La Connexion Française

[Note de Signs of the Times : Bien que nous trouvions l'information suivante très intéressante, nous restons incertains quant à savoir si le problème décrit dans cet article est aussi sérieux que l'auteur le suggère. Le temps le dira, nous supposons.]

Durant les quelques mois passés et après l'article universitaire des professeurs Walt et Mearsheimer, vous pouvez avoir noté plus qu'un peu de sarcasme dans beaucoup de commentaires de nouvelles et éditoriaux alternatifs traitant de l'influence évidente et excessive du 'lobby d'Israël' en Amérique et au-delà. "Lobby d'Israël ?! Quel lobby d'Israël ?!" s'est exclamé un titre, complété avec plusieurs diffusions de nouvelles officielles qui ont laissé le lecteur sans aucun doute sur le fait qu'être un représentant sioniste au Capitole est d'avoir les clés du Royaume de 'Dieu'. Cependant, comme le temps progresse et que cette infection particulière continue à empirer et à s'étendre à travers le globe, le simple sarcasme devient insuffisant pour traiter avec ce problème et doit laisser la place à une condamnation totale, dans les termes les plus forts possibles, de la politique flagrante d'apaisement de l'idéologie sioniste fasciste et de ses défenseurs par des gouvernements occidentaux.

Contrairement à l'intuition, les gouvernements 'démocratiques' occidentaux ont une histoire longue et ignoble d'apaisement avec la tyrannie et les tyrans, le plus notablement dans le cas de la montée des Nazis et la Seconde Guerre Mondiale.

Politique adoptée par les principaux pouvoirs politiques occidentaux envers les ambitions d'Adolf Hitler dans l'Accord de Munich de 1938. Les leaders, incluant le célèbre Neville Chamberlain britannique, ont consenti à accorder à Hitler des parties de pays en Europe de l'Est pour éviter la guerre.

Wikipedia nous dit: L'apaisement est une politique d'acceptation des conditions imposées d'un agresseur au lieu de la résistance armée, d'habitude au sacrifice de principes. Depuis la Seconde Guerre mondiale, le terme a acquis une connotation négative, dans la politique et en général, de faiblesse, lâcheté et aveuglement.

Bref, l'apaisement peut être défini comme ‘ donner à un voyou ce qu'il veut '.

Regardons comment l'apaisement a fonctionné avec Adolf Hitler et la nazification de l'Allemagne.

Après l'arrivée au pouvoir en 1933, Hitler a immédiatement commencé à réarmer l'Allemagne, ce qui était une violation du Traité de Versailles. Après 1936, il a réintroduit la conscription et en 1939 l'Allemagne avait 95 navires de guerre, 8.250 avions et une armée d'un million d'hommes. La Grande-Bretagne, la France et les Etats-Unis ont fermé les yeux; la Grande-Bretagne a même fait un accord naval avec l'Allemagne, acceptant le droit de l'Allemagne d'avoir une marine qui égalait 35 % de la marine britannique. C'était l'apaisement.

En 1936, Hitler a déplacé ses troupes en Rhénanie. La France n'a rien fait pour arrêter cette violation ouverte du Traité de Versailles. De nouveau, c'était l'apaisement.

En mars 1938 Hitler a envahi l'Autriche et a déclaré l'Anschluss en violation du Traité de Versailles. De nouveau, la France et la Grande-Bretagne n'ont rien fait– bien que le Chancelier autrichien Schuschnigg ait demandé de l'aide à la Grande-Bretagne et la France. Cela (et l'ignorance de l'Ouest des violations des droits de l'homme comme la Nuit de Cristal en 1938) étaient aussi des actes d'apaisement.

Le fait est que beaucoup de personnes en France et en Grande-Bretagne n'apaisaient pas Hitler; beaucoup de Français et d'Anglais avaient activement de la sympathie pour les buts de Hitler; donc leur inaction était à dessein.

C'est la crise de 1938 qui est habituellement marquée comme l'acte principal d'apaisement. Les fonctionnaires allemands locaux affirmaient que les gens des Sudètes avaient été discriminés par le gouvernement tchèque. Le 15 septembre, le Premier ministre britannique, Neville Chamberlain, rencontra Hitler à Berchtesgaden. Hitler a menacé de la guerre, mais a promis que c'était ‘ le dernier problème à résoudre ’. Chamberlain croyait apparemment qu'Hitler était ‘ un homme sur qui on pouvait compter’ et persuada les Tchèques de remettre les Sudètes. Mais quand il a rencontré Hitler de nouveau, à Bad Godesberg le 22 septembre, il y eut d'autres demandes que Chamberlain a refusées. La guerre semblait proche et Chamberlain n'était pas sûr que la Tchécoslovaquie fut ‘ un grand problème ’ qui nécessitait la guerre. Au lieu de cela, il a décidé que c'était ‘ une querelle dans un pays lointain entre des peuples dont nous ne savons rien ’ et, à Munich (le 29 septembre), la Grande-Bretagne et la France ont donné le Sudètes à l'Allemagne. C'était l'apaisement.

En mars 1939, Hitler a envahi les restes de la Tchécoslovaquie sans résistance des Français ou des Anglais. C'était cet événement qui a finalement convaincu la France et la Grande-Bretagne que le Führer n'arrêterait pas ses agressions multilatérales sans intervention par la force. Les leaders soviétiques ont vu la faiblesse de la France et de la Grande-Bretagne et ont signé le pacte de non-agression avec Hitler qui a divisé la Pologne en territoires allemands et soviétiques.

Le 1er septembre 1939, Hitler a envahi la Pologne, avec la croyance ferme que la Grande-Bretagne et la France n'élèveraient pas une objection. Ironiquement en mars 1939, une alliance franco-britannique a promis l'aide à la Pologne avec toute la puissance disponible "... en cas de toute action qui menacerait clairement l'indépendance polonaise et à laquelle le Gouvernement polonais en conséquence considérait essentiel de résister avec ses forces nationales," (Neville Chamberlain, Grande-Bretagne, Chambre des communes, Débats Parlementaires, Vol. 3e45, 31 mars 1939). Le 3 septembre 1939, la Grande-Bretagne et la France ont finalement déclaré la guerre contre Hitler et l'Allemagne Nazie.

Cependant, une guerre majeure et les morts de millions et de millions de gens innocents pourraient avoir été évitées par une action efficace, très tôt . Dans son livre de 1956 "The Controversy of Zion" (La Controverse de Sion), l'ancien correspondant en chef du Times de Londres, Douglas Reed, déclare:

"Depuis le début du régime de Hitler (cette nuit-là) tous les observateurs professionnels à Berlin, diplomates et journalistes, savaient que cela signifiait une nouvelle guerre à moins que celle-ci ne soit empêchée. La prévention à cette époque était relativement simple; M. Winston Churchill appelait à juste titre dans ses mémoires la Seconde Guerre "la guerre non nécessaire". Elle aurait pu être évitée par une ferme opposition occidentale aux incursions guerrières préliminaires de Hitler (en Rhénanie, Autriche et Tchécoslovaquie) à n'importe quel moment jusqu'en 1938 où (comme M. Churchill le confirme aussi) les généraux allemands, sur le point de renverser Hitler, étaient eux-mêmes défaits par la capitulation occidentale à Munich.

Les observateurs entraînés à Berlin étaient d'accord qu'il ferait la guerre si on l'y autorisait et donc avisèrent leurs supérieurs gouvernementaux et éditoriaux à Londres. Le correspondant en chef du Times à Berlin, M. Norman Ebbutt (j'étais le deuxième correspondant) a rapporté au début de 1933 que la guerre devait être attendue dans cinq ans environ à moins de la contrer en avance, et ce rapport particulier fut imprimé. Lui, moi et beaucoup d'autres reporters durant les années suivantes s'alarmèrent et devinrent perplexes par la suppression et l'ignorance des messages, et par la description de Hitler, au Parlement et dans les journaux, comme un homme bon par nature qui resterait pacifique si ses justes réclamations étaient satisfaites (aux dépens des autres)

Cette période est devenue connue comme celle de la "politique de l'apaisement" mais encouragement est le mot plus juste, et la politique changea la probabilité de la guerre en certitude. La pression amena l'effondrement physique de M. Ebbutt. A partir de 1935 je fus le correspondant en chef à Vienne, qui n'était alors qu'une position avantageuse pour surveiller la scène allemande. De là, vers la fin de 1937, j'ai informé le Times que Hitler et Goering avaient dit que la guerre commencerait "à l'automne 1939"; j'avais cette information par le Chancelier autrichien. J'étais à Vienne durant l'invasion de Hitler et puis après une brève arrestation par les Troupes d'Assaut sur la route du départ, transféré à Budapest, où j'étais quand la capitulation suprême de Munich suivit en septembre 1938. Réalisant alors qu'un reporter fidèle ne pouvait rien faire contre la "politique d'apaisement", et que sa tâche était vide de sens, je démissionnai par lettre, et j'ai encore l'accusé de réception discursif du rédacteur.

Quatorze années plus tard, Le Times a confessé publiquement son erreur, en ce qui concerne sa "politique d'apaisement", dans cette histoire officielle curieusement naïve de 1952. Cela contient une référence rancunière envers moi: "Il y eut des démissions de membres juniors de l'équipe" (j'avais quarante-trois ans en 1938, j'étais correspondant en chef pour l'Europe Centrale et les Balkans, avais travaillé pour le Times pendant dix-sept ans et je crois que je fus le seul correspondant à démissionner). Dans ce volume, le Times a aussi entrepris de ne jamais se tromper ainsi de nouveau: "il n'est pas inconsidéré de dire que l'agression ne sera jamais rencontrée à nouveau à Printing House Square en termes de pur 'Munich'. Les articles et rapports éditoriaux du Times à propos de tels événements comme la division de l'Europe en 1945, la Communisation de la Chine, la Sionisation de la Palestine et la guerre de Corée me semblent montrer que sa politique n'a pas du tout changé." [Douglas Reed, Controversy of Zion]

L'histoire officielle, écrite comme toujours par les vainqueurs, enregistre la Seconde Guerre Mondiale comme une bataille classique du bien contre le mal, pourtant, comme Reed le fait remarquer, le règne de Hitler aurait pu être raccourci peu de temps après l'incendie truqué du Reichstag en 1933, s'il y avait eu plus de droiture morale et moins d'apaisement de la part des chefs politiques britanniques, français et américains de l'époque. Comme Reed fait aussi remarquer, beaucoup de gens ordinaires au moment (y compris Reed) ont vu le graffiti sur le mur et ont essayé de l'exposer, mais en vain. En 1938, quand Chamberlain saluait encore Hitler à Londres comme le 'gentleman allemand' par excellence, Hitler avait déjà envahi la Tchécoslovaquie et sa politique d'oppression et de meurtres des minorités et des opposants politiques étaient déjà bien avancée.

Aussi tard que novembre 1938, moins d'une année avant l'invasion nazie de la Pologne qui était la paille finale pour les Anglais et les Français, Hitler apparaissait dans les publications de magazines comme le britannique ' House and gardens' où il était dépeint en train de se détendre dans sa retraite de montagne et décrit comme "un raconteur drôle et un amateur d'art". En quelques courtes années ensuite, la politique aveugle poursuivie par Chamberlain, Churchill, Roosevelt et plus tard le gouvernement Français de Vichy vers le fascisme nazi avait contribué directement au chiffre final des morts de la Seconde Guerre mondiale de 65 millions de personnes, la plupart innocentes.

Mais que dire d'aujourd'hui ? La leçon a-t-elle été apprise ? Si le monde moderne était confronté à un belligérant et à une force extrémiste qui semblent enclins à la création d'encore une autre conflagration mondiale, et peut-être décisive, les mêmes pouvoirs qui ont apaisé Hitler continueraient-ils à "apaiser" une telle force ? Tristement, la réponse semble être un "Oui" sans équivoque.

Le 10 octobre 2006, l'ambassade française à New York a annulé une réception projetée pour un livre, intitulé "Bad Faith" ("Mauvaise Foi"), traitant de la collaboration de la France de Vichy avec l'Allemagne Nazie parce que l'auteur incluait une déclaration de postface disant qu'Israël opprimait les Palestiniens. En écrivant le livre, son auteur, Carmen Callil', a cherché à explorer la nature du gouvernement français collaborateur de Vichy et en particulier le rôle de Louis Darquier de Pellepoix, le représentant gouvernemental de Vichy qui a organisé la déportation des Juifs français à Auschwitz.

Dans la postface du livre Callil écrit : "Ce qui m'a angoissé quand j'ai traqué Louis Darquier, était de vivre si étroitement avec la terreur impuissante des Juifs de France et voir ce que les Juifs d'Israël transmettent aux Palestiniens." "Comme le reste de l'humanité, les Juifs d'Israël 'oublient' les Palestiniens. Chacun oublie; chaque nation oublie."

Et donc, la réception de lancement du livre a été annulée par l'ambassade française à New York parce que, après que ces lignes finales fussent apportées à son attention, "L'ambassade a protesté contre l'opinion de l'auteur... égalisant ce qui a été fait aux Juifs de France (sous le régime Nazi) avec ce qui a été fait aux Palestiniens." Callil elle-même a réfuté cette explication exposant que la décision d'annuler n'était pas de la seule ambassade mais plutôt que les diplomates français en étaient venus à subir une influence disproportionnée suite "à une série de lettres de divers fondamentalistes juifs. Ils prennent une position telle que personne ne peut rien dire sur les Juifs si ce n'est pas 100 pour cent élogieux." a dit Callil.

Le simple fait est que les commentaires de Callil dans la postface de son livre ne pouvaient pas être plus vrais et appropriés. Les parallèles entre ce que les Nazis et leurs sympathisants et conciliateurs ont fait aux Juifs en Allemagne, en Pologne et en France etc… et ce que les Sionistes font actuellement aux Palestiniens sont terriblement semblables. En effet, pendant beaucoup d'années maintenant cela a été clair à quiconque suffisamment intéressé à la Vérité pour circonvenir le black-out virtuel des médias, que les Sionistes dans le gouvernement israélien ont suivi une politique de purification ethnique constante et génocide des Palestiniens sur leur propre terre, de même que c'était très clair en 1938, (tandis que les médias dépeignaient Hitler comme 'un gentilhomme campagnard') que les Nazis commençaient à systématiquement exterminer les Juifs et d'autres minorités en Allemagne, Tchécoslovaquie et plus tard Pologne.

L'ironie tragique, presque insupportable dans tout cela, ne pouvait pas être plus évidente. Les Français se rappellent avec honte du gouvernement français de Vichy pendant la Seconde Guerre Mondiale, précisément à cause de l'apaisement et de la collaboration ouverte à laquelle il s'est engagé avec l'Allemagne Nazie pendant les années de guerre, y compris la déportation dans les camps de concentration des Juifs et d'autres 'ennemis' de l'idéologie Nazie. Callil a écrit son livre pour essayer de mettre en évidence cet apaisement historique et comme un avertissement d'où il mène et, comme un post-scriptum, a établi le parallèle très clair avec l'Israël du jour présent et la situation critique des Palestiniens sous l'occupation israélienne. La réponse du gouvernement français à ce rappel saillant au monde de ces leçons durement gagnées de l'histoire fut l'apaisement. Suppression de partis, muselage de la dissidence et de la critique de l'extrémisme du gouvernement sioniste israélien envers le peuple palestinien et les Arabes du Moyen-Orient plus large. La France apaisante et ensuite la France occupée. L'histoire se répétera-t-elle ?

Bien sûr, cette politique d'apaisement de l'extrémisme n'est pas limitée aux politiciens français. Les gouvernements américains successifs, peut-être par-dessus tous les autres, ont poursuivi une politique non seulement d'apaisement, mais d'encouragement franc de la menace sioniste pour la paix au Moyen-Orient et implicitement, dans le monde. Pour la preuve de la vérité de cette déclaration, nous n'avons besoin que de regarder la liste des résolutions de l'ONU en reconnaissance des droits de base des Palestiniens et la critique d'Israël au cours des années et les votes pour et contre :

Res. No 33/110 vote Oui/Non: 110-2 (Etats-Unis, Israël) Sujet : Conditions de vie palestiniennes.

Res. No 33/113C vote Oui/Non: 97-3 (Etats-Unis, Israël, Guatemala) Sujet : Condamnation des droits de l'homme d'Israël enregistrés dans les territoires occupés.

Res. No 34/90A vote Oui/Non: 112-2 (Etats-Unis, Israël) Sujet : Exigez que Israël renonce à certaines violations des droits de l'homme.

Res. No 34/113 vote Oui/Non: 120-2 (Etats-Unis, Israël) Sujet : Demande d'un rapport sur les conditions de vie des Palestiniens dans les pays arabes occupés.

Res. No 34/133 vote Oui/Non: 112-3 (Etats-Unis, Israël, Canada) Sujet : Aide aux Palestiniens.

Res. No 34/136 vote Oui/Non: 118-2 (Etats-Unis, Israël) Sujet : Souveraineté sur les ressources nationales dans les territoires arabes occupés.

Res. No 34/160 vote Oui/Non: 122-2 (Etats-Unis, Israël) Sujet : Inclure des femmes palestiniennes dans l'ordre du jour sur la conférence de l'ONU sur les femmes.

Res. No 35/13E vote Oui/Non: 96-3 (Etats-Unis, Israël, Canada) Sujet : Demande à ce que Israël ramène les personnes déplacées.

Res. No 35/75 vote Oui/Non: 118-2 (Etats-Unis, Israël) Sujet : Condamne la politique israélienne quant au niveau de vie des Palestiniens.

Res. No 35/122C vote Oui/Non: 118-2 (Etats-Unis, Israël) Sujet : Pratiques des droits de l'homme israéliens dans les territoires occupés

Res. No 35/174 vote Oui/Non: 120-1 Sujet (américain) : Accentuation des droits de l'homme des nations et des individus.

Res. No 36/15 vote Oui/Non: 114-2 (Etats-Unis, Israël) Sujet : Exigez que Israël cesse certaines fouilles à Jérusalem Est.

Res. No 36/27 vote Oui/Non: 109-2 (Etats-Unis, Israël) Sujet : Condamne Israël pour son bombardement d'une installation nucléaire irakienne.

Res. No 36/73 vote Oui/Non: 109-2 (Etats-Unis, Israël) Sujet : Condamne la politique israélienne quant aux conditions de vie des Palestiniens.

Res. No 36/87B vote Oui/Non: 107-2 (Etats-Unis, Israël) Sujet : Établissement d'une zone d'armes non nucléaires au Moyen-Orient.

Res. No 36/96B vote Oui/Non: 109-1 Sujet (américain) : Insiste sur des négociations sur la prohibition des armes biologiques et chimiques.

Res. No 36/120A vote Oui/Non: 121-2 (Etats-Unis, Israël) Sujet : les Droits du Peuple Palestinien.

Res. No 36/120B vote Oui/Non: 119-3 (Etats-Unis, Israël, Canada) Sujet : Droits palestiniens.

Il est intéressant de noter donc que, tandis que le gouvernement britannique pendant la Seconde Guerre Mondiale a reconnu ' le mouvement français Libre ' de De Gaulle, qui a refusé d'accepter la reddition française et s'est rebellé contre le gouvernement de Vichy de Pétain, le Président américain Roosevelt a accepté le gouvernement de Vichy comme la voix officielle et légitime des Français. Certaines choses ne changent jamais semble-t-il, et tristement, les leçons de l'histoire semblent également perdues pour le gouvernement travailliste britannique actuel de Tony Blair, qui n'a perdu aucune occasion d'être assis tranquillement tandis que l'état moderne d'Israël dicte efficacement la politique britannique envers Israël et les Palestiniens.

L'apaisement, alors, est le problème. Mais la tendance des leaders politiques britanniques, américains et français à s'effondrer face à la manipulation et à la contrainte des tyrans n'a pas été forgée par leur expérience avec Hitler. Avant 1938, les diplomates britanniques et américains avaient déjà les antécédents honteux d'apaisement servile d'influences puissantes avec un ordre du jour moins que sain. C'était en fait au tournant du siècle que les politiciens britanniques et américains ont succombés en premier lieu à une subversion sérieuse de leur pouvoir censément souverain.

A la fin du 19ème siècle, le Sionisme comme une force distincte avec le but d'acquérir "une patrie pour les Juifs en Palestine" est apparu. La majorité des Juifs ordinaires en Grande-Bretagne, Amérique et ailleurs en Europe était fortement contre n'importe quel plan qui les verrait contraints moralement ou physiquement de se déplacer des pays dans lesquels ils se sentaient beaucoup comme chez eux, étant donné particulièrement que l'émancipation juive avait déjà été réalisée pour la plupart des Juifs européens et allait bientôt suivre en Russie après 'la révolution' bolchevique de 1917. L'avancement des Sionistes du jour, via leur émissaire, le Dr Chaim Weizmann, ignora effectivement l'opposition des Juifs à leur plan pour une patrie juive en Palestine et a continué à faire pression sur les représentants gouvernementaux britanniques et américains pour "leur accorder la Palestine", un morceau de terre qui contenait quelque chose comme 700.000 Arabes qui se trouvaient avoir vécu là pendant environ 1.500 ans.

Dans son livre "La Controverse de Sion", Reed nous dit que, en 1915, tandis que le Dr Weizmann, frappait aux portes à White Hall, le corps établi depuis longtemps qui représentait les Juifs ordinaires vivant en Angleterre, l' Anglo-Jewish Association, par son Comité Conjoint, a déclaré que :

"... les Sionistes ne considèrent pas l'émancipation civile et politique (en Angleterre) comme un facteur suffisamment important pour la victoire sur la persécution et l'oppression des Juifs et pense qu'une telle victoire peut seulement être réalisée en établissant un foyer légalement sécurisé pour les Juifs. Le Comité Conjoint considère le postulat 'national' des Sionistes comme dangereux et de l'antisémitisme provoquant, ainsi que des privilèges spéciaux pour les Juifs en Palestine. Le Comité ne pouvait pas discuter la question d'un protectorat britannique avec une organisation internationale qui inclurait des éléments différents, même ennemis".

C'est-à-dire que les masses des Juifs ordinaires étaient entièrement contre un tel mouvement et leur corps représentatif est même allé jusqu'à dire que les Sionistes étaient en fait l'ennemi des Juifs ordinaires. Et qui pourrait les en blâmer ? Ils ont vu très clairement que leur implantation de force sur la terre d'un autre peuple les placerait dans une position très périlleuse pendant une longue période de temps à venir. En 1917 le Comité Conjoint a de nouveau déclaré que les Juifs étaient une communauté religieuse et rien de plus, qu'ils ne pouvaient pas revendiquer "un foyer national", et ne le feraient pas, et que les Juifs en Palestine n'avaient besoin de rien de plus que "l'assurance de la liberté religieuse et civile, des équipements raisonnables pour l'immigration et ainsi de suite".

Une telle résistance des Juifs ordinaires à l'idée sioniste d'un déplacement en Palestine avait déjà été exprimée pendant plusieurs années. En 1914, le même Dr Weizmann avait écrit que de tels Juifs qui s'opposaient à son grand plan "doivent se rendre compte que nous, et pas eux, sommes les maîtres de la situation". En Amérique, deux Sionistes en vue, M. Brandeis et le Rabbin Stephen Wise, étaient également vigilants contre les Juifs ordinaires là qui ne soutenaient pas le Sionisme. Le Rabbin (de la Hongrie) a demandé au Président Wilson, "Que ferez-vous quand leurs protestations vous atteindront ?" Pendant un moment seulement il fut silencieux. Puis il a indiqué une grande corbeille à papier dans son bureau. "Est-ce que la corbeille est assez grande pour toutes leurs protestations ?"

En Angleterre, le Dr Weizmann a été mis en colère par " l'interférence extérieure, entièrement de la part des Juifs".

À ce point il a estimé qu'il était un membre du Gouvernement ou peut-être le membre du Gouvernement et dans le pouvoir qu'il exerçait, il l'était apparemment. Il ne s'est pas arrêté au rejet des objections des Juifs britanniques comme une "interférence extérieure"; il a dicté ce que le Cabinet devrait discuter et a exigé d'être assis aux réunions du Cabinet pour qu'il puisse attaquer un ministre juif! Il a exigé que M. Lloyd George pose une question "à l'ordre du jour du Cabinet de la Guerre pour le 4 octobre 1917" et le 3 octobre il a écrit au Ministère des Affaires Etrangères britannique protestant contre les objections qu'il s'attendait à voir levées à cette réunion "par un Anglais éminent de la religion juive".

"Le Cabinet et même vous-même attachez une importance excessive à l'opinion tenue par la soi-disant ' Communauté juive britannique '." Deux jours plus tard (le 9 octobre 1917) le Dr Weizmann a câblé triomphalement à M. Justice Brandeis que le Gouvernement britannique avait formellement entrepris d'établir "un foyer national pour la race juive" en Palestine.

On n'a jamais donné d'explication raisonnable pour l'action de politiciens occidentaux importants au soutien de cette entreprise étrangère (l'octroi de la Palestine aux Sionistes) et comme l'entreprise était jusqu'à ce point secrète et conspiratrice on ne peut donner aucune explication véritable; si une entreprise est bonne, la conspiration n'est pas une chose requise et le secret lui-même indique des motifs qui ne peuvent pas être divulgués. Si l'un de ces hommes a jamais donné une certaine raison publique, cela prenait d'habitude la forme d'une certaine invocation vague de l'Ancien Testament. Cela a une intonation pieuse et peut être tenu probablement pour intimider les opposants. M. Lloyd George (le Premier ministre britannique) aimait dire aux visiteurs sionistes (comme le Rabbin Wise enregistre ironiquement), "Vous aurez la Palestine de Dan à Beersheba" et ainsi se présenter comme l'instrument de la volonté divine.

Il a demandé une fois à Sir Charles et Lady Henry de rassembler les Membres Juifs inquiets du Parlement au petit déjeuner "pour que je puisse les convaincre de la légitimité de ma position de Sioniste". Un minyan (le quorum religieux juif de dix) a été en conséquence assemblé dans la petite salle à manger du Premier ministre britannique, où M. Lloyd George a lu une série de passages qui, à son avis, prescrivait la transplantation des Juifs en Palestine en 1917 : Puis il a dit, "Maintenant, messieurs, vous savez Ce que dit votre Bible; c'est la fin de la question".

Le point principal est que l'ordre du jour sioniste, comme identifié par Reed et d'autres est la RÉVOLUTION MONDIALE qui finira avec les Sionistes contrôlant TOUS les gouvernements sur la planète. Ils ont réussi à gagner le contrôle sur la moitié de la planète via la Seconde Guerre Mondiale, maintenant ils ont l'intention de le terminer, avec quelques milliards de gens innocents. Le judaïsme est un système tyrannique de contrôle social administré par des rabbins et c'est le Nouvel Ordre Mondial qui arrive, croyez-le ou non.

Le mot Yiddish, chutzpah, est parfois défini comme le garçon qui tue ses parents et plaide ensuite la pitié en raison du fait qu'il est un orphelin. Malheureusement, cela décrit précisément l'Ordre du jour sioniste en entier.

L'esclavagisme de toutes les nations soi-disant indépendantes envers les intérêts juifs en tant que conciliateurs peut être identifié comme venant des éléments de pression dans les gouvernements eux-mêmes. Ce qui est intéressant est comment les campagnes de propagande de ces mêmes gouvernements (sans aucun doute dirigés par des groupes de pression juifs ou "des éléments de pression" à l'intérieur) utilisent le mot "apaisement" comme une arme contre ceux qu'ils veulent détruire. C'est un cas classique de l'agresseur accusant la victime de ce dont il est lui-même coupable. Cela ne passe pas inaperçu. Par exemple, une récente Lettre à l'éditeur du Times de St.-Petersburg (Floride) fait remarquer:

Je trouve les références à l'apaisement nazi par notre Ministre de la Défense et les lettres qu'ils ont provoquées tout simplement effrayantes.

Apparemment Donald Rumsfeld dormait dans le cours sur la manière dont Adolf Hitler a envahi la Pologne en 1939 après une campagne de propagande délibérée montrant des attaques mises en scène sur le sol allemand soi-disant commises par les Polonais. Les détails de cette campagne ont été révélés dans le témoignage au procès de Nuremberg. Le projet, appelé “Opération Himmler” a impliqué plus de 20 incidents mis en scène pour donner l'apparence que des forces polonaises avaient attaqué l'Allemagne. Par vengeance, Hitler a envahi la Pologne. 64 ans plus tard nous avons l'administration de Bush disant au monde :

* L'Irak a des armes de destruction massive * l'Irak a joué un rôle dans les attentats du 11/9 * Saddam a reconstitué son armée * l'Irak essaye d'acquérir ou de construire des armes nucléaires * l'Irak est une menace imminente et immédiate envers les Etats-Unis. Tout ceci s'avère être faux et la partie d'une campagne de propagande pour construire le soutien à une guerre contre l'Irak. Bush envahit.

Donc je vous demande, M. Rumsfeld (et tous d'entre vous qui agitez le drapeau, Républicains à la poitrine gonflée: Qui pensez-vous ressemble le plus à Hitler et aux Nazis pour le reste du monde, Bush ou les terroristes dont il a envahi le pays?

Mais la France ? N'est-il pas raisonnable que nous puissions exiger plus du gouvernement français moderne, fondé comme il était sur la liberté, la fraternité et l'égalité pour tous ? La France, étant tombée rapidement dans les étreintes du saccage nazi à travers l'Europe en 1940 et ensuite se mettant ouvertement du côté des Nazis en échange d'avoir seulement la moitié de son territoire occupé par les troupes allemandes pendant la Seconde Guerre Mondiale, n'a-t-elle pas appris la leçon la plus dure de tous les pouvoirs alliés sur les 'récompenses' de l'apaisement de l'extrémisme ? Il apparaît que non.

Comment autrement devons-nous expliquer les actions récentes de l'ambassadeur français en Amérique dans le refus d'être associé au seul commentaire que les Palestiniens sont opprimés par les Sionistes dans le gouvernement israélien ? Quand le gouvernement israélien sioniste semble emprunter au règlement Nazi des solutions de problèmes démographiques et que les pays puissants du monde restent sans rien faire, ou pire, soutiennent Israël, ne voyons-nous pas une répétition de l'apaisement qui a mené aux morts de 65 millions de personnes il y a juste 60 ans?

Et que devons-nous faire de l'actuel Ministre de l'Intérieur français 'sionophile' et candidat au poste de président, Nicolas Sarkozy ? Quand nous voyons les images de Pétain, Chef de la France de Vichy en 1940, serrant chaudement la main du dictateur Nazi, côte à côte avec les images de Sarkozy saluant chaudement Sharon, ou Sarkozy recevant des récompenses du Centre Sioniste Simon Weisenthal, ne s'attend-on PAS à des parallèles très clairs et à sentir immédiatement un pressentiment que l'histoire se répète en effet elle-même ?

Pour obtenir une idée de la mesure et de la réalité de l'influence excessive exercée par les groupes sionistes dans le monde entier, considérez le rapport suivant de 2001 sur un article scientifique publié par un généticien espagnol :

Un article sur les origines génétiques des Palestiniens s'est trouvé au centre d'une tempête politique. Dans un mouvement fortement peu commun, le journal Human Immunology a supprimé l'article de sa publication de septembre après la réception d'une profusion de plaintes sur ce que certains ont vu comme des commentaires politiques inopportuns sur le conflit israélo-palestinien.

L'article examine la variabilité génétique dans le complexe HLA < un complexe fortement divers de gènes du système immunitaire > dans un échantillon de Palestiniens (A. Arnaiz-Villena et al. Hum. Immunol. 62, 889900; 2001). Mais de façon controversée, il inclut aussi une introduction historique appelant les Juifs vivant dans la Bande de Gaza des "colons" et décrivant quelques Palestiniens comme vivant dans des camps de concentration. La publication de l'article a suscité une "cascade" de lettres fâchées se plaignant que de tels commentaires n'ont aucune place dans un journal scientifique, dit le rédacteur en chef du journal, Nicole Suciu-Foca de l'Université de Columbia à New York.

L'article "prétend être un traité scientifique" mais "offre une opinion sur les questions géopolitiques qui ne peuvent pas être justifiées par les données présentées", a écrit Dolly Tyan, alors président de la Société américaine pour l'Histocompatibilité et l'Immunogénétique (ASHI), qui dirige le journal, dans une lettre aux membres le 3 octobre. "ASHI est offensé et embarrassé par son inclusion dans le journal."

L'éditeur de Human Immunology, Elsevier Science, a supprimé toutes les versions électroniques de l'article et a envoyé une lettre aux abonnés individuels et aux bibliothécaires leur conseillant d'ignorer l'article "ou, de préférence, supprimer physiquement les pages appropriées".

L'auteur principal de l'article, Antonio Arnaiz-Villena de l'Université Complutense à Madrid, dit qu'il n'a pas eu l'intention d'offenser quiconque et appelle la décision de retirer l'article "imprudent". Il dit qu'il a plusieurs lettres de soutien, y compris une de Jean Dausset, le président du Centre d'Étude de Polymorphismes Humain à Paris, un des pères fondateurs de la génétique HLA. Une action plus appropriée, Arnaiz-Villena dit, aurait été de publier les lettres de plainte et lui permettre de répondre.

Mais la profondeur de colère que l'article a levée a rendu une telle chose impossible, soutient Suciu-Foca. Un membre ASHI a été si offensé par l'article qu'il a démissionné, dit-elle. "Nous aurions eu des démissions massives et le journal aurait été détruit si on avait permis à cet article de rester."

L'article était dans une publication spéciale sur l'anthropologie éditée par Arnaiz-Villena. Bien qu'Arnaiz-Villena dise que le papier a été approuvé par deux critiques, l'incident a incité le conseil de rédaction du journal à réviser sa politique pour que dans l'avenir le rédacteur en chef surveille le travail par des rédacteurs invités, dit Suciu-Foca.

Les données annoncées dans le papier, qui indiquaient que les Juifs et les Palestiniens ont un lien génétique proche, valaient la peine d'être rapportées, dit Steven Marsh, un membre du conseil de rédaction de Human Immunology qui étudie la nomenclature des gènes HLA à l'Institut de recherches Anthony Nolan à Londres. "Si les auteurs s'étaient limités eux-mêmes à annoncer leurs résultats scientifiques, cela aurait été un article intéressant," dit-il.

La rétractation d'un article scientifique à cause de déclarations politiques est "sans précédent", dit Sheldon Krimsky, un expert dans l'éthique de publication à l'Université Tufts à Medford, dans le Massachusetts. Mais le conseil de rédaction a consulté un avocat avant de prendre sa décision, dit Suciu-Foca. "Cela n'a aucun rapport avec la liberté d'opinion," dit-elle. "Ce journal n'est pas le forum adapté pour exprimer des opinions politiques."

Aucune mention n'est faite de ce qui était exactement derrière la nuance et le cri levé sur les commentaires simples et véridiques par le généticien espagnol que les Israéliens vivant dans la Bande de Gaza étaient des colons et que les Palestiniens dans la Bande de Gaza en particulier vivent dans des conditions guère différentes de celles vécues par les Juifs dans l'Allemagne Nazie. Les cinq ans qui se sont écoulés depuis que cet article a été publié et ensuite effectivement "supprimé des pages de l'histoire" a servi seulement à renforcer la Vérité de la déclaration du généticien espagnol. Nous devons nous demander, cependant, si c'était les commentaires à propos des colons et des camps de concentration qui ont provoqué la colère du lobby sioniste ou si ce n'était pas en fait les découvertes de l'article lui-même. Notez que les découvertes de l'article indiquaient que "les Juifs et les Palestiniens ont un lien génétique proche".

La brutalité avec laquelle les Palestiniens ont été opprimés par les soldats juifs pendant les 60 ans passés a en grande partie été facilitée par la croyance parmi les soldats et les civils juifs (une croyance promue par des leaders sionistes) que les Palestiniens sont aussi différents en tout point des Juifs Sémitiques que les chiens diffèrent des humains. Si les soldats et les civils israéliens devaient se rendre compte que quand ils versent le sang palestinien ils versent en fait le même sang qui court par leurs propres veines et celui de leurs propres fils et filles, continueraient-ils à faire ainsi ? Et que dire du terme "antisémitisme?" Dans ce cas, en haïssant les Palestiniens, chaque Juif israélien sémitique devient un antisémite dans un sens très littéral. Haïr les Palestiniens devient l'équivalent d'auto-haine. En effet, n'est-ce pas le terme déjà utilisé par des leaders sionistes (eux-mêmes pas de souche sémitique, mais russe et de l'Europe de l'Est) pour tout Juif qui prononce un mot condamnant la politique sioniste ? La politique qui a été rondement condamnée et rejetée quand l'idée d'une patrie juive en Palestine a été lancée en premier par les leaders sionistes au début du 20ème siècle ?

L'équivalent moderne de cette histoire d'apaisement d'Hitler est répété aujourd'hui avec Israël et ses marionnettes, les Etats-Unis et la Grande-Bretagne, attaquant l'Irak, puis ayant des vues sur l'Iran, la Syrie et qui sait où et qui d'autre. Dans la rhétorique des Néoconservateurs américains, les créatures d'Israël, nous entendons les échos d'Hitler et des Nazis. La conclusion est que l'éruption de la guerre en Europe en septembre 1939, était le résultat direct de la politique étrangère agressive du Troisième Reich d'Hitler opposée au manque complet de mesures préventives prises par les pouvoirs européens principaux pour empêcher l'utilisation de la force croissante d'Hitler. On pourrait dire que la politique d'apaisement est à blâmer pour le début du conflit mondial.

Ne soyez pas étonné si vous voyez "Home and Gardens" publier un article spécial sur les vertus des hommes d'Etat Ehud Olmert ou Benjamin Netanyahu, qui seront sûrement décrits fainéantant avec des animaux et des enfants dans leurs retraites respectives du Désert du Negev. En visite et placés derrière eux avec des sourires excités sur leurs visages se trouveront Bush, Blair et Sarkozy. La France : un Conciliateur; contrôlé de l'intérieur et de l'extérieur par des Sionistes semblerait-il.

En tant que propriétaires et éditeurs de ces pages, nous souhaitons souligner que le matériel présenté ici est le fruit de notre recherche et de notre expérimentation en communication supraluminique. Nous nous demandons parfois si les Cassiopéens sont ce qu¹ils prétendent être, parce que nous ne tenons rien pour vérité indiscutable. Nous prenons tout "cum granulo salis", même si nous considérons qu¹il y a de bonnes chances que ce soit la vérité. Nous analysons constamment ce matériel ainsi que beaucoup d¹autres qui attirent notre attention, issus de divers domaines de la Science et du mysticisme. Honnêtement, nous ne savons pas CE QU'EST la vérité, mais nous croyons qu¹elle est « quelque part par là» et que nous pouvons sans doute en découvrir une partie. Oui, nous pouvons dire que nos vies ont été enrichies par ces contacts, mais certains éléments nous ont aussi rendus perplexes et nous ont désorientés, et ils restent encore à être clarifiés. Nous avons certes trouvé beaucoup de «confirmations» et de « corroborations » dans d¹autres domaines, entre autres la Science et l¹Histoire, mais il y a aussi de nombreux éléments qui, par nature, sont invérifiables. C¹est pourquoi nous invitons le lecteur à partager notre recherche de la Vérité en lisant avec un esprit ouvert, mais sceptique.

Nous n¹encourageons pas « l'adepte-isme », ni aucune « Vraie Croyance ». Nous ENCOURAGEONS la recherche de la Connaissance et de la Conscience dans tous les domaines qui en valent la peine, comme le meilleur moyen de discerner le mensonge de la vérité. Voici ce que nous pouvons dire au lecteur: nous travaillons très dur, plusieurs heures par jour, et nous le faisons depuis de nombreuses années, pour découvrir la raison de notre existence sur Terre. C¹est notre vocation, notre queste, notre mission. Nous recherchons constamment à valider et/ou à affiner ce que nous envisageons comme possible, probable, ou les deux. Nous faisons cela avec l¹espoir sincère que toute l¹humanité pourra en bénéficier, si ce n¹est maintenant, alors dans un de nos futurs probables.

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