre attendant quelqu'un pour allumer par hasard une cigarette… La chose qui nous a le plus exercé dans la salle de presse des Signes est l'apathie apparente de ceux qui peuvent être capables réellement de FAIRE quelque chose pour stopper la force destructrice de Destruction Globale qui parcourt la planète. Dans ce contexte, nous avons discuté, pour un temps, les observations de Richard Dolan dans son livre UFOs and the National Security State. (OVNIs et l'Etat de Sécurité Nationale). Dans ma revue de ce livre j'écrivais:
Alors même que Dolan parlait de la divulgation des OVNIs, le même principe semble s'appliquer à obtenir le Navire d'Etat Américain sur le chemin de la Liberté et de la Démocratie. Plus spécialement, au jour présent, cela semble s'appliquer à toute sorte d'examen des principes et dirigeants derrière la folie politique actuelle. Dans une discussion du Pentagon Strike, (Attaque du Pentagone) il émergea quelque chose comme une réponse à cette question.
Ceux d'entre vous qui ont lu les Adventures Series sont déjà familiers avec la recherche que nous avons faite en pistant "qui est le premier" sur la planète. Certains des matériels les plus dérangeants que nous avons trouvés était le fait que les dollars de Taxe Américaine – ou peut-être les dollars des Opérations Noires – sont utilisés pour rechercher comment tuer le plus grand nombre de gens avec la quantité minimale de production d'énergie. Il y a aussi quelque chose qui est appelé "population humaine acceptable maximum" et on se demande quelle connexion les deux idées ont entre elles. Revenons au problème de l'apathie. En addition aux contrôles qui doivent être exercés sur les officiels de gouvernement autour de la planète afin qu'il n'y ait pas de réelle opposition à haut niveau à la folie actuelle, il y a le fait que les différentes masses de l'humanité semblent opérer à divers niveaux de sommeil. Ce peut être une fonction de l'implémentation de projet de contrôle de l'esprit. Le groupe qui semble être le plus endormi sont les Américains en entier, bien qu'il y ait des exceptions. Ces Américains qui SONT éveillés semblent avoir une meilleure prise de ce qui se passe aux Etats-Unis que les Européens qui ne voit George Bush que comme l'idiot du village essayant de dominer le monde. Au moins, les Américains éveillés voient le problème REEL comme l'émergence d'un Fascisme dangereux qui ne cherche pas simplement à dominer, mais littéralement à prendre en main et GOUVERNER le monde. Ou cela semble l'être… Néanmoins, le problème de l'apathie est troublant. Nous pouvons, bien sûr, suggérer que beaucoup d'Américains sont éveillés et voient à travers la propagande et les mensonges – et que la seule raison pour laquelle nous ne les connaissons pas est due au fait que les mass médias filtrent uniformément et délibérément tous les rapports d'activisme comme moyens de priver d'autres activistes de soutien psychologique et d'un sentiment de solidarité. Mais je ne peux encore surmonter la sensation que d'une manière ou d'une autre, en l'ignorant et espérant que cela partira est la réaction de choix. L'autre matin, je me réveillai avec la pensée tournant dans ma tête: La folie globale actuelle est comme un Cheval de Troie – un véhicule qui transporte les instruments de destruction. Tant de gens sont comme un cerf paralysé dans les phares d'un chasseur – fascinés par le spectacle et complètement ignorants de la destruction qui est imminente. Cette pensée n'est pas apparue de nulle part et sans raison. C'était le résultat de beaucoup de jours de pensée profonde et de discussions ici à Signs Central. Ce qui a initié ces discussions est ce dont je veux parler ici: la possibilité de destruction globale dans les coulisses et que les machinations politiques sur la planète sont conçues pour détourner notre attention des indices et des signes que c'est imminent. Comme nous avons remarqué dans le commentaire de Signs of the Times de nombreuses fois: il semble que le comportement absolument scandaleux des Criminels de Bush qui ont effectué un coup d'état en Amérique, de même que les réactions mises en scène des leaders d'autres pays autour de la planète, est fondé dans une conviction profonde qu'ils n'auront jamais à payer pour leurs crimes. Leur comportement est similaire de façon inquiétante aux actions d'un individu sans conscience à qui on a dit qu'il est en phase finale d'une maladie terminale. Si c'est le cas, qu'est-ce qui pourrait leur donner confiance en tout simplement ne pas se soucier que leur viol, pillage et cambriolage de la planète devient même évident aux ampoules les plus faibles dans le carton? Les lecteurs réguliers de ce site web sont au courant de nos recherches dans le problème des extinctions cycliques. Plus généralement, c'est attribué à un "Basculement des Pôles". L'idée du Basculement des Pôles fut décrit comme le "désastre ultime" par John White dans son livre intitulé de façon appropriée Pole Shift (Basculement des Pôles). White énuméra de nombreuses prophéties psychiques qui décrivent clairement un Basculement de Pôles et essayait de les relier aux idées scientifiques. Un source prétend que les Iles Hawaïennes se soulèveront et deviendront des pics d'une grande chaîne de montagnes sur un nouveau continent qui se soulèvera dans le Pacifique. Une autre source prédit que les Iles Hawaïennes s'enfonceront sous la mer. De telles contradictions parmi les psychiques sont souvent commodément expliquées avec la théorie de " l'univers à embranchements" avec une distorsion: les deux sont vrais, ils se réfèrent juste à des périodes différentes dans l'histoire future. Comme il se trouve, la plupart des prédictions des psychiques analysées par John White concernaient la période juste vers l'an 2000. Bien, c'est venu et parti, le pôle n'a pas basculé, et nous sommes encore là. Le fait que les pôles magnétiques de la Terre ont changé beaucoup de fois dans l'"histoire" est maintenant un fait scientifique bien accepté. Mais ceci ne dit en réalité rien sur la planète "basculant" elle-même. Cela signifie simplement une inversion du champ magnétique. Comme nous le savons maintenant, le Soleil inverse son champ magnétique régulièrement et cycliquement sans effets cataclysmiques apparents. Donc, une simple inversion du champ magnétique ne peut être utilisée en soutien d'un "Basculement de Pôles" physique et littéral. A la fin, le problème principal de toutes les théories "Fin du Monde" est celui du "mécanisme de déclenchement". Qu'est-ce qui conduit la machine? Dans le but de former toute idée sur un "déclencheur", il est important d'essayer de trier les données que nous pouvons obtenir et décider si un Basculement de Pôles est même possible et si c'est la cas, est-ce un événement Uniforme, graduel, ou si c'est soudain et cataclysmique. Il est communément accepté parmi les scientifiques aujourd'hui qu'il y a un "cycle d'extinction". Cependant, jusqu'à récemment, ils continuent d'essayer de le pousser si loin dans le passé et le futur qu'il ne pourrait concerner notre civilisation présente. C'est seulement récemment que des allusions et des indices ont commencé à émerger dans la conscience du public – une sorte de "tester les eaux" – quoique, comme d'habitude, il y a beaucoup de débat pour ou contre. Généralement, ceux qui disent que les extinctions cycliques arrivent VRAIMENT – et plutôt fréquemment – approchent généralement le sujet du point de vue d'assemblage et de présentation de données. Les négationnistes approchent généralement le sujet du point de vue d'"expliquer" les données comme étant "incorrectes" ou "mal comprises". Ils tendent aussi à devenir émotionnels et attaquer les personnalités de ceux qui présentent les données. Encore, de plus en plus de faits, données, informations confirmables, continuent à apparaître. En particulier, considérez ce qui suit extrait de mon livre La Science Antique: Quelque chose de catastrophique arriva aux grands mammifères errant dans le monde durant l'Ere du Pléistocène. Mammouths laineux, mastodontes, toxodons, tigres à dents de sabre, rhinos laineux, paresseux terriens géants, et beaucoup d'autres grands animaux du Pléistocène ne sont plus avec nous. Le fait est, plus de 200 espèces d'animaux ont complètement disparu à la fin du Pléistocène il y a approximativement 12 000 ans dans ce qui est connu par les paléontologues comme "l'Extinction du Pléistocène". Au moment même où les paléontologues traitent avec la notion troublante d'une telle mort de masse récente, les géologues sont confrontés avec la preuve de changements géologiques terrifiants qui eurent lieu: volcanisme et tremblements de terre étendus, raz-de-marée, fonte glaciaire, élévation des eaux des océans, et ainsi de suite. L'Ere Pléistocène n'a pas fini avec un sanglot pour sûr. Elle finit en hurlement et tonnerre. Les géologues et les paléontologues n'aiment pas le catastrophisme – ça les garde éveillés la nuit. Ils combattirent longtemps et durement les Catastrophistes. Mais au jour présent, les scientifiques dans les deux domaines doivent faire face au fait que les Catastrophistes avaient essentiellement raison depuis le début – même s'ils ont exagéré et expliqué tout en termes de catastrophe. Il est évident qu'il y a des changements "graduels"? Mais que la plupart de ce qui arrive sur la Grosse Boule Bleue en termes de changements significatifs, est catastrophique. Un des faits majeurs que les paléontologues et les géologues et les archéologues ont à faire face est le nombre extraordinaire de carcasses gelées au Canada et en Alaska dans les régions de l'ouest, et en Russie et Sibérie du Nord dans les régions orientales – toutes datées d'environ 12000 ans. Ceci suggère, évidemment, que quelque chose de terrible est arrivé sur la planète, et son effet sur l'hémisphère nord fut plus sévère que dans l'hémisphère sud. Dans les années 1940 le Dr. Frank C. Hibben, Prof. d'Archéologie à l'Université du Nouveau Mexique conduisit une expédition en Alaska pour chercher des restes humains. Il ne trouva pas de restes humains; il trouva des miles et des miles de déchets gelés avec des mammouths, des mastodontes, plusieurs sortes de bisons, chevaux, loups, ours et lions. Juste au nord de Fairbanks en Alaska, les membres de l'expédition observèrent avec horreur quand les bulldozers poussaient les déchets à moitié fondus dans des boîtes à écluse pour extraire l'or. Des défenses et des os d'animaux roulaient devant les lames "comme des copeaux devant une plane géante" . Les carcasses furent trouvées dans toutes les attitudes de la mort, la plupart "déchirées par quelque perturbation préhistorique catastrophique inexplicable." La violence évidente des morts de ces masses d'animaux, combinée avec la puanteur de la viande pourrie fut presque insupportable tant à voir, qu'en considérant ce qui avait pu la causer. Les champs tueurs s'étendaient sur des centaines de miles dans chaque direction. Il y avait des arbres et des animaux, des couches de tourbe et de mousse, tordues et emmêlées et massacrées ensemble comme si un mixer Cosmique les avait aspiré il y a 12000 ans, et puis les avait gelés instantanément en une masse solide. Juste au nord de la Sibérie des îles entières sont formées des os d'animaux du Pléistocène balayés vers le nord depuis le continent vers l'Océan Arctique. Une estimation suggère que quelques dix millions d'animaux peuvent avoir été enterrés le long des fleuves de la Sibérie du Nord. Des milliers sur des milliers de défenses créèrent un commerce massif d'ivoire pour les maîtres-sculpteurs de Chine; tous des mammouths gelés et des mastodontes de Sibérie. Le célèbre mammouth de Beresovka attira d'abord l'attention sur les propriétés de préservation d'être gelé rapidement quand des renoncules furent trouvées dans sa bouche. Quel genre d'événement terrible s'abattit sur ces millions de créatures en un seul jour? Bien, l'évidence suggère un énorme tsunami balayant le pays, renversant ensemble les animaux et la végétation, pour être finalement gelé-rapidement pour les 12000 ans suivants. Mais l'extinction ne fut pas limitée à l'Arctique, même si le gel préserva la preuve de la fureur de la Nature. Le paléontologue George G. Simpson considère l'extinction du cheval du Pléistocène en Amérique du Nord comme un des épisodes les plus mystérieux dans l'histoire de la zoologie, confessant que "personne ne connaît la réponse". Il est aussi assez honnête pour admettre qu'il a le plus grand problème d'extinction de beaucoup d'autres espèces en Amérique au même moment. Le cheval, les tortues géantes dans les Caraïbes, le paresseux géant, le tigre à dents de sabre, le glytodonte et le toxodon. Ceux-ci étaient tous des animaux tropicaux. Ces créatures ne sont pas mortes à cause d'un "décalage graduel" d'une ère glaciaire, "à moins qu'on veuille postuler des températures glaciales à l'équateur, une telle explication suppose vrai clairement ce qui est en question." Des piles massives d'os de mastodontes et de tigres à dents de sabre furent découverts en Floride. Des mastodontes, des toxodons, des paresseux géants et d'autres animaux furent trouvés gelés-sur-place dans des glaciers de montagne au Vénézuela. Des rhinocéros laineux, des tatous géants, des castors géants, des jaguars géants, des paresseux terrestres, des antilopes et des foules d'autres espèces entières furent tous totalement effacés en même temps, à la fin du Pléistocène, il y a approximativement 12000 ans. Cet événement fut global. Les mammouths de Sibérie s'éteignirent en même temps comme le rhinocéros géant d'Europe; les mastodontes d'Alaska, le bison de Sibérie, les éléphants d'Asie et les chameaux américains. Il est évident que la cause de ces extinctions doit être commun aux deux hémisphères, et qu'il ne fut pas graduel. Une "glaciation uniformitariste" n'aurait pas causé d'extinctions, parce que les divers animaux auraient simplement migré vers de meilleurs pâturages. Ce qui est vu est un événement surprenant de violence incontrôlée. Autrement dit, il y a 12000 ans, une époque où nous avons trébuché à maintes reprises dans nos recherches, quelque chose de terrible arriva – si terrible que la vie sur Terre fut presque effacée en un seul jour. Harold P. Lippman admet que la magnitude des fossiles et des défenses prisonniers du permafrost sibérien présente une "difficulté insurmontable" à la théorie de l'uniformitarisme, puisqu'aucun processus graduel ne peut donner une préservation de dizaines de milliers de défenses et d'individus entiers, "même s'ils sont morts en hiver". Particulièrement quand beaucoup de ces individus ont des herbes et des feuilles non digérées dans leur ventre. Le géologue du Pléistocène William P. Farrand de l'Observatoire Géologique Lamont-Doherty, qui est opposé au catastrophisme sous toute forme, déclare: "La mort soudaine est indiquée par la condition robuste des animaux et de leurs estomacs pleins… les animaux étaient robustes et en pleine santé quand ils moururent." Malheureusement, malgré cet aveu, ce pauvre homme semble avoir été incapable de faire face à la réalité de la catastrophe mondiale représentée par les millions d'os déposés sur toute la planète juste à la fin du Pléistocène. Hibben résume la situation dans une seule déclaration: "La période du Pléistocène finit dans la mort. Ce fut une extinction ordinaire d'une période géologique vague qui se termina dans une fin incertaine. Cette mort fut catastrophique et comprenant l'ensemble des choses." La conclusion est, que la fin de l'Ere Glaciaire, l'extinction du Pléistocène, la fin du Paléolithique Supérieur, le Magdalénien, le Périgourdien, et ainsi de suite, tout arriva à une conclusion globale, catastrophique il y a environ 12000 ans. Et, comme il se trouve, même avant que cette preuve ne soit mise en lumière, c'est la même date approximative que Platon donnait pour l'effondrement de l'Atlantide. Coïncidence? Dans la banlieue de Brno en Moravie, il y a une carrière où des travailleurs ont découvert les os d'un mammouth laineux. Là, dans la carrière, fut découvert une séquence profonde de 160 pieds (NdT: 48 mètres) de cycles de sols multiples. Chaque cycle de climat du chaud au froid était exprimé comme une séquence de types de sol reflétant le changement d'une forêt humide, à feuilles caduques, à une toundra gelée, aride, craquelée par du permafrost pénétrant profondément. A mi-chemin à travers chaque cycle, il y a de nombreuses bandes de fine poussière balayée par le vent dans ce qui a du avoir été des tempêtes monstrueuses d'échelle continentale. Des spéculations d'expert suggèrent que cette poussière doit avoir enveloppé la Terre pendant des semaines ou des mois à une époque et doivent avoir produit un effet réfrigérant sur le climat de l'Europe. Dans la partie plus froide de chaque cycle, l'environnement était devenu si sec que même les grands fleuves s'asséchèrent. Il semble que les couches de glace qui avançaient de manière répétée vers le sud étaient accompagnées par le développement de grands, mais temporaires, déserts dans toute la Russie et l'Ukraine, s'étendant même en Europe du sud-est et aux rives de la Mer Noire. Chaque passage du froid glaçant au chaud était abrupt dans chaque cycle. Des océanographes de Turquie, Russie, Bulgarie et des Etats-Unis explorèrent en équipe la Mer Noire. En utilisant des ondes sonores et des dispositifs de carottage, ils découvrirent que la Mer Noire était à une époque un grand lac d'eau douce. Glenn Jones de la Woods Hole Oceanographic Institution data les échantillons du fond de la Mer Noire et confirma qu'il y a 7500 ans environ, les mers avaient fait irruption par la vallée du Bosphore et l'eau salée de la Méditerranée se répandit dans le lac avec une force inimaginable. Ce qui était évident était que c'était arrivé soudainement et presqu'instantanément. Ce qui fut aussi noté était que les quantités massives d'eau salée dans la Mer Noire avaient été déficientes en oxygène.
Cette description plutôt dramatique au verso du livre d'Otto Muck – Le Secret de l'Atlantide – est basé sur ses idées sur la relation causale entre les isothermes et le climat favorable en Europe du nord-ouest, et le flux non obstrué du Gulf Stream à travers l'Atlantique. Muck essaie d'utiliser ce flux pour fabriquer un cas pour l'existence antérieure d'un grand corps de terre dans l'Atlantique dont l'affaissement changea les courants océaniques et réchauffa les Iles Britanniques il y a environ 10500 ans environ. Basé sur une collection variée et intéressante de données dures, Muck suggère que le massif sous-marin des Açores était à une époque au-dessus de l'eau et pourrait avoir bloqué et dévié le Gulf Stream, empêchant la circulation des eaux plus chaudes, et ainsi contribuant aux températures glaçantes des Iles Britanniques. Il y a d'autres solutions au problème des isothermes y compris la recherche actuelle montrant que ceci peut résulter du réchauffement global. Bien que nous ne nions pas que ce soit possible, pour une telle rupture sévère de la lithosphère comme Muck la suggère, nous ne plaisantons pas avec l'idée de destruction de masse des espèces, cela semble simplement qu'un événement qui produirait le naufrage d'un si vaste corps de terre si complètement serait un événement duquel absolument rien sur la Terre ne survivrait. Néanmoins, Otto Muck attire notre attention sur les cratères de météores dans les Carolines. Les Carolina bays sont des caractéristiques de terrain mystérieuses souvent remplies de lauriers et d'autres végétations de marais. A cause de leur forme ovale et leur orientation régulière, elles sont considérées par certaines autorités comme étant le résultat d'une grande pluie de météores qui arriva il y a approximativement 12000 ans. Ce qui est le plus étonnant est le nombre. Il y a plus de 500 000 de ces bassins peu profonds parsemant la plaine côtière de la Géorgie au Delaware. C'est une figure effrayante.Laissez-moi répéter: il y a plus de 500 000 de ces bassins peu profonds. A la différence de virtuellement tous les autres corps d'eau ou de changement en altitude, ces caractéristiques topographiques suivent un modèle fiable et indubitable. Les Carolina Bays sont des dépressions circulaires, typiquement étirées, elliptiques dans le sol, orientées le long de leur grand axe du nord-ouest au sud-est. Elles sont caractérisées en outre par une bordure élevée de sable fin entourant le périmètre. […] Robert Kobres, un chercheur indépendant à Athènes en Géorgie, a étudié les Carolina Bays pendant près de 20 ans en conjonction avec son intérêt plus grand dans les menaces d'impacts de l'espace. Ses enquêtes récentes, auto-publiées, ont des conséquences profondes pour l'étude des Carolina Bays et demandent une recherche par le milieu universitaire. comme nouvelle information sérieuse, pertinente et non examinée antérieurement. L'essence de la théorie de Kobres est que la recherche de "débris", et la comparaison des Bays avec les cratères d'impact "traditionnels", suppose faussement et naïvement que les cratères circulaires avec des matériaux extraterrestres dedans sont la seule preuve terrestre de rencontres passées avec des objets entrant dans l'atmosphère de la Terre. Kobres avance d'un pas logique en supposant que les forces associées avec des corps entrants, principalement une chaleur intense, devrait laisser des signatures visibles sur la Terre. Et finalement, cette physique n'exige pas qu'une "collision" des corps ait besoin nécessairement d'arriver pour produire des changements énormes sur la Terre. Pour vérifier que de telles rencontres sont possibles en dehors du labo de physique, nous avons besoin de regarder pas plus loin que "l'événement de Tunguska". Le 30 juin 1908, dans le voisinage de la rivière Tunguska en Sibérie profonde, une explosion formidable mit à plat instantanément 2000 kilomètres carrés de toundra, abattant des arbres par millions, tous laissés pointant vers l'extérieur d'une zone centrale. Des récits de nouvelles du jour parle de Londoniens étant capables de lire le journal à la lueur du ciel nocturne les jours suivants. Les sismographes du monde entier enregistrèrent un cataclysme apparent en Sibérie. Malheureusement (ou heureusement suivant le cas) l'explosion s'est passée dans une région si éloignée, et à une époque de tels troubles politiques, qu'aucun chercheur ne localisa ou même réussit à voyager jusqu'au site de l'impact supposé pendant plus de deux décennies. Pas jusqu'à ce que le chercheur en météorites russe Leonard Kulik réussise à pénétrer dans la région inhospitalière en 1927, personne sauf les tribus locales n'avait vu la dévastation et sa nature particulière. A l'épicentre de l'explosion il n'y a pas de grand cratère avec une "roche" dedans, comme on pourrait s'y attendre, mais rien de plus qu'un nombre de "marais ovales nets". La littérature de la Tunguska mentionne généralement les marais seulement en passant, puisque Kulik échoua à localiser là toute preuve d'une météorite et continua à examiner d'autres aspects de l'explosion. Maintenant, regardons un autre article: Les datations au radiocarbone de restes du Pléistocène dans l'Amérique du Nord au nord-ouest sont plus jeunes de 10000 ans dans la partie ouest du pays.[…] Des matériaux du site paléoindien de Gainey au Michigan, daté au radiocarbone à 2800 av. J.-C., sont donnés un âge par datation TL de 12400 av. J.-C. Il semble qu'il y a tant d'anomalies rapportées dans les Etats-Unis nord et au Canada de ce type, qu'ils ne peuvent expliquer par des anciennes aberrations dans l'atmosphère ou autres réservoirs de radiocarbone, ni par contamination des échantillons. […] Notre recherche indique que toute la région des Grands Lacs (et au-delà) fut sujette à un bombardement de particules et à une irradiation nucléaire catastrophique qui produisit des neutrons thermiques secondaires à partir des interactions avec les rayons cosmiques. Les neutrons produisirent de grandes quantités inhabituelles de Pu239 et modifia substantiellement les quotients d'abondance en uranium naturel […] Des augmentations brutales en C14 sont apparentes dans les données marines à 4000, 32000-34000 et 12500 av. J.-C. Ces augmentations sont coïncidentes avec des excursions géomagnétiques. […] L'énergie énorme libérée par la catastrophe en 12500 av. J.-C. pourrait avoir chauffé l'atmosphère à plus de 1000°C au-dessus du Michigan, et le flux de neutrons à des lieux plus au nord aurait fondu considérablement la glace. Des effets de radiation sur les plantes et les animaux exposés aux rayons cosmiques auraient été létaux, comparables à être irradié dans un réacteur de 5 mégawatts pendant plus de 100 secondes. Le modèle général de la catastrophe correspond avec le modèle d'extinction de masse avant l'ère Holocène. L'Hémisphère Occidental était plus affecté que l'Oriental, l'Amérique du Nord plus que l'Amérique du Sud, et l'Amérique du Nord orientale plus que l'Amérique du Nord occidentale. L'extinction dans la région des Grands Lacs fut plus rapide et prononcée qu'ailleurs. Des animaux plus grands furent plus affectés que les plus petits, un modèle qui est conforme à l'attente que l'exposition à la radiation affecte les grands corps plus que les petits [Firestone, Richard B., Topping, William, Terrestrial Evidence of a Nuclear Catastrophe in Paleoindian Times,(Preuve Terrestre d'une Catastrophe Nucléaire à l'Epoque Paléo-Indienne) dissertation research, 1990 - 2001.] La preuve d'une Catastrophe Nucléaire évidemment, pose la question quant à ce qui la provoqua? Firestone et Topping essaient de l'assigner aux effets d'une Supernova. Cependant, cela évoque étrangement l'histoire de Platon sur l'Atlantide qui dit qu'il y eut une guerre entre des super-puissances juste avant le cataclysme global. Le Timée et le Critias, écrits par Platon vers 360 av. J.-C. sont les seuls enregistrements écrits existants qui se réfèrent spécifiquement à l'Atlantide. Les dialogues sont des conversations entre Socrate, Hermocrate, Timée, et Critias. Apparemment en réponse à une conversation par Socrate sur des sociétés idéales, Timée et Critias sont d'accord pour entretenir Socrate avec un conte qui n'est "pas une fiction mais une histoire vraie". L'histoire est sur le conflit entre les anciens Athéniens et les Atlantes 9000 ans avant l'époque de Platon. Le savoir de l'ancien temps était apparemment oublié des Athéniens de l'époque de Platon, et la forme que prit l'histoire de l'Atlantide dans le récit de Platon était qu'elle était transmise à Solon par des prêtres égyptiens. Solon passa le conte à Dropides, le grand-père de Critias. Critias l'apprit de son grand-père aussi nommé Critias, fils de Dropides. Platon décrit l'Atlantide comme un "empire île" qui "en un seul jour… disparu dans les profondeurs de la mer." Mais il dit aussi que cette "île" était plus grande que la Libye et l'Asie Mineure combinées. Tout de suite nous percevons que ses termes sont un petit peu différents de ce que nous utiliserions. Nous pouvons penser que ce terme "île", signifie simplement que ce corps de terre n'était pas connecté à l'Eurasie ou l'Afrique – que c'était un corps distinct de terre entouré d'eau – excepté pour quelque chose d'autre qu'il ajouta: Platon dit aussi que l'Atlantide était "le chemin vers d'autres îles, et de celles-ci vous pouviez passer au continent opposé en entier." Ceci nous suggère une formation de terre inhabituelle – un isthme. Son expression qu'elle "disparut dans les profondeurs de la mer" voulait probablement signifier pour suggérer qu'elle fut balayée par des tsunamis immenses comme résultat de quelque événement cataclysmique. Donc, en considérant ces indices – sa taille énorme, la définition du terme "navigable", et l'idée que "disparaissant dans les profondeurs de la mer" signifie très probablement balayée par des murs d'eau terrifiants, jetons un coup d'œil à travers les Colonnes d'Hercule. Que voyons-nous? Bien, nous voyons les Amériques. Nous voyons les Amériques du Nord et du Sud connectées par un isthme. Nous voyons aussi un tas de petites îles dans les Caraïbes. Un autre indice que Platon nous donne est que l'Atlantide avait beaucoup d'éléphants. Qu'est-ce que le Professeur Hibben a trouvé en Alaska? Des miles de carcasses d'éléphant. A maintes reprises nous trouvons ces indices bizarres qui pointent vers une civilisation ancienne qui existait il y a quelque dix mille ans. Il y a eu une controverse déchaînée pour des générations entre pro-Atlantes et anti-Atlantes sur cela. Il semble qu'il y ait des restes archéologiques suffisants pour justifier une étude scientifique sérieuse basée sur une telle hypothèse. L'archéologie et l'ethnologie, étant des sciences d'observation, et pas des sciences expérimentales, ont construit leur structure entière sur l'étude de ces restes. Et quand nous regardons de près au tableau des découvertes dans ces domaines, nous découvrons des petits morceaux de cultures d'un âge presque indicible. Le fait que la science uniformitariste permet à peine l'idée de destruction cataclysmique pour faire partie de l'hypothèse endommage les archéologues et, en final, peut les rendre tous fous. Sans l'algorithme de cataclysme cyclique, les archéologues ne peuvent totalement comprendre ce qu'ils observent, ni ne peuvent expliquer les anomalies ici et là (si on suppose une grande antiquité de civilisation sans cataclysmes). Le fait semble être que, ce qui continue à exister en termes de restes archéologiques d'époques avant 7000 ans ou plus, a été sujet à des cataclysmes géologiques et cosmiques de violence presque incompréhensible et peu de reliques majeures restent pour une lecture approfondie. Ces petites quantités, cependant, sont mises de côté comme anomalies de l'archéologie et de l'ethnologie, et leur existence même est enterrée ou niée dans des efforts pour éviter l'écroulement du château de cartes si laborieusement établi par ces sciences. Néanmoins, nous trouvons que tout autour du globe, avec peu d'exceptions, ces études s'arrêtent presque complètement vers 7000 à 10000 av. J.-C., temps auquel ils rencontrent ce que les mathématiciens appellent une "discontinuité". Immédiatement après cette discontinuité, tous les points chauds de civilisation ancienne que les archéologues acceptent comme valables apparaissent soudainement sans indication de développement graduel, uniformitariste. En outre, il semble qu'il y ait une indication considérable que ces développements étaient des restes dégénérés de quelque chose déjà perdu dans les brumes de l'antiquité. Des bibliothèques entières de livres ont été écrites démontrant cette antiquité de l'homme et de ses civilisations, mais cela n'a pas encore été accepté, même en principe, par aucune branche de la science. La police de la pensée scientifique s'oppose à tout type de changement cataclysmique dans la structure de la Terre et ira à tous les extrêmes pour éviter d'affronter cette évidence. Ou peut-être que le REEL problème est que quelqu'un a affronté l'évidence – ils ne la diffuse pas au public – même aux niveaux élevés du gouvernement. En addition à ce qui peut être appelé événements cométaires plus "anciens", tous les jours de plus en plus de données surgissent pour démontrer qu'ils arrivent avec une fréquence effrayante qui nous donnerait une pause. Les articles de nouvelles suivants m'ont attiré l'œil récemment: Robert Matthews Science Correspondent, The Telegraph - Londres 4-11-01 Les scientifiques ont trouvé la première preuve qu'un impact de météorite dévastateur au Moyen Orient peut avoir déclenché l'effondrement mystérieux de civilisations il y a plus de 4000 ans. Des études d'images satellites de l'Irak du sud ont révélé une dépression large de deux miles (NdT: 3,2 km) que les scientifiques disent porter tous les marques d'un cratère d'impact. Si c'est confirmé, cela indiquerait le Moyen Orient comme étant touché par un météore avec une violence équivalente à cent bombes nucléaires. Le cratère aujourd'hui se trouve sur ce qui aurait été une mer peu profonde il y a 4000 ans, et tout impact aurait causé des incendies et des inondations dévastateurs. L'effet catastrophique de ceux-là pourrait expliquer le mystère de pourquoi autant de cultures anciennes déclinèrent soudainement vers 2300 av. J.-C. Elles incluent le décès de la culture Akkad de l'Irak central, avec son empereur semi-mythologique Sargon; la fin de la cinquième dynastie de l'Ancien Empire de l'Egypte, suivant la construction des Grandes Pyramides et la disparition soudaine de centaines d'installations premières en Terre Sainte. Jusqu'à maintenant, les archéologues avaient avancé une horde d'explications séparées pour ces événements, depuis les guerres locales jusqu'aux changements environnementaux. Récemment, quelques astronomes ont suggéré que les impacts de météores pouvaient expliquer de tels mystères historiques. Le pourtour vague du cratère fut découvert par le Dr. Sharad Master, un géologue à l'Université de Witwatersrand de Johannesburg, sur des images satellites de la région d'Al'Amarah, à environ 10 miles au nord-ouest du confluent du Tigre et de l'Euphrate et pays des Arabes des Marais. "Ce fut une découverte purement accidentelle", dit le Dr Master à The Telegraph la semaine dernière. "Je lisais un article de magazine sur les projets de construction du canal de Saddam Hussein, et il y avait une photographie montrant des tas de formations – dont une d'elles était très, très circulaire." L'analyse détaillée d'autres images satellites prises depuis le milieu des années 1980 montra que pendant des années le cratère contenait un petit lac. Le drainage de la région, en tant que partie de la campagne de Saddam contre les Arabes des Marais, a causé depuis la récession du lac, révélant un bord comme un anneau à l'intérieur de la dépression plus grande en forme de bol – une caractéristique classique des cratères d'impact météoritique. Le cratère apparaît aussi être, en termes géologiques, très récent. Le Dr. Master dit: "Les sédiments dans cette région sont très jeunes, donc quelle que soit la cause de la structure en forme de cratère, cela a du se passer dans les 6000 dernières années." […] La découverte du cratère a allumé un grand intérêt parmi les scientifiques. Le Dr. Benny Peiser, qui donne des conférences sur les effets des impacts de météorites à l'Université John Moore à Liverpool, dit que c'était une des découvertes les plus significatives de ces dernières années et corroborerait la recherche que lui et d'autres ont menée. Il dit que les cratères trouvés récemment en Argentine datent d'environ la même période – suggérant que la Terre peut avoir été touchée par une pluie de grands météores vers la même époque. LA TERRE RAVAGEE PAR LES COMETES DURANT TOUTE L'HISTOIRE Publié le 17 août 1999, dans le San Jose Mercury News Par ROBERT S. BOYD Bureau de Washington de Mercury News WASHINGTON – Des découvertes scientifiques récentes jettent une nouvelle lumière sur la raison pour laquelle de grands empires tels que l'Egypte, Babylone et Rome s'écroulent, laissant le chemin aux "âges des ténèbres" périodiques qui ponctuent l'histoire humaine. Au moins cinq fois durant les derniers 6000 ans, des calamités environnementales majeures ont ébranlé les civilisations dans le monde entier. Certains chercheurs disent que ces désastres apparaissent être liés à des collisions avec des comètes ou des fragments de comètes comme celle qui s'est fragmentée et s'écrasa spectaculairement sur Jupiter il y a cinq ans cet été. Les impacts, produisant beaucoup de mégatonnes d'énergie explosive, produisit des nuages immenses de fumée et de poussière qui tourna autour du globe pendant des années, obscurcissant le soleil, faisant chuter les températures et semant la faim, la maladie et la mort. […] La dernière crise globale de ce type arriva entre 530 et 540 ap. J.C. – au commencement du Moyen Age en Europe – quand la Terre fut frappée par un essaim de débris cosmiques. […] Des chercheurs disent que des calamités environnementales similaires arrivèrent vers 3200, 2300, 1628 et 1159 av. J.C. Chacune aboutit à l'effondrement de sociétés urbaines dans des portions largement dispersées sur le globe. […] Bien que la preuve soit débattue, un nombre croissant de chercheurs contestent que la plupart, sinon tous, de ces désastres écologiques sont connectés aux bombardements de l'espace. […] "Après un impact, le nuage de poussière dense qui est créé par l'impact s'étend dans l'atmosphère, arrête la lumière solaire,' dit Rampino. "Cela stoppe la photosynthèse et cause le refroidissement et l'assombrissement du climat, menant à une extinction de masse de grands nombres d'organismes." […] La NASA et l'Air Force cherchent les comètes et les astéroïdes qui peuvent être en trajectoire de collision avec notre planète. Heureusement, rien de taille dangereuse – arbitrairement défini comme plus d'un kilomètre de diamètre – n'a été repéré se dirigeant vers nous pour au moins un siècle. Mais les astronomes disent qu'un impact majeur est inévitable. "La Terre est en train de jouir d'une période tranquille", dit Robert Shoch, un géologue de l'Université de Boston. "Mais vers 2200 ap. J.C., il est probable (sic!) qu'un nouveau flux de fragments de comètes entrera dans des orbites croisant celle de la Terre et poseront une réelle menace à notre planète. Pour des milliers d'années, les comètes ont été associées avec désastre et malheur. Elles sont les messagers de fléaux, tremblements de terre, inondations, désastres naturels et guerres. En fait, le passage d'une comète suivi par une guerre a été assez fréquent pour mériter aux comètes le sobriquet "Les Epées des Cieux". La tradition a attribué la responsabilité aux comètes pour la mort et les destructions, maladie et pourriture, défaite et dissolution, les morts des rois, et la chute des empires. Il pourrait être dit qu'aucun phénomène céleste n'est autant craint largement et généralement; Nous revenons maintenant à la recherche de la source du mécanisme de déclenchement. Comme je le notais dans ma discussion des théories apparentées de Zecharia Sitchin:
Le fait que de tels événements sont cycliques – pulses réguliers d'extinction – suggère un seul facteur d'initiation. Cette question du cycle de ce "retour" présumé est de la plus haute importance. Si nous considérons la possibilité éloignée que cela va arriver, et si nous sommes intéressés dans la destinée humaine, cela nous incombe d'investiguer si oui non il y a une corrélation entre les changements géologiques cycliques dans le passé de la Terre et son avenir, et ce que peut être ce cycle. Si nous pensons, pendant une seconde, qu'il y a même un pour cent de possibilité que de tels événements sont cycliques, et que nous pouvons approcher d'un tel événement, nous devons mettre toutes nos forces de toute notre science et tous les grands esprits de notre civilisation dans la recherche sur cette question. Mais nous NE faisons PAS ça. Au moins ce n'est pas reconnu comme une menace, réelle, peut-être imminente par nos leaders mondiaux, même s'ils se comportent comme si la "Fin du Monde" arrivait et qu'ils font la fête et jouent du violon pendant que Rome brûle. La plupart des théories de la "cause" des pluies cométaires cycliques régulières ont à voir avec quelque chose qui "perturbe" le nuage d'Oort – une enveloppe de comètes qui entoure notre système solaire. Certaines des idées menant à ceci commencèrent comme résultat d'observations des anomalies orbitales dans certaines des planètes extérieures. Des aberrations dans le mouvement orbital de Neptune et Uranus ont convaincu beaucoup de scientifiques qu'il y a une très forte probabilité pour qu'une certaine sorte de grand corps existe dans l'espace solaire au-delà de Pluton et exerce une forte attraction gravitationnelle sur les planètes les plus à l'extérieur et qu'il revient selon un cycle régulier. En août 1996, les Cassiopéens portèrent à notre attention l'idée de notre Soleil ayant une "étoile compagne sombre" qui est le mécanisme "déclencheur" pour les pluies de comètes cycliques, y compris le bombardement cométaire cataclysmique de notre planète par des milliers ou des centaines de milliers de missiles cosmiques. Ce que les C's proposaient était, comme nous le découvrîmes plus tard, tout à fait en ligne avec les études scientifiques sur les possibilités de notre Soleil d'avoir un compagnon. Selon ces théories, des comètes périodiques furent "cognées" dans notre système solaire par une étoile sombre, un "petit frère" ou une "petite sœur" de notre propre Soleil, qui a une orbite longue, elliptique, mesurée, très probablement en millions d'années. Si c'est une étoile compagne, la science actuelle démontre plutôt clairement qu'elle doit avoir une très longue période, autrement, nous la remarquerions tout à fait clairement dans des perturbations orbitales d'un certain type. En fait, le modèle informatique qui s'adapte le mieux aux différentes dynamiques est celle d'une orbite de 27 millions d'années. Et ceci, bien sûr, nous mène à une difficulté considérable: la période de retour de l'Etoile Sombre, opposée à la période des désastres. Evidemment, il est peu probable de se souvenir d'un corps avec une orbite de 27 millions d'années. Cependant, une science avancée antique peut l'avoir comprise certainement et elle fut mémorisée et transmise dans les mythes et légendes fantastiques. J.G. Hills du Los Alamos National Laboratory écrit:
Le travail de ces experts suggère que les observations d'autres systèmes binaires démontrent le modèle pour la séparation projetée qu'ils ont donnée. De telles étoiles appairées sont des "systèmes physiquement connectés", et que ces naines brunes "brûlent", bien que non-nucléaires. La masse minimale nécessaire pour perturber le nuage d'Oort intérieur pour produire de telles pluies est, selon Hills, 0,01 pour cent de la Masse du Soleil. Hill écrit:
Le physicien Richard Muller du LBL (Lawrence Berkeley National Laboratory) conçut la théorie Némésis [2] pour rendre compte de la régularité des extinctions de masse découvertes par Raup et Sepkowski [3] Selon cette théorie une étoile compagne, appelée aussi terroriste cosmique Némésis, orbitant autour du Soleil, perturbe le nuage de comètes d'Oort tous les 26 millions d'années provoquant des pluies de comètes dans le système solaire. Muller croit que Némésis est très probablement une naine rouge, de magnitude 7 à 12, qui devrait être visible avec des jumelles une fois localisée. En 1999 Matese, Whitman et Whitmore publièrent un papier [4] dans lequel ils aboutirent à des conclusions similaires par analyse statistique de 82 comètes de la nouvelle classe I du nuage d'Oort. Le papier suivant, intitulé Supportive Evidence for a Brown Dwarf Solar Companion, (Preuve de Soutien d'une Naine Brune Compagne du Soleil) [5] utilise une base de données étendue qui a augmenté le nombre de comètes de 82 à 89. La naine brune présumée est attendue à être localisée quelque part le long de l'arc de 135 et 135+180=315 degrés de longitude galactique: Figure 2. Graph by Matese showing cometary scatter patterns which may suggest the orbit of the “Perturber.” By permission. Ainsi, nous comprenons que ce n'est pas ce jumeau du Soleil qui "apparaît" à chaque période de catastrophe. Néanmoins, les analyses des comètes périodiques suggèrent qu'il passe dans le nuage d'Oort comme une boule de bowling à travers des quilles, envoyant une nouvelle collection d'entre elles tournant dans une orbite périodique, et à cause des lois de la mécanique céleste, elles établissent diverses sous-orbites, y compris un bombardement majeur à ce qui apparaît être un intervalle de 3600 ans, dont le dernier arriva vers 1628 av. J.C. Cette idée a quelque soutien des ETUDES SCIENTIFIQUES, ce que la théorie de la Planète Nibiru comme visiteur du système solaire intérieur N'a PAS. C'est-à-dire, le non-sens propagé par les partisans des idées "Planète X" et "Nibiru" est scientifiquement intenable. Ark: En 1985 le scientifique de Los Alamos J.G. Hills publia un papier [1] analysant les conséquences possibles d'un passage d'un compagnon stellaire hypothétique, 'Némésis'. Il estimait la probabilité pour que son orbite soit perturbée par une étoile de passage à 15%. Jugeant par le manque de dommage évident aux orbites planétaires. (toutes les orbites étant presque circulaires, avec quelques irrégularités pour Neptune et Pluton), Hills conclut qu'aucune naine noire plus massive que 0,02 de la masse du Soleil n'était entrée dans le système planétaire depuis l'espace interstellaire. Cela n'empêche pas la possibilité que Némésis puisse cycliquement envoyer des pluies de comètes vers le système solaire interne. De plus, ses conclusions sont basées sur l'hypothèse qu'il n'y a pas de corrections aux lois standard de la gravitation, laquelle hypothèse peut changer dans l'avenir, quand plus de données deviendront disponibles des sondes interplanétaires, et quand nous apprenons plus sur le rôle des interactions éléctriques et magnétiques des corps cosmiques et du plasma de l'espace. Découvrir les détails requiert de la recherche. Et la recherche requiert une hypothèse. Et une hypothèse requiert d'admettre des possibilités et faire des observations qui ne sont pas établies sur des hypothèses qui se sont avérées êtres à maintes reprises inadéquates pour expliquer l'ordre de l'univers. A présent, il y a très peu d'"experts" qui regardent même la question de notre soleil ayant un compagnon. Vous pouvez les compter sur les doigts d'une main. L'article suivant que nous voulons considérer est ceci: Dans le livre de Mike Baillie, Exodus to Arthur (Exode vers Arthur), il écrit: Il y a deux types de corps physique qui peut toucher la Terre, à savoir, les comètes et les astéroïdes. Dans le passé, les peuples anciens avaient vu et enregistré les comètes; la chevelure gazeuse brillante qui est illuminée par le soleil fut souvent décrite comme un arc, ou une épée, ou un bras dans le ciel. Il n'y a pas d'archives évidentes sur les astéroïdes, petits corps sombres qui sont effectivement invisibles sans télescope, et pas faciles à détecter même avec de grands télescopes. Les astronomes ont consacré beaucoup de temps aux astéroïdes parce que, d'un point de vue danger, les plus intéressants sont bloqués dans des orbites dans le système solaire interne. Mais peut-être l'intérêt est en réalité stimulé par le fait que la plupart des plus anciens furent découverts par accident et certains sont sur des orbites coupant celle de la Terre. […] Il est maintenant connu que les comètes que nous voyons prennent leur origine dans ce qui est effectivement une enveloppe de comètes appelé le Nuage d'Oort qui se trouve loin au-delà des confins du système solaire. De temps en temps les effets gravitationnels d'étoiles de passage, ou des changements dans la position de notre soleil par rapport au plan galactique, déplace les comètes du nuage d'Oort dans le système solaire; certaines de ces comètes pénètrent le système solaire interne où nous résidons. Comme déjà noté, des objets se déplaçant à l'intérieur du système solaire représentent un danger certain pour les habitants de cette planète. Regardé de manière simpliste, nous sommes piégés au milieu d'une cible, orbitant près de la mouche (Le Soleil) et de temps en temps des objets sont tirés vers le centre de la cible. Alors, juste pour rendre le jeu plus intéressant, il y a un déflecteur (dans ce cas la planète géante Jupiter) dont le champ gravitationnel est suffisamment puissant pour pousser la plupart des missiles arrivant et soit les capture, soit les renvoie, loin de la cible. Malheureusement, le déflecteur ne réussit pas à 100 pour cent et il encourage en réalité certains vers la cible: encore pire, il casse quelquefois le missile et tire un éparpillement de débris vers la cible. Bien que la réalité soit bien plus complexe que ce simple modèle, le modèle est suffisant pour sentir le problème. […] [Note spéciale: remarquez que Baillie a rapporté que Jupiter est un "attracteur de comètes". Considérez qu'à la lumière de toutes les récentes découvertes des "nouvelles lunes" de Jupiter, les nombres sont en augmentation presque quotidiennement!] Les comètes sont des masses de roches, de glace et de matériaux organiques, de débris restants de la formation du système solaire compactées lâchement, mais profondément gelées, dures. Le terme commun 'boule de neige sale" ne leur rend justice qu'à moitié. […] Une boule de neige est typiquement envoyée à une vitesse d'environ dix mètres par seconde; une comète voyage typiquement de 20 à 50 km par seconde! [72 000 mph (NdT : 115 848 km/h pour être précis!)]. Donc ne pensez pas à des boules de neige sales; pensez à des boules de glace psychopathes. […] Tandis que la population d'astéroïdes dans le système solaire interne est relativement stable, et en tant que morceaux de roche ou de nickel-fer les astéroïdes eux-mêmes sont plutôt stables, les comètes sont un petit peu plus variées. Normalement quelques kilomètres ou miles de large, elles peuvent être capturées dans des orbites passablement stables qui peuvent être de périodes longues ou courtes – quelques années ou des milliers d'années. Ces types à long retour apparaîtront normalement du fond du ciel et ne sont pas beaucoup différentes d'une comète complètement nouvelle. […] Puis il y a les comètes géantes jusqu'à des centaines de kilomètres de large. […] Si elle sont laissées à orbiter suffisamment longtemps, toutes les produits volatils de la comète brûleront en fin de compte et seul le noyau en roche restera, effectivement indiscernable d'un astéroïde. Donc il y a au moins deux grandes classes de danger de comètes: l'interaction entre une comète vivante et la Terre et l'interaction entre une comète morte et la Terre, avec la dernière étant indiscernable du danger d'astéroïde. Nous avons besoin de penser un petit peu plus sur cette idée d'être impacté – qu'est que ça signifie en réalité. Bien, il y a des impacts et il y a des presque-manqués. Nous pouvons imaginer le cas simple. Un rocher arrive à toute vitesse et impacte la Terre directement à grande vitesse. Dépendant de la taille du rocher et de la vitesse, il y a une explosion allant de l'équivalent de quelques kilotonnes à des centaines de millions de mégatonnes. Il est clair que rien dans la dernière classe n'est arrivé dans même les derniers millions d'années – bien que nous ayons été témoins de ces impacts sur Jupiter en juillet 1994. Dans ce scénario d'impact direct peu importe que l'objet soit un astéroïde ou une comète vivante ou morte; taille et vitesse sont tout ce qui importe. Cependant, les presque-manqués sont une chose différente en tout. Un presque-manqué avec un astéroïde est juste ça: 'whoosh – on a eu de la chance', et comme mentionné, nous en avons eu plusieurs de ceux-ci dans les temps récents. Un presque-manqué avec une comète, qu'elle soit morte ou vivante, peut être très différent. Parce que les noyaux cométaires sont 'comprimés lâchement' il y a une tendance pour eux d'être déchirés par les champs gravitationnels du Soleil ou des planètes dans toutes situations très proches. Donc, nous pouvons être joliment sûrs que les noyaux cométaires ne voyagent pas seuls; il y a probablement toute une hiérarchie de fragments. Cela pourrait arriver en un seul passage ou ça pourrait arriver sur plusieurs orbites. Un telle activité peut mener au chargement de l'atmosphère de la Terre avec de la poussière et peut-être même des matériaux volatils et, comme Clube et Napier, et Bailey et Steel, et Vershuur et d'autres argumenteraient, avec la possibilité d'impacts multiples de classe-Tunguska – l''essaim cosmique'. Des mathématiques simples indiquent que pour chaque comète qui nous impacterait, environ 4000 passent plus près de nous que la distance Terre-Lune. L'introduction aux dangers cométaires nous dit que le problème réel à l'échelle de temps de la civilisation est les débris associés avec une comète 'passant près', sans tenir compte de si la comète est morte ou vivante. Comme nous verrons, la comète vous choquera passablement. […] Qu'est-ce qui se passerait je me suis demandé, dans une approche serrée? J'ai cherché après Gerry McCormac, un collègue qui avait été formé et travaillait comme physicien atmosphérique. […] Quand je lui demandais ce qu'il pensait qu'il arriverait si une comète approchait très prés de la Terre, sa réponse fut renversante: Si elle arrive dans la magnétosphère de la terre ce serait probablement spectaculaire… le ciel virerait au pourpre ou au vert, des particules de la comète descendraient en spirale le long des lignes de force et il est probable que vous auriez des spectacles d'aurores boréales étonnants et des serpentins colorés… Soudainement une nouvelle série de possibilités s'était ouverte. On devait essayer d'imaginer un corps cométaire, ou des débris associés, passant dans la magnétosphère de la terre et produisant possiblement un spectacle fabuleux, en mouvement, coloré. Donc je demandais s'il y aurait tout autre phénomène associé – du bruit peut-être? Il répliqua: "Bien, les Esquimaux disent qu'au moment de l'aurore ils entendent quelquefois un bruit de sifflement… mais! … les scientifiques qui prennent un équipement d'écoute sensible ne réussissent pas à enregistrer quelque chose.' […] Il y a toute une littérature sur les sons auroraux et, en effet, des sons entendus directement de bolides, même de comètes. Colin Keay a écrit de manière étendue sur ces phénomènes. […] Des gens ont prétendu qu'ils ont entendu une boule de feu qui arrivait et en fait l'entendirent et se tournèrent pour la voir. Voilà la contradiction: le flash de lumière de la boule de feu voyage bien plus vite que tout son associé. La sagesse traditionnelle tient que nous ne pouvons en réalité entendre les boules de feu qui arrivent, nous pouvons entendre le grondement et l'explosion seulement quelque temps plus tard, habituellement après que nous les ayons vues. Keay a accumulé des informations montrant que certaines gens entendent authentiquement des boules de feu comme elles arrivent et avant de les voir: comment? La queue de plasma d'une grande boule de feu peut générer des émissions radio d'Extra Basse et Très Basse Fréquence; si un observateur se trouve être debout derrière un objet approprié (ou peut-être s'il porte un objet approprié comme des lunettes ou un casque, cet objet peut agir comme un récepteur du signal électromagnétique – ainsi l'observateur 'entend' en réalité la boule de feu qui arrive comme elle entre dans l'atmosphère, avant de la voir. Le nom technique pour ce phénomène est 'geophysical electrophonics'. [Baillie, Exodus to Arthur, Batsford; Londres, 1999] Pour quelque temps nous observons le comportement du gang de Bush et des autres espiègleries politiques sur la planète. Nous avons observé l'apathie de l'humanité en général. Nous avons fait la recherche et suivi un fil après l'autre aussi loin que l'on pouvait aller et nous avons sonné l'alarme vigoureusement jour après jour jusqu'à la nausée. Nous n'avons pas fait tout ça avec l'idée que ça "sauverait le monde" ou changerait significativement quelque chose. Nous savons simplement que le bâtiment est en feu et nous voulons essayer de saisir quelques autres qui le savent pour sortir en sécurité. En général, depuis que les C's nous donnèrent certaines données sur l'Etoile Compagne, nous tendons à penser que l'événement était "dans l'avenir", et que le moment entre l'apparition et la disparition du jumeau serait court, à la suite de quoi le temps entre sa disparition et l'arrivée du groupe frais de comètes serait de quelques années. Par exemple: observation du soleil jumeau en 2005 et comètes en 2009 ou quelque chose comme ça. Ceci pourrait aller, bien que peut-être les nombres soient à côté. Les C's ont dit que l'approche au plus près de l'Etoile Compagne est quelque part vers l'orbite de Pluton. Pluton est à 6 000 000 000 km de la Terre. Si vous voyagez à une vitesse cométaire moyenne de 108 000 km/h, vous pourriez aller à Pluton en 10 ans environ. Inversement, quelque chose pourrait aller de Pluton à ici dans cette période de temps – en supposant qu'il entre dans le système solaire à un point donné et aille en ligne droite. Ce que ceci ne prend pas en compte est la mécanique du mouvement des comètes perturbées dans le nuage d'Oort. Il y a un autre problème qui surgissait récemment et mena à de nouvelles idées surprenantes. L'e-mail que j'ai écrit aux membres de l'Ecole Future Quantique expliquera mieux la question: Nous avons revu toutes les mentions de l'étoile compagne dans les transcriptions et identifié nos questions qui étaient chargées avec des hypothèses et ce qui nous rapporta une réponse ambiguë ou une réponse "embrouillante" et essayer de trier ce que les C's avaient réellement essayé de transmettre. Comme un des membres de l'équipe faisait remarquer la nuit dernière, l'info des C's est une sorte de "dispositif" pour ma propre pensée et s'ils donnent des indices dans une sorte de "code" afin de ne pas 1) violer le libre arbitre, 2) créer une communication supraluminique destructrice dans les paradoxes passés, alors l'information sera délivrée de telle manière que je serai seule capable de l'obtenir sur certains points quand les "déclencheurs" appropriés dans l'environnement sont poussés. Dans ce cas, c'était juste avant-hier – et comme un résultat du post sur le sujet du maximum solaire étant si sacrément prolongé. C'était supposé être fini il y a longtemps et les "employés" continuaient à "étendre" leurs explications pour couvrir le fait que le Soleil est si actif et personne ne peut l'expliquer. Nous commençâmes à parler sur cela et le commentaire fut fait que le Soleil peut "réagir à l'approche serrée" du compagnon. Mais alors, quelqu'un remarqua que les C's ne disaient pas ça quand c'est arrivé, la gravité du Soleil augmenterait et les taches solaires et les éjections de masse solaire en conséquence seraient supprimées? Bien, sûr. C'est ce que les C's ont dit. Et c'était le problème. Si le compagnon du Soleil approchait, comment pouvez-vous l'avoir des deux manières: pas de taches solaires et plus de taches solaires??? Vous ne pouvez pas. Bien, nous essayâmes d'expliquer ceci en disant "les comètes doivent le faire". Mais les comètes ne sont pas supposées être à l'ordre du jour APRES que le compagnon soit vu. Et alors, il y a la question toujours présente – dans mon esprit, ce n'est pas satisfait en supposant un voyage supraluminique des corps cométaires! – des distances impliquées et le "temps" requis pour leur voyage de l'orbite de Pluton au système solaire interne. OK. Il y avait le problème et je partis me promener et tandis que je marchais, je continuais à ruminer sur cette "augmentation de la gravité du Soleil" et alors je réalisai que cela était DEJA ARRIVE durant la période connue comme le Minimum de Maunder. Je me suis aussi rappeleé qu'il y avait une étrange étoile vue par Flamsteed que beaucoup d'astronomes avaient essayé d'expliquer comme une supernova, mais aucune de leurs explications de pourquoi les observations de Flamsteed ne collaient pas à des restes de supernova que nous connaissons, n'avait de sens. Bien, l'information sur cette étoile surgit à cause de l'étude des supernova possibles – ce qui mène ensuite à considérer POURQUOI les C's me pressèrent d'étudier les supernovae. Ce fut alors que je réalisai que, si nos suppositions "coloraient" les réponses de notre interprétation des réponses des C's, alors nous avions besoin de revisiter ce sujet sérieusement avec une perspective fraîche. En plus, cette idée répond mieux aux problèmes: Comment une étoile compagne qui passe dans le nuage d'Oort peut apparaître en un point, reculer, et ensuite en juste quelques années nous sommes touchés par des comètes? Cela n'a pas de sens. MAIS, si l'étoile compagne est apparue il y a 323 ans, tirant une grappe de comètes dans son sillage, et qu'ensuite elle vire suivant son chemin orbital, lançant les comètes dans notre direction, elles ont eu environ 300 ans pour voyager de cette manière. Et si l'effet de "traction" eut lieu longtemps - comme c'est certainement le cas – comme le nuage d'Oort tourne, cela pourrait signifier qu'elles arrivent dans le système solaire de TOUTES les directions… et certaines d'entre elles doivent suivre ce mouvement rotationnel du nuage d'Oort, tournant en spirale. Voilà! Cela commence à prendre un sens. Evidemment, cela signifie aussi que nous sommes au milieu du tir au dindon et que NOUS sommes le dindon. Et alors, en considérant l'information de Baillie sur Jupiter comme un "collecteur de comètes, on doit aussi poser la question sur la "soudaine découverte" d'autant de lunes additionnelles de Jupiter. Il capture certains de ces corps très rapidement… est-ce que ça signifie que beaucoup du groupe de comètes est vers l'orbite de Jupiter maintenant – ou quelques uns encore plus près???? Dans combien de temps????? En cherchant dans la littérature une preuve de l'apparition d'un autre "soleil", le 17e siècle se révèle réellement intéressant. Dans son livre Comets and Popular Culture and the Birth of Modern Cosmology (Comètes et Culture Populaire et la Naissance de la Cosmologie Moderne) Sara J. Schechner écrit:
L'auteur a reproduit plusieurs de ces tracts. Les comètes étaient visibles apparemment partout à cette époque. Un de ces tracts montre des comètes en 1680, 1682, 1683. Un autre montre cinq comètes entre 1664 et 1682. Un autre parle de comètes de 1618. Un tract intitulé "The Signs of the Times" montre une grappe de prodiges qui accompagnait les comètes. L'auteur écrit:
L'auteur discute ensuite des contrôles majeurs mis en place à ce moment pour détruire la discussion populaire de prédictions, interprétations, etc… de "signes dans le ciel." Donc nous pouvons comprendre comment tant de cette période de "panique" quand les "gouvernements tombèrent" etc.. fut dissimulé. Basé sur le nombre de pamphlets et dépliants, cela a du être une époque réellement folle et tout le monde pensait que le monde allait à sa fin. MAIS, comme nous progressons dans la description, nous trouvons un des plus intéressants commentaires de tous:
Tout ce que cela suggère est qu'un SECOND SOLEIL fut observé le, et autour du, 29 mai 1630, et que 20 ou 30 ans plus tard un tas de comètes se montrèrent juste comme nous nous attendrions – la première vague à avoir été envoyée par l'étoile compagne qui s'alluma brièvement pour faire peur au plus haut point à tout le monde à l'époque. Et nous voyons vraiment que les effets de cet événement furent exactement comme nous nous y serions attendu, il semble seulement avoir été dissimulé et/ou oublié, pour la plus grande part dans son contexte historique. Aussi, il y a eu des tentatives de décrire ce second soleil comme une "comète". Il est possible, bien sûr, mais il semble que, dans un tel cas, il aurait été décrit comme une "étoile flamboyante", qui était également de mauvais augure. Les observateurs de l'époque n'avait pas de problème à distinguer entre les comètes et d'autres anomalies d'observation. Donc pourquoi il fut décrit comme un "second soleil" est une question intéressante. Aurait-il pu être une supernova? En vérifiant les archives des diverses supernovae, rien ne convient à cette période – soit Cass A, soit Kepler SN, soit Tycho SN… Comment ceci est relié à l'étoile de Flamsteed, quand il l'observa réellement, et d'autres détails restent à être déterminés par les données collectées. Plus tard, John Dryden suggéra que les comètes de 1664 et 1665 furent reliées au Soleil qui fut observé à la naissance de Charles II. Il décrivit cette apparition comme "Ce brillant compagnon du Soleil…" Toutes sortes de comparaisons furent faites suggérant que la naissance de Charles était similaire à la naissance de Jésus, et il fut conjecturé qu'un tel soleil était apparu à cet événement aussi. Donc, même si nous avons très peu pour aller, nous pouvons prendre ces interprétations comme indicatives que ce "soleil de midi" était en vue pendant un moment. Ce qui EST intéressant est comment, autre que ce type de commentaire, toutes les autres archives de ce phénomène ont en quelque sorte disparu – à moins, bien sûr, que l'auteur de ce livre ne les trouva trop folles et omit juste un tas d'entre elles. Donc, il semble que nous ayons trouvé une certaine preuve descriptive qui peut "coller" avec l'hypothèse que le compagnon du soleil était au périhélie le 29 mai 1630, ou assez proche grosso modo . Et que les comètes qui suivirent 20 ou 30 ans plus tard était un groupe initial qui fut envoyé ou poussé avec cette étoile. Si nous sommes corrects et que la perturbation dans le nuage d'Oort fut prolongée pendant des centaines d'années comme la planète passait à travers, et que la perturbation résulta en des masses de comètes entrant dans le système solaire dans un mouvement de spirale, il se peut juste qu'il y en ait de vraiment très grosses là-bas en chemin vers la "cible" venant de TOUTES les directions. Les mathématiciens de l'Ecole Future Quantique se mirent à travailler sur les données et les résultats préliminaires semblent être que nous avons un "hit", sans jeu de mots. Quand les données seront collectées et analysées, nous présenterons des détails complémentaires. Mais, pour le moment, permettez-moi de partager un peu du dialogue entre les membres de la QFS sur le sujet: Premier membre: Pour avoir une idée de ce qui se passe quand un corps de cette taille approche j'ai trouvé un applet java sur le web qui fait tourner une simulation basique d'une étoile crapule entrant dans le système solaire, les résultats sont plutôt dramatiques. Second membre: Merci pour ce lien. Tout ce qui est dans l'ordre de même 40 UA cause réellement les orbites des planètes à être drastiquement déstabilisées. FM: Si nous prenons à la place le milieu du minimum de Maunder en 1680 comme le périhélie, aussi l'année de l'observation de Flamsteed, alors l'approche au plus près de notre jumeau est poussée à 98 UA ce qui est presque le double du point le plus loin de l'orbite de Pluton. SM: J'ai essayé quelque chose comme ceci et obtenu le message suivant de la simulation: ERREUR DE DONNEES! Vous avez entré "90" pour l'Approche au plus près. Ce n'est pas un entrée valide. Approches au plus près > 50 UA n'affectent pas drastiquement le système solaire extérieur. Si c'est correct, alors si le jumeau que Flamsteed a peut-être observé ne s'approcha pas plus près que 50 UA, il y aurait peu de preuve des planètes extérieures ayant été perturbées d'une manière suspecte – en outre, Uranus, Neptune et Pluton n'avaient pas encore été découvertes, donc si les planètes extérieures ETAIENT perturbées légèrement entre le début et la fin du Minimum de Maunder, personne n'était là pour l'observer avant pour comparer leur orbite modifiée après. Comme je le comprends, le groupe – comme il passe à travers le système solaire – perdrait quelques uns de ses membres. Donc le groupe global perdrait un peu d'énergie cinétique. Cela signifie que ça ne va pas aussi vite que d'habitude, donc il ne peut retourner au nuage d'Oort. Peut-être qu'il peut s'éloigner suffisamment loin au périhélie afin d'établir une orbite de ~3600 ans. Donc un groupe frais se détacherait simplement du nuage d'Oort, n'ayant jamais assez d'énergie pour revenir. Comme du genre laisser tomber une balle de basket-ball… chaque fois qu'elle rebondit, elle rebondit un peu moins haut à cause des pertes dues au frottement et au son. J'ai dessiné un diagramme de ce que je visualise, basé sur les calculs jusqu'à présent. Maintenant, qu'est-ce que cela signifie pour nous en termes pratiques? S'il y a une naine brune perturbatrice qui donne une claque dans le nuage d'Oort, et si nous avons vraiment un groupe de comètes étant propulsé dans notre système solaire comme avec une fronde, alors il n'y a AUCUN MOYEN d'avoir UN quelconque avertissement quelqu'il soit sans la bonne volonté du gouvernement et des scientifiques qui ont le contrôle des instruments d'observation pour partager leurs données avec nous; Et nous n'avons aussi aucun moyen d'estimer – ou même deviner – quand ou d'où un impact pourrait arriver. On se rappelle: "Personne ne sait le jour ou l'heure…" En bref, à part suggérer que nous entrons probablement dans une période où la Terre va être impactée très probablement une ou plusieurs fois, il n'y a pas beaucoup à dire de plus. Nous entrons probablement dans une période d'une centaine d'années de stock-cars planétaires. Basé sur ce que les Cassiopéens ont dit, soutenu par notre recherche à ce moment, il est très probable que nous faisons déjà l'expérience de certaines des comètes de cet événement: le passage proche de l'Etoile Sombre il y a plus de 300 ans au moment du minimum de Maunder. Je pense que nous serons témoins de quelque phénomène astronomique étonnant dans les prochaines années. "Signes dans le Soleil et la Lune". Je pense que l'activité puissante du Soleil durant ce maximum de taches solaires a eu lieu à cause de ces comètes passant près – des milliers ou des centaines de milliers d'entre elles. Il peut y avoir plus d'activité solaire. Des tremblements de terre secouront la Terre. Des volcans entreront en éruption. Bien sûr, les Autorités constituées sont certaines que leurs préparatifs assureront leur survie. Ils ont mis en oeuvre des programmes de contrôle de l'esprit pour des millénaires, commençant avec les religions monothéistes qui privent l'homme de sa capacité et l'inclination de penser que, dans le dernier cas de réalisation qu'il a été dupé, le privera aussi d'espoir. Dans les 50 ans passés, ces programmes ont augmenté en complexité et l'efficacité. L'humanité est asservie par son propre esprit. Les Autorités constituées ont été aussi occupées que des fourmis avant une tempête, en construisant des enclaves souterraines dans lesquelles ils planifient "d'y aller." Ils pensent vraiment que cela les protégera - et cela se peut - quoique pas des coups directs par un "grand." Au travers de Bush et du gang, les Autorités constituées se sont chargées du pétrole qu'ils planifient de stocker pour que leur survie soit approvisionnée de tous les "conforts de la maison." Les Autorités constituées - soit Terrestres, soit hyperdimensionnelles, peu importe - ont intensifié l'activité dans les deux années passés, envoyant un signal fort qu'ils sont désespérés et que "Quelque chose de Mauvais Vient par Ici. " Mais les C's nous ont donné une alternative ? En effet, quand ils disent "Nous sommes VOUS dans l'avenir," qu'est-ce que ça signifie vraiment ? Ark en a récemment écrit : Les Cassiopéens peuvent-ils être plus explicites ? Rappelez-vous qu'ils sont "Nous dans l'avenir". Mais dans QUEL avenir ? Il y a une infinité d'avenirs et celui dans lequel nous nous trouverons dépend de ce que nous ferons MAINTENANT. Nous avons une certaine, même si elle est petite, quantité de libre arbitre. Ainsi, de quel avenir sont les Cassiopéens? De celui-ci ? Pourquoi pas d'un autre ? Cela n'aurait pas de sens. Donc, mieux, ils sont dans "le groupe d'avenirs" où nous avons survécu et donc nous pouvons communiquer à nous-mêmes dans le passé. Donc ils sont dans un "groupe" et le groupe est tout à fait grand. Il y a certaines choses qui sont communes au groupe entier et seulement ces choses communes, celles qui sont les éléments universels de survie, peuvent être communiquées par une telle "intelligence de groupe". Souvenez-vous cependant que je suis un scientifique, que par ma vraie nature je prends tout avec scepticisme, que je ne croie à rien avant que je ne le vérifie. Donc ce que je dis est ceci : que l'hypothèse que les Cassiopéens peuvent nous communiquer depuis le groupe d'avenirs, bien que cela puisse sembler fou, est en accord avec la physique que je connais et je ne vois rien de mal en la prenant comme une hypothèse de travail. Cependant, nous devrions nous souvenir que, à l'instant final, seulement les faits vérifiés comptent. Nous devons toujours baser nos décisions sur des faits et sur la connaissance qui est basée sur des faits et aussi sur les probabilités que nous attribuons, de sa vraie nature d'une façon subjective, à des hypothèses et des théories différentes. En conclusion, permettez-moi de répéter une citation de La Science Antique: Un des partisans en chef de la théorie des catastrophes au siècle dernier était Immanuel Velikovsky. Les critiques ont visé les remarques incluses de Velikovsky déclarant que sa vision "a montré peu de respect pour les lois de la physique : Dans ses livres, les planètes changent d'orbites – en violation flagrante des lois de la mécanique - et vont entrer en collision avec d'autres planètes."[1] Cette attaque est-elle vraiment justifiée ? Est-ce que parler de planètes sautantes est une preuve d'ignorance, comme les auteurs de Trois Big Bangs semblent impliquer ? Dans un papier publié dans une collection, intitulé : The Stability of the Solar System and of Small Stellar Systems (la Stabilité du Système Solaire et des Petits Systèmes Stellaires), Jeno M. Barthomy [2] a écrit : "il est concevable que quand la Terre a été formée, elle a occupé un état quantique plus haut et, en libérant l'énergie en forme d'ondes de gravitation, 'a sauté' à son présent ' état terrestre. ' Je ne veux pas encore spéculer sur un possible spectre d'onde de gravitation émis de systèmes planétaires nouvellement formés dans l'univers." Comment de tels sauts peuvent-ils arriver en termes de concepts plus conventionnels ? G.J Sussman et Jack Wisdom a écrit en 1992 :"L'évolution du Système Solaire est chaotique. La divergence exponentielle de trajectoires voisines est indicative du comportement chaotique."[3] Jusqu'au temps présent les simulations par ordinateur qui ont été faites [4] n'ont même pas essayé de tenir compte d'un intrus cosmique possible - la naine brune compagne du Soleil dont l'existence et les propriétés ont été recherchées par R. Muller et J. Matese. [5] Ils n'ont pas essayé aussi de tenir compte d'une possible structure fractale de l'espace-temps, qui était le sujet d'une série de papiers et d'une monographie par l'astrophysicien français Laurent Nottale,.[6] J'ai discuté les règles de Nottale de quantification de systèmes planétaires dans mes notes dans le travail présent. Voici assez pour dire que la structure fractale et multidimensionnelle de l'espace-temps, avec les idées avancées par beaucoup de physiciens, astronomes et astrophysiciens, dont les travaux sont cités dans ce livre, rend les sauts cosmiques plausibles. Ma propre recherche a ajouté encore un facteur ici : comme discuté dans ce travail, c'est une des conclusions de l'EEQT que, en règle générale, les accouplements de systèmes quantiques aux systèmes classiques incitent le comportement chaotique et les modèles de type fractal de sauts quantiques.[7] Cela peut être une des raisons pour lesquelles l'espace-temps est du type fractal tant dans la micro - que dans la macro-échelle. L'événement produisant l'algorithme qui est à la base d'EEQT peut être facilement modifié, utilisant des constantes d'accouplement d'échelle cosmiques, pour décrire de tels sauts en termes d'un processus de Markov déterminé par échelons quand les périodes prolongées d'évolution continue sont dispersées par les sauts d'un caractère aléatoire. La caractéristique principale de l'EEQT est qu'elle fournit un algorithme pour décrire l'histoire d'un système individuel, où les sauts ont vraiment lieu. Donc il fournit des outils appropriés pour traiter non seulement avec des micro-particules, mais aussi avec des corps cosmiques, comme discuté dans ce travail présent. Il peut aussi mettre des outils dans nos mains qui nous aideront à intervenir dans les "événements" de Catastrophe Cosmique. Le message premier de La Science Antique est qu'une telle période continue peut arriver bientôt à une fin et que l'état quantique cible après le saut n'est pas entièrement déterminé. Nos actions, ou notre manque d'action maintenant, forment la distribution de probabilité de notre futur environnement "après le Déluge”. En paraphrasant légèrement la citation de l'ami de Niels Bohr, Piet Hein, comme utilisé dans Geons, Black Holes and Quantum Foam (Geons, , Trous noirs et Écume Quantique) de John Archibald de Wheeler:[8] Nous avons
besoin de connaître Tout ce spectacle Et le temps se tarit. L'année dernière nous avons posté une image d' Une comète étant attrapée dans le champ de Jupiter et finalement heurtant Jupiter. Notez que la date sur l'image est 1929. Cela signifie que les "Autorités constituées" avaient la capacité ce jour-là pour voir et calculer une telle capture et une orbite irrégulière. Plus que cela, que quelqu'un observait déjà les comètes et Jupiter dans les années 20... Pour comprendre juste ce qui se passait dans les années 20, lisez s'il vous plaît Secret Government Timeline (Chronologie Secrète du Gouvernement) aussi bien que Adventures Series. C'était le moment même où nous avons décidé que les plans pour la prise de contrôle d'humanité au jour présent étaient formulés. [...] Parmi les questions soulevées par la découverte prétendue de tant de nouvelles lunes de Jupiter est qu'en 2000 scientifiques (pas du U de Hawaï) découvrirent une douzaine de nouvelles lunes autour de Saturne. Maintenant Saturne est bien plus loin que Jupiter. Pourquoi n'ont-ils pas découvert ces nouvelles lunes de Jupiter d'abord? Mais encore plus étrange que tout ça, est la question quant à pourquoi ces lunes ne furent pas découvertes des décennies ou même des siècles avant? Les scientifiques de Hawaï disent même que ces nouvelles lunes étaient probablement des astéroïdes capturés il y a des millions d'années. Bien… pourquoi personne ne les a vus avant maintenant? Et en ce qui concerne les satellites que nous avons eu là prenant des photos dans la région? Ne serait-il pas juste aussi utile de suggérer que ces nouvelles lunes n'étaient PAS là il y a une décennie? Si les nombreux rapports des "Nouvelles Lunes" de Jupiter sont des guides grossiers que beaucoup de nouveaux objets sont en train d'entrer dans le système solaire, alors cela suggère que le problème de la force destructrice de la Guerre Globale et les masses endormies de l'Humanité peuvent être résolus bientôt. Par un caprice ou une coïncidence étrange, la session suivante fut tenue le 4 juillet… 04/07/98 Q: (A) J'essaye d'écrire quelques choses sur une cosmologie, et j'ai quelques questions surtout sur les événements à venir. D'abord il y eut l'histoire de l'étoile brune compagne du Soleil qui approche apparemment du système solaire, et je voudrais savoir, si possible, des détails de son orbite; c'est-à-dire, à quelle distance est-elle, quelle est sa vitesse, et quand elle sera vue en premier. Peut-on le savoir? Orbite: à quelle distance au plus près viendra-t-elle? R: Elliptique plate. Q: (A) Mais à quelle distance au plus près? R: La distance dépend d'autres facteurs, tels que l'orbite intersectante du lieu du témoin. Q: (L) A quelle distance minimum elle pourrait passer près de la Terre…(A) Système solaire…(L) Oui, mais quelle partie du système solaire? Nous avons neuf planètes…laquelle? (A) Je comprends que cette étoile brune entrera dans le nuage d'Oort… (L) Je pense qu'ils disaient qu'elle le frôlait et que la gravité le dérangeait… R: Passe à travers le nuage d'Oort sur son trajet orbital. A déjà fait ceci sur son chemin d'approche. Q: (A) Vous voulez dire qu'il est déjà entré dans le nuage d'Oort? R: Est passé au travers. Q: (A) Donc, il n'approchera pas… R: Le nuage d'Oort est localisé sur le plan orbital au périmètre extérieur à une distance moyenne approximative de 510 000 000 000 de miles. (NdT env. 820 milliards de kilomètres) Q: (L) Bien, 510 milliards de miles nous donnent du temps! (A) Oui, mais ce que je veux savoir… ce nuage d'Oort est autour du système solaire, donc cette étoile brune, une fois qu'elle est passée à travers… (L) Elle doit être déjà dans le système solaire? (A) Non, elle peut être passée à travers et peut ne pas avoir approché plus près. Est-elle en train de s'approcher ou non? S'approche-t-elle tout le temps? R: Le système solaire, de concert avec l'"étoile mère", tourne autour de l'étoile compagne, une étoile "brune". Q: (A) Donc, cela signifie que la masse de l'étoile compagne est beaucoup.. R: Moins. Q: (A) Moins? R: Elles se déplacent en tandem l'une avec l'autre le long d'un plan orbital elliptique. Les limites extérieures du système solaire sont ébréchées par le passage de la compagne brune, expliquant ainsi les anomalies découvertes récemment concernant les planètes extérieures et leurs lunes. Q: (A) Mais je comprends que la distance entre le soleil et son étoile brune change avec le temps. Une orbite elliptique signifie qu'il y a un périhélie et un aphélie. Je voudrais savoir ce que sera, ou ce qu'était, ou ce qui est la distance entre l'étoile brune et le soleil? Quel est le périhélie? Pouvons-nous savoir ceci, même approximativement. Est-ce environ une année-lumière, ou moins ou plus? R: Moins, beaucoup moins. La distance du passage au plus près correspond grossièrement à la distance de l'orbite de Pluton au Soleil. Q: (A) O.K. Maintenant, ce passage au plus près, est-ce quelque chose qui va arriver? R: Oui. Q: (A) Et cela va arriver dans les 6 à 18 ans? R: 0 à 14. Q: (A) O.K. c'est ça. J'ai quelque idée sur cela. Maintenant, je comprends que, par chance ou par accident, deux choses vont arriver essentiellement en même temps. C'est le passage de cette étoile brune, et ce groupe de comètes. Ce sont deux choses différentes? R: Oui. Différentes, mais reliées. Q: (L) Y a-t-il un groupe de comètes qui a été propulsé dans une certaine sorte d'orbite propre, qui continue à orbiter… R: Oui. Q: (L) Et en plus de ce groupe de comètes, il y a aussi des comètes additionnelles qui vont être poussées dans le système solaire par le passage de cette étoile brune? R: Oui. Q: (A) Je comprends que le désastre principal va venir de ce groupe de comètes… R: Les désastres impliquent des cycles dans le cycle expérimental humain qui correspond au passage du groupe de comètes. Q: (A) Je comprends que ce groupe de comètes est cyclique et vient tous les 3600 ans. Je veux savoir quelque chose sur la forme de ce groupe de comètes. Je peux à peine imaginer… R: La forme est variable. L'effet dépend de la proximité du passage. Q: (L) Donc, il peut être étalé… (A) Nous demandions à un certain point d'où il viendrait. La réponse fut que nous étions supposés regarder un spirographe. R: Oui. Q: (A) Maintenant, un spirographe suggère que ces comètes ne viendront pas d'une direction, mais de beaucoup de directions en même temps. Est-ce correct? R: Très bien!!! Q: (A) O.K., elles viendront de beaucoup de directions… R: Mais, la visibilité initiale présente un seul corps solide. Q:
(A) Savons-nous à quelle distance est ce corps à présent? Q: (A) Je garde les yeux ouverts. R: Avez-vous saisi la signification de la réponse par rapport à la chronologie du groupe et de l'étoile brune? Le cycle humain est le miroir du cycle de catastrophe. La Terre en bénéficie sous forme de nettoyage périodique. Il est temps de commencer à faire attention aux signes. Ils montent en flèche. Ils peuvent être "sentis" par vous et d'autres, si vous faites attention. Il viendra un jour où nous pourrons déclarer l'indépendance et le ciel sera illuminé avec une sorte différente de feux d'artifices. " Si elle arrive dans la magnétosphère de la terre ce serait probablement spectaculaire… le ciel virerait au pourpre ou au vert, des particules de la comète descendraient en spirale le long des lignes de force et il est probable que vous auriez des spectacles d'aurores boréales étonnants et des serpentins colorés…" Ce sera un diable de spectacle de feu d'artifice, ne pensez-vous pas? Le Jour d'Indépendance arrive. [1] Hills 85 [2] Muller 88, Muller 96 [3] Raup 86 [4] Matese 99 [5] Matese 00 [6] Parle de votre interprétation boiteuse! La prochaine fois dira que les anciens étaient des sauvages hurlants qui s'enduisaient les cheveux de graisse d'ours! [7] Nous remarquons que les auteurs ne sautent pas sur cette allusion prégnante! Références Scientifiques: [1] Cela montre clairement à quel niveau l'effet de serre a été surestimé en comparaison avec la contribution du soleil au changement de climat, qui se trouve être le facteur le plus important. [1] [Muller 96] [2] [Barthomy 74] [3] [Wisdom 92] [4] [Wisdom 01] [5] [Matese 99, 00, Mueller 88, 96] [6] [Nottale 93, Nottale 97] [7] [Blanchard 00, 01] [8] [Wheeler 98] Note: Le concept "Observatoire Virtuel", pour lequel "Astrovirtel" est un prototype, est le début d'une nouvelle ére dans l'astronomie. Un projet d'étude plus grand appelé 'Observatoire Astrophysique Virtuel' est sur le point de commencer à l'intérieur du programme Fifth EC Framework en tant que collaboration entre ESO, ESA (ST-ECF), l'Université d'Edimbourg (UK), CDS (Strasbourg, France), CNRS (Paris, France) et l'Université de Manchester (UK). Observatoire (ESO). Crédit à "ESA, ESO, Astrovirtel et Gerhard Hahn (Centre Aérospatial Allemand, DLR)" Les membres de ce groupe de scientifiques impliqués dans ces observations sont Gerhard Hahn (Centre Aérospatial Allemand, DLR, Berlin; http://earn.dlr.de/daneops/), Claes-Ingvar Lagerkvist (Université d' Uppsala, Suède; http://www.astro.uu.se/planet/asteroid/), Karri Muinonen, Jukka Piironen et Jenni Virtanen (Université de Helsinki, Finlande; http://www.astro.helsinki.fi/~spa/), Andreas Doppler et Arno Gnaedig (Archenhold Sternwarte, Berlin, Allemagne) et Francesco Pierfederici (ST-ECF/ESO).
En tant que propriétaires et éditeurs de ces pages, nous souhaitons souligner que le matériel présenté ici est le fruit de notre recherche et de notre expérimentation en communication supraluminique. Nous nous demandons parfois si les Cassiopéens sont ce qu¹ils prétendent être, parce que nous ne tenons rien pour vérité indiscutable. Nous prenons tout "cum granulo salis", même si nous considérons qu¹il y a de bonnes chances que ce soit la vérité. Nous analysons constamment ce matériel ainsi que beaucoup d¹autres qui attirent notre attention, issus de divers domaines de la Science et du mysticisme. Honnêtement, nous ne savons pas CE QU'EST la vérité, mais nous croyons qu¹elle est « quelque part par là» et que nous pouvons sans doute en découvrir une partie. Oui, nous pouvons dire que nos vies ont été enrichies par ces contacts, mais certains éléments nous ont aussi rendus perplexes et nous ont désorientés, et ils restent encore à être clarifiés. Nous avons certes trouvé beaucoup de «confirmations» et de « corroborations » dans d¹autres domaines, entre autres la Science et l¹Histoire, mais il y a aussi de nombreux éléments qui, par nature, sont invérifiables. C¹est pourquoi nous invitons le lecteur à partager notre recherche de la Vérité en lisant avec un esprit ouvert, mais sceptique. Nous n¹encourageons pas « l'adepte-isme », ni aucune « Vraie Croyance ». Nous ENCOURAGEONS la recherche de la Connaissance et de la Conscience dans tous les domaines qui en valent la peine, comme le meilleur moyen de discerner le mensonge de la vérité. Voici ce que nous pouvons dire au lecteur: nous travaillons très dur, plusieurs heures par jour, et nous le faisons depuis de nombreuses années, pour découvrir la raison de notre existence sur Terre. C¹est notre vocation, notre queste, notre mission. Nous recherchons constamment à valider et/ou à affiner ce que nous envisageons comme possible, probable, ou les deux. Nous faisons cela avec l¹espoir sincère que toute l¹humanité pourra en bénéficier, si ce n¹est maintenant, alors dans un de nos futurs probables. Contactez l¹administrateur
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