Nouveau forum en français !
Les Editions Pilule Rouge
Guide
Rapide des Signes
Cassiopée
? Forum de questions et réponses
Nos livres en
français!
Nos
Articles
Nouveau ! Programmes, tampons et "Esprit du prédateur" - Laura Knight-Jadczyk
Nouveau ! Le résultat de l'impact du Dryas récent et les cycles de catastrophes cosmiques – les climatologues se réveillent
- R.H.
Nouveau
SOTT Focus ! Pendant que les Européens sont en vacances, les Américains triment
- Marie Cocco
Nouveau
SOTT Focus ! Comment créer la réalité de la "War on Terror" - guide pratique
- Joe Quinn
Nouveau
SOTT Focus ! Des squatters sans conscience
- Henry See
Nouveau
SOTT Focus ! Si le sociopathe habite à côté - montez à l'étage
- Keit
Nouveau
! L’Amérique
fasciste, en dix mesures faciles
- Naomi Wolf, The Guardian
Nouveau ! Michael Topper à propos du Harcèlement
- Michael Topper
—SOTT—
Virginia
Tech – Le tueur était-il programmé mentalement
- B.K.
L'hypocrite Tony s'attaque à Téhéran
- Joe Quinn
La pression pour la paix et la "Pâque juive"
- Joe Quinn
Oubliez le réchauffement planétaire : nous sommes au bord de l’extinction !
- Laura Knight-Jadczyk & Henry See
Une vérité qui dérange
-
Henry See
Piratage de la Démocratie
- Henry See
La main cachée derrière l'affrontement entre Hamas et Fatah
-
Joe Quinn
Encore Des Absurdites « Al-Qaïda » Du Gang Bush
-
Joe Quinn
Fascisme galopant: La France interdit à ses journalistes de rapporter la violence
Amir Peretz et la foi fondée à l'école de la politique
- Laura Knight-Jadczyk
Encore Des Absurdites « Al-Qaïda » Du Gang Bush
- Joe Quinn
Nous chutons tous
-
Joe Quinn
D'Israël à Bush par l'entremise de la BBC et de CNN : Attaquez l'Iran -- sinon…
- Joe Quinn
Une Question Légale
- Henry See
Le Futur
- Steve McFarland
A
quel point pensent-ils que nous sommes stupides?
- Henry See
Le
Mythe Des Attentats Suicide Palestiniens
- Joe Quinn
Rassembler
en un lieu tous les juifs
- Joe Quinn
Le
MI6 et les médias - les manipulateurs de l'esprit
- Joe Quinn
Litvinenko
- Par la tromperie
- Joe Quinn
Litvinenko
- Par la tromperie 2
- Joe Quinn
La
capture, le procès et la condamnation de Saddam Hussein – Une autre
farce du renseignement américain - Joe Quinn
La
mystique contre Hitler
- Laura Knight-Jacdzyk
Les
Bush et Le Roi Perdu
- Laura Knight-Jacdzyk
Bush
révèle sa véritable politique iraquienne : le massacre
de civils iraquiens
- Joe Quinn
Donnez
leur un 5 novembre qu'ils n'oublieront jamais
- Télécharger
des affiches Signs of the Times
Le
sionisme et le président iranien
- Joe Quinn
Une
planète au bord de l'anarchie?
- Joe Quinn
De
l’Holocauste à l’Armageddon
- Joe Quinn
Ensemencement
de graines de guerre civile
- Joe Quinn
Le
racisme, pas la défense, au coeur de la politique israélienne
-
Joe Quinn
Commentaires
-
Signs of the Times
Commentaires
des Signes 23 fev 2004 , 14 &15
Mar 2004
Supplément
des Signs: Armes Ethniques Spécifiques
Supplément
des Signs: L'Assassinat de JFK
HITLER
: Tel que le Peuple Allemand Le Connaît
—Série
JFK—
Laura Knight-Jacdzyk
John F. Kennedy, le Pétrole et la Guerre à la Terreur
John F. Kennedy, le Services Secrets et les Riches Texans Fascistes
John F. Kennedy et la Conspiration Monolithique et Impitoyable
John F. Kennedy et les Titans
John F. Kennedy et les Cochons de Guerre
John F. Kennedy et la Psychopathologie de la Politique
John F. Kennedy, J. Edgar Hoover, le Crime Organisé et le Village Mondial
John F. Kennedy et tous ces "ismes"
Sim City et John F. Kennedy
Le Gladiateur : John Fitzgerald Kennedy
Les Débris de l'Histoire
—11 septembre—
Jim
Hoffman
– Attrape-nigaud pour les Chercheurs de Vérité du 11 septembre
- Joe Quinn
L'ADMINISTRATION
BUSH ET le 11 SEPTEMBRE: 100 RAISONS DE DISSIDENCE
La
Cinquième Colonne
Commentaires
sur l'attaque du Pentagone
Les
récits de témoins oculaires du crash du Pentagone ne riment
à rien
Le
Mossad et les Sociétés de Déménagement
Mahmoud
Ahmad et le Culte Secret
Commentaires
sur l'attaque du Pentagone
—Ponérologie & Psychopathie—
Ponérologie
Politique : une Science sur la Nature du Mal adaptée à des
Buts Politiques
Le
Paysage Intérieur du Psychopathe de Herve Cleckley
Le
Psychopathe - Le Masque de Santé Mentale
Le
Culte le plus dangereux dans le Monde - Laura Knight-Jadczyk
L'Idée
la plus dangereuse dans le Monde - Laura Knight-Jadczyk
"Culture
officielle" en Amérique:
Un Etat Naturel de Psychopathie?
Exposé Greenbaum
Contrôle
des Mots, Contrôle des Pensées, Contrôle
du Monde
—La Bible déconstruite—
Le
Livre Q et les Origines Chrétiennes
La
Véritable Identité de Fulcanelli, les Quatre éléments
et Le Code Da Vinci
Qui
a écrit la Bible et pourquoi?
—Les catastrophes
cycliques—
Jour
d'Indépendance
Le
Monde Arrive-t-il à sa Fin?
Est-ce
que notre Soleil a un compagnon sombre?
—Les mystères—
Extraits de l'Histoire
Secrète du Monde
Introduction
à La Science antique
La
chimie de l'alchimie
Réalité
hyperdimensionnelle
Qui
a écrit la Bible et pourquoi?
La
Véritable Identité de Fulcanelli et Le Code Da Vinci
Les
portails organiques ? L' "autre" race - 1ère partie
Prédateur Spirituel – Prem
Rawat alias Maharaji - Henry See
Qui
parle au nom de la Vérité?
Chronologie
de Cointelpro Cosmique 11,
12
Etoiles
déchues
Un
gouffre dans le coeur - John Kaminski
Le
Jeu Global du Survivant: Les Quatre Prochaines Années de l'Amérique
La
Bête et Son Empire
La
Haute Étrangeté des Dimensions et le Processus d'Enlèvement
Alien
Schwaller
de Lubicz et le Quatrième Reich
2, 3,
4
La
face obscure du Tibet
Jupiter,
Nostradamus, Edgar Cayce, et le Retour des Mongols
1, 2,
3, 4,
5, 6,
7, 8,
9, 10,
11, 12,
13
Vérité
ou Mensonge
1, 2,
3, 4,
5, 6,
7,
7a,
7b
Ouspensky,
Gurdjieff et les Fragments d'un Enseignement inconnu
Picknett
et Prince sur les Cassiopéens
Le
Crop Circle de Chibolton et les Cassiopéens sur les Crop Circles
Jour
D'Indépendance - KAH
Les
portails organiques ? L'Â "autre" race - 2ième partie
L'Affaire
OVNI de Morris Jessup
Meilleurs
voeux pour un monde heureux
Tyrannie
du pouvoir executif
Le
Matériel sur l'Aéroport de Denver
Les
ETs et COINTELPRO cosmique
Pourriel
Cosmique
Discernement
ou Machiavel et les ET
Discernement
2: Le Monde est pénétré de malignité
St.
Malachie et le Travail du Soleil
Les
Compagnons du devoir de Liberté
Ascension
L'Onde
l'Onde:
Chapitre 27
La
Connexion Française
Adventures
with Cassiopaea
Quantum
Future Physics
Signs
of the Times
The
Wave
Nous vous proposons
aussi les sites :
Alchymie.net
|
L'Assassinat
de Kennedy
Traduction:
Henri R.
Octroi
de consentement
Nous
avons été légèrement déconcertés quand nous avons trouvé cet article
hier. Nous nous sommes demandés: Croient-ils vraiment que ce type
de manipulation peut fonctionner?
Alors
nous nous sommes rappelés des Armes de Destruction Massive, le
11/9, les élections de 2000. Bien sûr que cela fonctionnera.
RETOUR
EN ARRIERE!!! Une nouvelle analyse montre qu'il n'y a pas de complot
JFK
28 octobre 2003
Le
réseau de télévision américain ABC a dit aujourd'hui qu'il a conduit
une enquête exhaustive sur l'assassinat du Président John F. Kennedy,
complète avec une reconstitution par ordinateur, qui confirme
de manière irréfutable que Lee Harvey Oswald avait agi seul.
Une émission spéciale de deux heures sur l'événement est
programmée sur ABC News aux Etats-Unis le 20 novembre, deux jours
avant le 20e anniversaire du meurtre de Kennedy.
"Cela ne laisse
pas de place au doute", dit Tom Yellin, producteur exécutif de l'émission
spéciale, racontée par Peter Jennings.
Il
appela les résultats de l'étude d'ABC "extrêmement puissants.
C'est irréfutable". La conclusion qu'Oswald tua Kennedy tout
seul pendant le cortège en voiture dans Dallas reflète celle de
la Commission Warren, l'enquête officielle sur l'assassinat.
Même aujourd'hui, les sondages d'opinion publique trouvent
que moins de la moitié des Américains ne sont pas d'accord avec
cette conclusion, dit Gary Mack, conservateur du Musée au 6e
étage sur Dealey Plaza à Dallas.
Mais
ce réservoir de doute, largement alimenté par le secret gouvernemental
et le film d'Oliver Stone sur l'assassinat, est important à adresser,
dit Yellin.
ABC News travailla avec un expert qui créa une reconstitution
par ordinateur du tir basée sur des cartes, des plans, des mesures
physiques, plus de 500 photographies, films et rapports d'autopsie,
dit ABC. Elle
permet à une personne de voir la scène de n'importe quel point de
vue, y compris ce que vit Oswald depuis le 6e étage de
l'ancien dépôt de livres du Texas, dit Yellin.
"Quand
vous faites cela, ce qui s'est passé est froidement clair",
dit Yellin.
Il
rejette les théories qui disent qu'il y avait un autre tireur.
A
travers des interviews et autre documentation, ABC News conclut
aussi que Jack Ruby, qui tua plus tard Oswald, agit simplement
en raison de son amour pour Kennedy.
La
technologie par ordinateur, disponible depuis peu d'années, est
maintenant fréquemment utilisée dans les enquêtes criminelles,
dit Yellin.
Bien
que le film de Stone soulève un doute dans l'esprit de beaucoup
de gens sur la Commission Warren, il mena aussi à la diffusion
de nombreux documents gouvernementaux qui avaient été antérieurement
gardés cachés et alimentaient les théoriciens du complot, dit
Yellin.
Aucun
des documents n'offre une preuve significative réfutant la conclusion
qu'Oswald a agi seul, dit Yellin.
Pourtant,
beaucoup du cynisme des Américains sur leur gouvernement peut
être tracé jusqu'au 22 novembre 1963, rendant une enquête supplémentaire
importante même 40 ans plus tard, dit-il.
"Je
pense que c'est très dur pour les gens d'accepter le fait que
l'homme le plus puissant dans le monde peut être tué par une personne
aliénée dont la vie a été une série d'échecs jusqu'à ce point",
dit Yellin.
Yellin
et Mack admettent tous les deux que peu importe la preuve dont
ABC News dispose, il n'est pas probable qu'elle apaise les gens
qui croient différemment.
"L'histoire de ce sujet est plutôt claire",
dit Mack.
"Peu
importe quelle information en sort, les gens vont croire ce qu'ils
veulent."
Donc, basé sur des cartes, des plans, des
mesures physiques, plus de 500 photographies, films et rapports
d'autopsie, les braves gens de ABC ont fait une reconstitution
par ordinateur du tir qui ne laisse aucun doute qu'Oswald a agi
seul. Nous avons quelques extraits d'un livre ci-après qui utilisait
aussi beaucoup des mêmes matériels et arriva à la conclusion opposée:
JFK fut assassiné par un groupe d'employés de la CIA et de politiciens
qui étaient de fidèles "anti-communistes". Cet ouvrage,
The Taking Of America, 1-2-3 (La
prise en main de l'Amérique, 1-2-3) par Richard E. Sprague,
a aussi un long chapitre sur la manière dont les principaux producteurs
de nouvelles aux Etats-Unis étaient impliqués dans la dissimulation
en retirant ces mêmes documents des yeux du public.
Et
c'est la question fondamentale: Est-ce que ces documents seront
rendus publics afin que les individus puissent les investiguer
eux-mêmes et forment leurs propres opinions basées sur la preuve?
Et s'ils le sont, y aura t-il la preuve réelle, ou seront-elles
des "reconstitutions par ordinateur" des documents originaux?
Dans
cet ouvrage, Sprague regarde la manière dont les assassinats furent
utilisés pour former le résultat des élections de 1964 à 1976.
Il explique sa perspective de cette manière:
Ce
livre n'est pas sur les assassinats, du moins pas uniquement sur
les assassinats. Ce n'est pas juste un autre livre sur qui tua
le Président Kennedy ou comment ou pourquoi. C'est un livre sur
le pouvoir, sur qui contrôle réellement les politiques des Etats-Unis,
surtout les politiques étrangères. C'est un livre sur le processus
de contrôle par la manipulation de la présidence américaine et
le processus de l'élection présidentielle. L'objectif de ce livre
est d'exposer les méthodes et les armes clandestines, secrètes,
malignes utilisées pour cette manipulation, et de révéler le degré
auquel celles-ci ont été cachées au public américain.
Les
assassinats ne sont qu'une des nombreuses techniques utilisées
dans ce processus de contrôle. Ils ont été importants uniquement
dans le sens qu'ils sont la méthode ultime utilisée dans le contrôle
du processus de l'élection. Vue de cette manière, une compréhension
de ce qui arriva à John et Robert Kennedy devient plus importante
parce qu'elle mène à une totale compréhension de ce qui arriva
à notre pays, et à nous, depuis 1960. Mais la chose importante
est le contrôle et le pouvoir et toutes les méthodes clandestines
mises ensemble.
Selon
Sprague, Kennedy fut tué, pour être remplacé par Johnson. Johnson
était "convaincu" de ne pas se représenter en 1968 parce
qu'il était trop clément avec la population noire. Nixon était
leur homme, et dans le but de s'assurer qu'il puisse entrer, Robert
Kennedy devait être éliminé.
Sprague
avait des doutes sur le Rapport Warren depuis le début. Ces doutes
augmentèrent quand il essaya de vérifier les faits lui-même.
Maintenant, la chose la plus importante qui se passa initialement
en trouvant les photos fut de découvrir une quantité de photographies
– films et photos fixes – qui montraient la fenêtre du 6e
étage vide sans personne dedans. C'est ce qui me convainquit initialement
que nous avions une sorte de complot différente d'une impliquant
Lee Harvey Oswald, parce que s'il n'était pas à la fenêtre – et
personne n'était à la fenêtre – alors que s'est-il passé?
Qui
a tiré les coups de feu? Et d'où?
Pour
faire cela, il construisit son propre modèle virtuel de la scène
de l'assassinat, mais sans l'aide d'un ordinateur. Savez-vous
qu'il y a d'autres films de l'assassinat? On se demande pourquoi
nous n'en avons jamais entendu parler? Ils ont été raflés par
les principales organisations de nouvelles et ont été mis sous
clé loin de l'investigation du public. Mais quand Sprague travailla,
dans le milieu des années soixante, beaucoup de ce matériel était
encore disponible. Ce ne fut que plus tard, vers 1968-69, que
la marée se retira et que le matériel fut séquestré.
Pour
qu'on ne doute pas des capacités de Sprague en analyse par ordinateur,
il fut un spécialiste et un pionnier dans les ordinateurs électroniques
et une autorité américaine essentielle sur les Electronic Funds
Transfer Systems (Systèmes de Transferts de Fonds Electroniques)
(EFTS). Il co-fonda la Computer Research Corporation d'Hawthorne
en Californie en 1950. En 1960, il devint Directeur de Computer
Systems Consulting pour Touche, Ross, Bailey, et Smart; Il devint
un partenaire dans cette société en 1963, et commença son Advanced
Business Systems Department en 1964 où il resta jusqu'en 1968.
Dans son livre il discute de la manière dont UPI utilisa l'analyse
par ordinateur pour promouvoir la théorie de l'arme unique.
Confirmant
que les films et photographies que je regardais furent pris au
moment critique où les coups de feu furent tirés, ou immédiatement
avant ou après ça, impliqua beaucoup de travail: travail avec
des plans cadastraux, d'autres photos, et d'autres matériels.
Je réussis à avoir une carte faite par le géomètre pour Dealey
Plaza (je crois que son nom était Clarence West) qui fut dessinée
à l'échelle, et Bob Cutler m'aida à dessiner dessus toutes les
diverses choses qui arrivèrent y compris tous les véhicules qui
circulaient dedans. Et je réussis à placer un jeu de films bout
à bout commençant avec un véhicule tournant sur Houston Street
tout le long jusqu'à Dealey Plaza ainsi je pouvais suivre tout
véhicule qui était en vue dix-huitème de seconde par dix-huitième
de seconde (vitesse du film de Zapruder) tout le long de Dealey
Plaza. Cela me permit de déterminer où Kennedy était tout le temps
et où tout autre personne était qui apparaissait dans toutes les
photos—particulièrement les images de film—au moment où Kennedy
était au point untel ou au point tel ou tel.
En faisant ceci, avec un peu de triangulation, je fus capable
d'identifier la chronologie exacte de deux jeux de photos particuliers:
un film—le film de Hughes—dont la dernière image montre la fenêtre
du 6e étage vide et finit 5,7 secondes avant le premier
coup de feu—le premier coup de feu étant tiré/attaché à l'image
189 du film de Zapruder; et deux photos prises après que les coups
de feu furent tirés par Dillard et, croyez-le ou non, un homme de
renseignement du renseignement de la Navy nommé Powell. Les photos
de Powell et Dillard furent prises presqu'en même temps, 3,5 secondes
après le dernier coup de feu fatal (Z-313).
Sprague
n'utilisait pas de reproductions par ordinateur. Il utilisait
son cerveau et les photos et films originaux.
Pour que le temps total soit moins de 17 secondes—si vous
ajoutez les 5,7 secondes après la fin du film de Hughes, plus les
6 secondes et plus pendant que les coups de feu étaient tirés, plus
les 3,5 secondes avant que les photos de Dillard et Powell ne soient
prises—de blanc, sans couverture
de cette fenêtre et il n'y a aucun moyen qu'Oswald aurait pu se
mettre à la fenêtre, viser, tirer trois coups, et sortir de la fenêtre
pour que vous ne puissiez le voir en 17 secondes. Mais n'importe comment il y avait un autre film pris par
Beverly Oliver connue autrement comme la dame Babushka qui fut confisqué
par l'agent du FBI de la Nouvelle-Orléans Regis Kennedy, et une
photo fixe prise par Norman Similas, confisquée par la Police Montée
Canadienne du magazine "Liberty" (qui allait publier la
photo), qui transmit la photo et son négatif au FBI. J'ai interviewé
Similas et l'éditeur du magazine "Liberty", les deux me
dirent qu'ils avaient soigneusement examiné la photographie et n'avaient
vu personne sur la photographie apparaissant dans la fenêtre du
6e étage la plus à l'est, que j'ai calculée avoir été
prise à mi-chemin environ de l'intervalle de 17 secondes.
J'ai fait deux tentatives juste après que la "salle
de visionnage" du Freedom of Information Act (Décret sur
la Liberté d'Information) au bureau du FBI à Washington, D.C.
ne soit créée, pour demander à voir la photographie de Similas et
le film de Beverly Oliver, mais à chaque fois la personne du FBI
qui m'était assignée ne fut pas capable de trouver ces photographies.
Mais le témoignage des personnes impliquées était suffisamment bon
pour moi pour conclure qu'il n'y eut jamais personne dans cette
fenêtre. Une fois arrivé à ce point, je commençai à trouver toutes
sortes de preuves de coups de feu depuis le tertre en herbe, et
depuis le Dal Tex Building, et depuis le toit ou le 7e
étage de l'extrémité ouest du dépôt de livre—à la fois des photographies
et des témoignages -–et cela me mena à décider que c'était un complot
qui avait impliqué au moins quatre tireurs. Ceci me mena alors à
décider que je devrais poursuivre le modèle du complot en entier,
en fin de compte, l'assassinat de Martin Luther King, l'assassinat
de Bob Kennedy et la tentative sur George Wallace. Et cela mena
au livre.
A
travers tout ceci, je sais que je n'aurais jamais conclu que c'était
un complot puissant et bien planifié si je n'avais pas déterminé
qu'Oswald n'était pas à cette fenêtre—personne n'était dans cette
fenêtre. C'était la première clé.
Est-ce
que nous commençons à avoir une idée de la raison pour laquelle
ce matériel ne fut jamais rendu public?
Il y a une autre chose que j'aimerais faire remarquer. Le
titre de ce livre a plus qu'une simple signification et il apparaît
dans tous les chapitres qui relient ces assassinats et leurs dissimulations.
A savoir, que notre pays nous avait été pris. Nous étant les citoyens
des Etats-Unis en 1963, et toute époque après ça, en nous volant
notre capacité d'élire un président que nous voulions pour au moins
trois, et plus probablement quatre, élections. Une manière de prendre
le pays, est de contrôler les élections et c'est réellement, au
moins une partie de l'essence de ce livre. C'est proche de ce que
Henry Gonzalez proposa dans son projet de loi original. Il voulait
que le Congrès regarde dans les quatre assassinats majeurs—le quatrième
étant la tentative d'assassinat de George Wallace—et trouve les
liens entre les agences de renseignement et les dissimulations dont
il était sûr qu'elles étaient impliquées dans tous. Et si nous avions
eu un comité qui avait fait cela, bien alors, nous aurions été bien
plus loin que nous sommes 13 ans plus tard. – interview par téléphone
avec l'auteur, 3 juin 1992.
Si
vous ne viviez pas dans les années soixante, il est difficile
de comprendre le niveau de haine qui existait envers les Kennedy
parmi les groupes de droite tels que les Minutemen. Le mythe qui
est resté est qu'il était aimé par tout le monde. Notez comment
ABC décide que Ruby a tué Oswald à cause de son grand amour de
Kennedy!
Comment
cette manipulation du public a pu être effectuée? Sprague donne
cinq clés:
INGREDIENT
1. UN THEME PATRIOTIQUE. Un thème fondamental infiltrant presque
toutes les conditions de vie aux Etats-Unis est nécessaire, autour
duquel le reste de la tromperie peut être construit. Le thème
parfait depuis 1947 a été "La Menace Rouge", ou "Communisme"
ou "Le Complot Communiste Radical". Personne n'est plus
adepte à utiliser ce thème que Richard Nixon.
Le
peuple, pour être trompé, doit croire réellement au thème, du
fond du cœur, des tripes. Dans une démocratie c'est l'ingrédient
le plus essentiel. Aux Etats-Unis beaucoup, beaucoup de gens le
croient. Certains le croient parce qu'ils n'ont jamais entendu
ou lu autre chose que "Les Communistes vont prendre les rênes".
D'autres le croient parce qu'ils, ou leurs parents, vinrent d'Europe
et "savent ce que c'est de vivre sous le nazisme ou le communisme."
(Ils ne font pas la distinction)
Certains
croient parce qu'ils sont religieux, et en quelque sorte la religion
est toujours reliée à l'anti-communisme. D'autres ne sont pas
sûrs, mais ils pensent que les groupes "radicaux" peuvent
être contrôlés par les Communistes. Le drapeau qui flotte, l'hymne
national, la Légion Américaine, nos prisonniers de guerre, le
schéma du passé—tous ces symboles sont reliés au grand thème du
"Communisme". […]
INGREDIENT
2. ATTEINDRE LES ESPRITS DU PEUPLE. Pour tromper une majorité
du peuple tout le temps, il est nécessaire d'atteindre leurs esprits
sur une période de temps relativement longue.
[…]
Revenez en 1935, si vous avez plus de 50 ans, ou revenez en 1945
si vous avez plus de 40 ans, ou revenez en 1955 si vous avez plus
de 30 ans. Examinez vos attitudes, croyances et préjugés généraux
développés sur cette période de temps entre alors et maintenant.
Vous découvrirez que vos croyances politiques sur les Etats-Unis,
la Présidence, la politique étrangère, les contrôles des salaires
et des prix, et vos propres conditions économiques, etc…, ont
été fortement influencés par les divers médias de nouvelles.
INGREDIENT
3. CONTROLER LES MEDIAS DE NOUVELLES. Dans le chapitre 9, l'auteur
prouve qu'il a été possible pour un très petit groupe de gens
au pouvoir de contrôler ou tromper presque tous les principaux
médias de nouvelles aux Etats-Unis sur l'assassinat de John F.
Kennedy et les enquêtes ultérieures conduites par des groupes
autres que les sources de pouvoir (Commission Warren, FBI, Service
Secret, CIA, Département de Justice, le Président).
D'après
les sondages pris entre 1963 et 1970, 50% à 80% du public à un
moment ou à un autre durant cette période croyaient qu'il y avait
complot. Néanmoins, les principaux médias de nouvelles prirent
la position opposée. Un sondage conduit aujourd'hui, sans aucun
doute, montrerait que la moitié du peuple croit qu'il n'y avait
pas de complot. Comment est-ce arrivé? Est-ce concevable que les
sources de pouvoir de deux administrations successives (Johnson
et Nixon) trompèrent ou contrôlèrent les médias de nouvelles à
ce point?
Le
problème n'est pas aussi difficile qu'il paraît. Seulement seize
organisations de médias sont impliquées. Ces seize fournissent
à chacun de nous presque toutes les nouvelles que nous lisons,
voyons ou entendons. Il est seulement nécessaire de contrôler
les seize hommes au sommet et c'est exactement ce qui est arrivé.
La preuve contenue dans le chapitre 9 contient des faits spécifiques
sur ce qui est arrivé à l'intérieur de onze des seize organisations.
INGREDIENT
4. CONTROLER LE SYSTEME LEGAL. Peut-être que l'ingrédient le plus
important à long terme dans la tromperie du peuple de l'Amérique
est le contrôle et l'influence sur le système légal. Les Etats-Unis
dans l'ère d'après-guerre avait atteint l'étape où, en cas de
doute sur une question majeure, le peuple attendrait de voir comment
elle serait résolue par les tribunaux. Le peuple américain en
général a toujours une foi immense dans son système légal.
A
l'exception du Sud en désaccord avec la cour Warren sur les droits
des Noirs, le peuple Américain tend à croire que la Cour Suprême
corrigera toute injustice. La foi va bien plus loin que l'adjudication
des crimes ou des disputes. Les gens sont venus se reposer sur
le système légal pour dire où la vérité ment sur une question
majeure où les deux côtés diffèrent complètement sur les faits.
Ils croient que la procédure d'adversaire et le système de pénalité
du parjure révéleront la vérité.
Ainsi, pour tromper le peuple, et lui faire croire à des
mensonges, il est essentiel de contrôler le système légal. Les
administrations Nixon et Johnson et le Gouvernement Invisible
se trouvant en dessous ou à côté des deux administrations devinrent
très adeptes à contrôler le système. Il peut être fait, et a été
fait de plusieurs manières. Nixon, évidemment, chargea la Cour
Suprême. C'est important. Le contrôle complet du Département de
la Justice et du FBI est aussi évident. Pas si évident est le
besoin de contrôler les juges fédéraux dans tout le pays. La vérité
peut transpirer dans un procès au niveau local, donc les cours
américaines dans chaque région doivent être contrôlées.
Le schéma du grand jury fédéral développé par Nixon, Mitchell
et Robert Mardian est un beau moyen de guider, diriger et contrôler
le système légal. Il prouva amplement sa valeur sur le peuple
dans des cas impliquant des documents classifiés, les Panthères
Noires et autres situations où la vérité devait être obscurcie.
[…]
INGREDIENT
5. CHRONIQUEURS OU LAQUAIS PAYES. Le contrôle des médias de nouvelles
inclut de contrôler ou engager des chroniqueurs, journalistes,
commentateurs, et laquais choisis. Quelquefois ces gens sont appelés
"porte-paroles de l'administration". Beaucoup d'entre
eux sont apparemment indépendants. Leur importance dans le processus
de tromperie du peuple a augmenté comme le nombre d'organisations
de médias de nouvelles a diminué et le nombre des organisations
s'appuyant sur des chroniqueurs ou des commentateurs syndiqués,
nationaux a augmenté.
En
vérifiant cette liste, il est clair que ces éléments continuent
à fonctionner dans les Etats-Unis aujourd'hui. Regardez la dissimulation
réussie du 11/9, la manière dont les cours furent utilisées pour
assurer à Bush Jr. d'aller à la Maison Blanche, les compères des
médias qui firent monter l'hystérie anti-Saddam pour justifier
l'occupation de l'Irak, toute la séquence enveloppée de patriotisme
et la croyance que "Ca ne peut pas arriver ici". La
menace communiste a été remplacée par la menace terroriste, et
la source de colère et l'énergie négative de la Guerre Froide
est en train d'être redirigée vers une guerre sans fin contre
la terreur.
Et
quiconque défie la version officielle est accusé d'être un "cinglé
du complot". Mais comme dit Sprague:
Un
des trucs favoris des médias durant toutes ces années a été de
coupler les mots "complot" et "théorie" ensemble;
pas une fois les médias majeurs n'ont mentionné une des preuves
solides montrant du doigt le complot dans une quelconque des quatre
affaires majeures.
Au
lieu de cela, ils l'ont séquestrée. Mise sous clé.
Saviez-vous
que Oswald était un indicateur pour le FBI?
Que
les douilles trouvées près de l'Officier Tippett provenaient de
l'arme d'Oswald, mais que les balles qui le tuèrent ne l'étaient
pas?
Beaucoup
des mêmes individus, y compris Richard Nixon, furent impliqués
dans l'invasion de la Baie des Cochons, l'assassinat de Kennedy,
le chantage de Ted Kennedy à Chappiquiddick, et le Watergate.
Lisez
le livre de Sprague et décidez par vous-même. C'est la chronologie
des événements qu'il donne par rapport à la prise en mains des
Etats-Unis.
La
preuve pour la stratégie du Groupe de Contrôle du Pouvoir et de
Ford/Nixon est la suivante:
1.
Nixon
était officier de la Maison Blanche en activité sur les plans
d'invasion de Cuba en 1960.
2.
Nixon
était en contact avec Hunt et d'autres durant la planification
de la Baie des Cochons.
3.
Nixon
mentit au peuple américain de son propre aveu sur la Baie des
Cochons durant son débat télévisé avec Kennedy en 1960.
4.
Nixon
était financièrement relié à la Mafia et aux opérations de casino
de Cuba avant que Castro ne les prenne en main.
5.
Nixon
était relié à Hunt, Baker, Martinez, Sturgis, Carlos Prio Socarras,
et d'autre personnes du Watergate et des personnes anti-castristes
en Floride, et il fut relié financièrement à Baker, Martinez et
Socarras.
6.
Hunt,
Baker, Sturgis et Socarras étaient liés au groupe d'assassinat
dans le meurtre de JFK.
7.
Nixon
était à Dallas pendant trois jours, y compris le matin de l'assassinat
de JFK. Il était en train d'essayer de créer de l'agitation pour
Kennedy.
8.
Nixon
alla à Dallas sous de faux prétextes. Il n'y avait pas de réunion
du conseil de la Société Pepsi Cola comme il annonça que sa société
juridique devait y assister.
9.
Nixon
n'a pas admis être à Dallas le jour où Kennedy fut tué et ne révéla
pas la vraie raison de son voyage. Il tint deux conférences de
presse les deux jours avant l'assassinat, attaquant à la fois
Kennedy et Johnson et accentuant les problèmes politiques des
Démocrates au Texas.
10.
La recherche
indique que Nixon soit savait à l'avance les plans d'assassinat,
soit en eut connaissance peu de temps après l'assassinat.
11.
Nixon
proposa à Lyndon Johnson que Gerald Ford serve dans la Commsission
Warren.
12.
Ford
dirigea la dissimulation de la Commission en contrôlant l'interrogatoire
des témoins clés et par plusieurs autres moyens.
13.
Ford aida à planter fermement l'idée que Oswald était le seul
assassin et qu'il n'y avait pas de complot en publiant son propre
livre, "Lee Harvey Oswald: Portrait of the Assassin".("Lee
Harvey Oswald: Portrait de l'Assassin".)
14.
Ford
dissimula intentionnellement le complot du PCG dans l'assassinat
de JFK et dissimula aussi le fait qu'Oswald était un informateur
payé pour le FBI. Il fit ceci en écartant le sujet dans son livre
comme rumeur sans valeur et en gardant classifiées Top Secret
les sessions exécutives de la Commission (où le statut d'informateur
d'Oswald était discuté).
15.
Ford
continua la dissimulation quand il fut interrogé avant d'être
confirmé par le Sénat comme Vice-Président. Il mentit sous serment
deux fois au Comité du Sénat. Il déclara qu'il avait écrit son
livre sur Oswald sans accès aux documents classifiés. Il mentit
sur ceci parce que son livre utilisait des documents classifiés
sur le statut d'informateur d'Oswald. Il mentit quand il dit que
le livre était intitulé "Lee Harvey Oswald: Portrait of "an"
Assassin" ("Lee Harvey Oswald: Portrait d' "un"
Assassin"). Ce fut significatif en 1973 parce que le
public était devenu très sceptique alors sur un seul assassin.
En changeant un mot dans le titre, Ford fit le livre sembler un
peu moins que ce qu'il était en réalité – un effort pour faire
d'Oswald l'assassin.
16.
Jaworski
aida à la dissimulation en s'asseyant sur la preuve de complot
accumulée par Waggoner Carr, Attorney General du Texas, qu'il
représentait en liaison avec la Commission Warren. Il stoppa aussi
le témoignage critique de Jack Ruby quand il témoigna devant la
Commission Warren, et divertit l'attention de l'intention de Ruby
de révéler le complot pour tuer à la fois Kennedy et Oswald.
17.
Nixon
devint président en 1968 uniquement parce que Robert Kennedy fut
tué par un complot. Nixon était bien au courant du complot qu'il
l'approuvât ou non à l'avance.
18.
John
Mitchell et J. Edgar Hoover rejoignirent Nixon et les membres
de plus bas niveau du PCG en dissimulant le complot du meurtre
de RFK. Ils classifièrent la preuve "Top Secret" et
assassinèrent plusieurs témoins, contrôlèrent le juge dans le
procès Sirhan et le district attorney et le chef de la police
à Los Angeles durant et après le procès. Ils contrôlent encore
ces personnes et le Comité des Superviseurs du Comté de Los Angeles.
Clarence Kelly devint aussi impliqué.
19.
Le groupe
de plombiers ordonna l'assassinat de George Wallace en 1972 pour
assurer l'élection de Nixon en reprenant le vote de Wallace (environ
18%, d'après les sondages).
20.
J. Edgar
Hoover et Richard Helms étaient au courant de qui assassina John
Kennedy et Robert Kennedy. Ils aidèrent à la dissimulation des
deux complots.
21.
John
Mitchell contrôla le procès de Clay Shaw et l'enquête Garrison
et discrédita Garrison en l'incriminant dans une affaire de jeux
à la Nouvelle-Orléans.
22.
Nixon
et Haldeman discutèrent de l'assassinat de John Kennedy, du complot,
de l'implication de Hunt, de la possibilité que Hunt pourrait
parler, de la dissimulation, de la relation de la Baie des Cochons
entre Nixon, Hunt et les autres membres du PCG, et du briefing
que Nixon aurait pu avoir pour donner à quiconque opposé à lui
en 1972, sur des questions de "sécurité nationale".
23.
Nixon
et Mitchell discutèrent des assassinats et de la tentative d'assassinat
sur George Wallace. Mitchell exécuta les ordres pour supprimer
la vérité sur ces événements.
24.
Gerald
Ford avait en sa possession les bandes les plus critiques sur
lesquelles les assassinats et les dissimulations étaient discutés.
25.
On pouvait
compter sur Jaworski pour garder le matériel sur l'assassinat
sous le manteau même après sa démission. Il était au courant de
la preuve de complot et de la dissimulation dans les trois affaires
(JFK,RFK, Goerge Wallace).
26.
On s'occupa
de Hunt et il garda le silence. Il était sorti de prison et vivait
dans une belle propriété de 100 000 dollars en Floride avec beaucoup
d'argent, de l'autre côté de la rue par rapport à son ami de la
Baie des Cochons, Manuel Artime.
27.
Clay
Shaw fut assassiné par le PCG, sans doute pour l'empêcher de parler
une fois que la vérité sur sa position dans la CIA fût révélée
par Victor Marchetti. Il fut embaumé avant que le coroner ne puisse
déterminer la cause de sa mort. Une preuve indique qu'il fut
tué quelque part et ensuite ramené à son appartement.
28.
Hale
Boggs, un membre de la Commission Warren, fut peut-être tué par
le PCG. L'avion de Bogg disparut en Alaska. Aucune trace ne fut
jamais trouvée et aucune explication sur la manière dont l'avion
aurait pu se crasher n'a jamais été donnée. Mrs Boggs a exprimé
des doutes que ce soit un accident.
29.
Quatre
des sept membres de la Commission Warren sont morts: Warren, Dulles,
Russell et Boggs. Des membres restants, Ford fut Président, John
McCloy est à la retraite et vit dans le Connecticut, et John Sherman
Cooper fut fait ambassadeur en Allemagne de l'Est.
30.
Richard
Russell, Hale Boggs et Cooper croyaient qu'il y avait un complot
dans l'assassinat de JFK. Russell et Boggs le dirent publiquement.
31.
Haldeman
effaça 18 ½ minutes d'une discussion sur bande avec Nixon. Cette
bande contenait sans aucun doute des questions de "sécurité
nationale". Le fait que Haldeman fit l'effacement peut facilement
être déterminé en suivant la piste de la possession de la bande
du jour où elle fut sortie du coffre jusqu'au jour où le manque
fut découvert. Haldeman eut la bande avec l'enregistreur seul
pendant près de 48 heures. Personne d'autre n'eut la bande assez
longtemps pour faire l'effacement.
32.
Ford
et le PCG envisagèrent des pardons pour Mitchell, Haldeman, Ehrlichman
et peut-être d'autres qui connaissent le secret numéro un.
33.
Les déclarations
de Ford au sous-comité du Comité Judiciaire de la Chambre concernant
son pardon de Nixon éluda la vraie question. Seule Elizabeth Holtzman
posa des questions approchant de près au secret numéro un. Quand
elle demanda à propos d'un accord préalable, Ford dit, "Je
n'ai pas fait de marché, il n'y avait pas de marché, puisque
je suis devenu Vice-Président." Ces quelques derniers
mots ne furent pas rapportés par la Presse, mais un grand nombre
d'Américains le virent et l'entendirent les dire. Evidemment il
parlait sans mentir parce que le "marché" fut fait avant
qu'il ne devienne Vice-Président.
Il
y a aussi ceci de Gerald Ford en 1997:
Des notes
de Ford offrent quelque chose de neuf pour les théoriciens du complot
de JFK.
Par
MIKE FEINSILBER
The Associated Press
02-07-1997
WASHINGTON
(2 juillet) – Il y a trente-trois ans, Gerald R. Ford prit son
stylo et changea – si légèrement – la phrase clé de la Commission
Warren sur l'endroit où une balle entra dans le corps de John
F. Kennedy quand il fut tué à Dallas.
L'effet
du changement de Ford fut de renforcer la conclusion de la commission
qu'une seule balle passa à travers Kennedy et blessa grièvement
le Gouverneur du Texas John Connally – un élément crucial dans
sa découverte que Lee Harvey Oswald était le seul tireur.
Un
petit changement, dit Ford mercredi quand ce fut mis en lumière,
on avait l'intention de clarifier la signification, pas de changer
l'histoire.
"Mes
changements n'ont rien à voir avec une théorie de complot",
dit-il dans un interview téléphonique depuis Beaver Creek, Colorado.
"Mes changements étaient seulement une tentative d'être plus
précis".
Mais
à nouveau, son annotation fut saisie par les membres de la communauté
du complot, qui rejeta la conclusion de la commission qu'Oswald
avait agit seul.
"C'est
le mensonge le plus significatif dans tout le rapport de la Commission
Warren", dit Robert D. Morningstar, un spécialiste en systèmes
informatiques à New York qui dit qu'il avait étudié l'assassinat
depuis qu'il s'était passé et avait écrit un livre sur Internet
sur cela.
L'effet
de l'annotation de Ford, dit Morningstar, était de suggérer qu'une
balle avait frappé Kennedy dans le cou, "levant la blessure
de deux à trois pouces. Sans ce changement, ils n'auraient jamais
pu trompé le public quant au nombre réel d'assassins."
Si
la balle avait frappé Kennedy dans le dos, elle n'aurait pas pu
avoir atteint Connolly de la manière dont la commission avait
dit qu'elle l'avait fait, dit-il.
La
Commission Warren conclut en 1964 qu'une seule balle – tirée par
un Oswald "mécontent" – passa à travers le corps de
Kennedy et blessa son passager de cortège, Connolly, et qu'une
seconde balle, fatale, tirée du même endroit, éclata le crâne
de Kennedy.
L'assassinat
du président arriva le 22 novembre 1963 à Dallas; Oswald fut arrêté
ce jour mais fut tué par balle deux jours plus tard quand il était
transféré de la prison de la ville vers la prison du comté.
Les théoriciens du complot rejettent l'idée qu'une seule
balle pourrait avoir touché à la fois Kennedy et Connolly et fait
autant de dommage. Ainsi ils argumentent qu'un second tireur doit
avoir été impliqué. Les changements de Ford tendent à soutenir la théorie de
la balle unique en faisant un point spécifique que la balle entra
dans le corps de Kennedy "à l'arrière du cou" plutôt que
dans le haut de son dos, comme l'équipe de la commission l'avait
écrit initialement. Les notes écrites de Ford étaient contenues dans les 40 000
pages d'enregistrements gardées par J. Lee Rankin, conseiller en
chef de la Commission Warren. Elles furent rendues publiques mercredi par le Assassination
Record Review Board (Conseil de Revue des Enregistrements sur
l'Assassinat), une agence créée par le Congrès pour rassembler
toute preuve pertinente dans l'affaire. Les documents seront disponibles
au public dans les Archives Nationales.
L'équipe
de la commission a écrit: "Une balle est entrée dans son
dos à un point légèrement au-dessus de son épaule et à droite
de la colonne vertébrale."
Ford
suggéra de changer cela pour lire: "Une balle est entrée
dans l'arrière (1) de son cou à un point légèrement à droite de
la colonne vertébrale".
Ford,
alors Chef Républicain à la Chambre et plus tard élevé à la présidence
avec la démission en 1974 de Richard Nixon, est le seul membre
survivant de la commission de sept membres présidé par le Président
de la Cour Suprême Earl Warren.
Sprague
raconte aussi une interview entre LBJ et Walter Cronkite en 1969
où l'ancien président admit l'existence d'un complot.
CBS
édita un autre passage d'un téléfilm. En novembre 1969, Walter
Cronkite conduisit une interview en trois parties avec Lyndon
B. Johnson à son ranch au Texas. La série fut diffusée au printemps
1970 et lors du premier programme une annonce fut faite que des
portions de l'interview enregistrée avaient été effacées à la
demande de Lyndon Johnson, "pour des raisons de sécurité
nationale."
Ce
qui arriva en réalité et ce que Johnson avait dit six mois plus
tôt fut rendu public suite à une fuite à CBS. L'histoire apparut
dans les journaux dans tous les Etats-Unis plusieurs jours avant
la diffusion.
Johnson
dit à Cronkite qu'il y avait eu un complot dans l'assassinat
du Président Kennedy, que Oswald n'était pas un assassin fou
seul, et qu'il, Johnson, l'avait su depuis le début. Johnson
passa en revue les bandes une semaine environ avant que le programme
ne soit diffusé et appela ensuite la direction de CBS, demandant
que ses remarques soient effacées.
Quelqu'un à CBS qui fut très dérangé par ceci, appela un
membre du Commitee to Investigate Assassinations (Comité
pour enquêter sur les Assassinats) et lui dit ce qui avait
été effacé. Ceci mena à l'histoire imprimée dans les journaux.
Rep. Albert Thomas de Houston cligne des yeux à LBJ durant sa déclaration
sous serment dans Air Force One. Ce qu'on se demande, c'est qu'y
avait-il pour cligner des yeux? Kennedy avait parlé à un dîner
pour honorer Thomas la nuit d'avant…
Durant
les événements finaux de cette liste, George H.W. Bush était le
directeur de la CIA. Sprague argumente que Bush connaissait cette
activité de la part du "Power Control Group." Comment
se place t-il là-dedans?
George Bush: La Biographie Non autorisée
CHAPITRE VIII-b – LA BAIE DES COCHONS ET L'ASSASSINAT
DE KENNEDY Par Webster G. Tarpley & Anton Chaitkin
[…]
Selon la biographie officielle de George Bush, il était durant
l'année 1963 un homme d'affaires aisé résidant à Houston, le président
occupé de Zapata Offshore et le président de la Harris County
Republican Organization, soutenant Barry Goldwater comme candidat
présidentiel probable du GOP, et au même moment préparant activement
sa propre offre pour le Sénat américain en 1964. Mais durant cette
même période de temps, Bush peut avoir partagé certaines connaissances
avec Lee Harvey Oswald.
Entre
octobre 1962 et avril 1963, Lee Harvey Oswald et sa femme russe
Marina étaient en contact fréquent avec un couple émigré russe
vivant à Dallas: c'était George de Mohrenschildt et sa femme Jeanne.
Durant
l'enquête de la Commission Warren sur l'assassinat de Kennedy,
de Mohrenschildt fut interviewé longuement sur ses contacts avec
Oswald.
Quand,
au printemps 1977, le discrédit du rapport de la Commission Warren
comme une dissimulation flagrante avait rendu irrésistible la
pression publique pour une nouvelle enquête sur l'assassinat de
Kennedy, le House Assassinations Committee planifia d'interviewer
de Mohrenschildt encore une fois. Mais en mars 1977, juste avant
que de Mohrenschildt ne soit programmé à être interviewé par Gaeton
Fonzi de l'équipe du comité de la Chambre, il fut trouvé mort
à Palm Beach en Floride.
Sa
mort fut rapidement classée comme un suicide. Une des dernières
personnes à l'avoir vu vivant fut Edward Jay Epstein, qui était
en train d'interviewer de Mohrenschildt sur l'assassinat de Kennedy
qui jouissait d'excellentes relations avec le dernier James Angleton
de la CIA. Si de Mohrenschildt était vivant aujourd'hui, il pourrait
être capable de nous éclairer sur les relations avec George Bush,
et peut-être nous donner un peu de discernement dans les activités
de Bush durant cette époque.
Jeanne
de Mohrenschildt rejeta la décision judiciaire de suicide pour
la mort de son mari. "Il fut éliminé avant qu'il n'aille
à ce comité," dit la veuve à un journaliste en 1978, "parce
que quelqu'un ne voulait pas qu'il y aille." Elle maintint
aussi que George de Mohrenschildt avait été injecté furtivement
avec des drogues altérant l'esprit.
Après
la mort de de Mohrenschildt, son répertoire d'adresses fut localisé,
et il contenait cette rubrique: "Bush, George H.W. (Poppy)
1412 W. Ohio aussi Zapata Petroleum Midland." Il y a évidemment
le problème de dater cette référence. George Bush avait déménagé
son bureau et son domicile de Midland à Houston en 1959, quand
Zapata Offshore fut constitué, donc peut-être que cette référence
remonte à une époque avant 1959. Il y a aussi le nombre: "4-6355."
Il y a évidemment, de nombreuses autres rubriques, y compris une
W.F. Buckley de Buckley Brothers de New York City, William S.
Paley de CBS, plus beaucoup d'hommes du pétrole, de courtiers,
et similaires. […]
Il
est établi qu'entre octobre 1962 et la fin d'avril 1963, de Mohrenschildt
fut une figure très importante dans la vie de Oswald et de sa
femme russe. Malgré le manque de grâces sociales de Oswald, de
Mohrenschildt le présenta dans la société de Dallas, l'emmena
à des réceptions, l'assista à trouver un emploi, et beaucoup plus.
Ce
fut au travers de de Mohrenschildt que Oswald rencontra un certain
Volkmar Schmidt, un jeune géologue allemand qui avait étudié avec
le Professeur Wilhelm Kuetemeyer, un expert en médecine psychosomatique
et philosophie religieuse à l'Université de Heidelberg, qui compila
un profil psychologique de Oswald.
Jeanne
et George aidèrent Marina à déménager ses affaires durant un des
nombreux éloignements de Oswald. Selon certains récits, l'influence
de de Mohrenschildt sur Oswald fut si grande durant cette période
qu'il pouvait dicter virtuellement des décisions importantes au
jeune ex-Marine simplement en faisant des suggestions. Oswald
avait peur de de Mohrenschildt, selon certains.
[…]
Selon Mark Lane, "il y a une preuve que de Mohrenschildt
servit comme officier de contrôle de la CIA qui dirigeait les
actions de Oswald."
Beaucoup
de la littérature étendue publiée sur de Mohrenschildt converge
sur l'idée qu'il était baby-sitter, dompteur, officier d'affaires,
ou agent de contrôle pour Oswald au nom d'une agence de renseignement.
Le
pedigree de de Mohrenschildt évoque des parallèles tourmentants
aux figures typiques des réseaux PERMINDEX de Georges Mandel,
Ferenc Nagy, Max Hagerman, Max Seligman, Carlo d'Amelio, Lewis
Mortimer Bloomfield, et Clay Shaw, à qui une attention publique
fut appelée durant les enquêtes du district attorney de la Nouvelle-Orléans
James Garrison.
Il
est par conséquent hautement intéressant que le nom de George
Bush soit découvert dans le répertoire d'adresses personnel de
George de Mohrenschildt.
La
Commission Warren en vint à des longueurs absurdes pour dissimuler
le fait que George de Mohrenschildt était un résident du monde
des agences de renseignement. Ceci incluait d'ignorer le procès
sur papier bien développé sur de Mohrenschildt comme Nazi et sympathisant
communiste, et plus tard comme un atout US à l'étranger. La Commission
Warren conclua:
L'Enquête
de la Commission n'a développé aucun signe de conduite subversive
ou déloyale de la part de l'un des deux de Mohrenschildt. Ni le
FBI, ni la CIA, ni aucun témoin contacté par la Commission n'a
fourni une information reliant les de Mohrenschildts à des organisations
subversives ou extrémistes. Il n'y a pas eu non plus de preuve
les reliant en aucune manière avec l'assassinat du Président Kennedy.
Le
jour de l'assassinat de Kennedy, les archives du FBI montrent George
Bush rendant compte à un membre de droite des Young Republicans
de Houston pour faire des commentaires menaçants sur le Président
Kennedy. Selon des documents
du FBI relâchés sous le Freedom of Information Act,
Le
22 novembre 1963, M. GEORGE H.W. BUSH, 5525 Briar, Houston, Texas,
informa téléphoniquement qu'il voulait relater une rumeur qu'il
avait entendue ces dernières semaines, date et source inconnues.
Il informa qu'un JAMES PARROTT avait parlé du meurtre du Président
quand il alla à Houston.
PARROTT
est peut-être un étudiant à l'Université de Houston et est actif
en politique dans la région de Houston.
Selon
la documentation du FBI relative, "une vérification avec
le Service Secret à Houston, Texas révéla que l'agence avait un
rapport où PARROTT déclarait en 1961 qu'il tuerait le Président
Kennedy s'il se trouvait près de lui."
Ici
Bush est décrit comme "un homme d'affaires honorable."
Des agents du FBI furent envoyés pour interroger la mère de Parrott,
et plus tard James Milton Parrott lui-même.
Parrott
avait été renvoyé de l'US Air Force pour des raisons psychiatriques
en 1959. Parrott avait un alibi pour le moment des tirs à Dallas;
il avait été dans la société d'un autre activiste républicain.
Selon des articles de presse, Parrott était un membre de la faction
de droite du GOP de Houston qui était orientée vers la John Birch
Society et qui s'opposait à la présidence de Bush.
Selon
le San Francisco Examiner, le bureau de presse de Bush en août
1988, dit d'abord que Bush n'avait pas fait un tel appel, et défia
l'authenticité des documents du FBI. Plusieurs jours plus tard
le porte-parole de Bush dit que le candidat "ne se rappelait
pas" avoir fait cet appel.
Un
jour plus tard après qu'il rapportât Parrott au FBI, Bush reçut
du Bureau un briefing hautement sensible, de haut niveau:
Date: 29 novembre 1963 A: Directeur Bureau de Renseignement et Recherche Département d'Etat De: John Edgar Hoover, Directeur Sujet: ASSASSINAT DU PRESIDENT JOHN F. KENNEDY 22 NOVEMBRE 1963
Notre
Bureau à Miami, Floride le 23 novembre 1963 avisa que le Bureau
de Coordination des Affaires Cubaines à Miami avisa que le Département
d'Etat sent que quelques groupes anti-castristes égarés peuvent
capitaliser la situation présente et entreprendre un raid non
autorisé contre Cuba, croyant que l'assassinat du Président John
F. Kennedy puisse annoncer un changement dans la politique américaine,
ce qui n'est pas vrai.
Nos
sources et informateurs familiers avec les questions cubaines
dans la région de Miami avisent que le sentiment général dans
la communauté cubaine anti-castriste est d'incrédulité étourdissante
et, même parmi ceux qui ne sont pas entièrement d'accord avec
la politique du Président concernant Cuba, le sentiment est que
la mort du Président représente une grande perte non seulement
pour les Etats-Unis mais pour toute l'Amérique Latine. Ces sources
ne connaissent pas de plans pour une action non autorisée contre
Cuba.
Un
informateur qui a fourni de l'information fiable dans le passé
et qui est proche d'un petit groupe pro-castriste à Miami a avisé
que ces individus ont peur que l'assassinat du Président puisse
résulter en des mesures répressives fortes étant prises contre
eux et, bien que pro-castristes dans leurs sentiments, regrettent
l'assassinat.
La substance de l'information précédente fut fournie oralement
à M. George Bush de la Central Intelligence Agency et au Capitaine
William Edwards de la Defense Intelligence Agency le 23 novembre
1963 par M. W.T. Forsyth de ce Bureau.
William
T. Forsyth, décédé depuis, était un fonctionnaire des quartiers-généraux
du FBI à Washington; durant le temps qu'il était attaché à la
section du contrôle de la subversion du Bureau, il mena l'enquête
sur Martin Luther King. Etait-il aussi une partie du harcèlement
du FBI contre le Dr. King? Les efforts des journalistes pour localiser
le Capitaine Edwards n'ont pas réussi.
Ce
document du FBI identifiant George Bush comme un agent de la CIA
en novembre 1963 fut d'abord publié par Joseph McBride dans The
Nation en juillet 1988, juste avant que Bush ne reçoive la
nomination républicaine pour être président. La source de McBride
observa: "Je sais que [Bush] fut impliqué dans les Caraïbes.
Je sais qu'il fut impliqué dans la suppression de choses après
l'assassinat de Kennedy. Il y avait un souci très précis que certains
groupes cubains n'aillent contre Castro et essaient de le mettre
sur le compte de la CIA.
Quand
pressé sur la confirmation ou le démenti, le porte-parole de Bush
Stéphane Hart commenta : "doit être un autre George Bush."
En
peu de temps la C.I.A. elle-même colportera la même ligne de contrôle
de préjudice. Le 19 juillet 1988 à la suite de la large attention
publique au rapport publié dans la Nation, le Porte-parole
de la C.I.A. SHARRON BASSO est parti de la politique de C.I.A.
normale de refus de confirmer ou nier des rapports que n'importe
quelle personne est ou était un employé de la C.I.A.. Le porte-parole
de la C.I.A. BASSO a dit à l'Associated Press que la C.I.A. a
cru que "le rapport devrait être clarifié." Elle a dit
que le document du FBI a "apparemment" mentionné George
William Bush qui avait travaillé en 1963 sur l'équipe de nuit
au quartier général de la C.I.A. et que "cela aurait été
la place appropriée pour avoir reçu un tel rapport du FBI."
Selon son récit, George William Bush en question avait quitté
la C.I.A. pour rejoindre l'Agence de renseignements de la Défense
en 1964.
Pour
la C.I.A. donner volontairement le nom d'un de ses anciens employés
à la Presse était une violation choquante des méthodes
traditionnelles, qui sont censément conçues pour garder de tels
noms comme un secret étroitement gardé. Cette révélation peut
avoir constitué une violation de loi fédérale. Mais aucun effort
n'était trop grand quand est venu le contrôle de préjudice pour
George Bush.
George
William Bush avait en effet travaillé pour la C.I.A., la DIA et
le Département de d'Assistance publique à Alexandria en Virginie,
avant de rejoindre l'administration de la Sécurité sociale, où
dans le bureau d'Arlington, en Virginie il a été employé comme
représentant en contentieux en 1988. George William Bush a dit
à la Nation que tandis qu'à la C.I.A. il était "juste
un chercheur modeste et un analyste" qui a travaillé avec
des documents et des photos et n'a jamais reçu de briefings de
médiation. Il n'avait jamais rencontré Forsyth du FBI ni le Capitaine
Edwards de la DIA. "Donc ce n'était pas moi," a dit
George William Bush.
Plus
tard, George William Bush a formalisé son démenti dans une déclaration
sous serment à une cour fédérale à Washington, DC. L'attestation
reconnaît qu'en travaillant au quartier général de la C.I.A. entre
septembre 1963 et février 1964, George William Bush était la personne
la plus jeune dans une équipe de surveillance de trois à quatre
hommes qui était en service quand Kennedy a été tué. Mais, comme
George William Bush continue à dire,
J'ai
soigneusement passé en revue le mémorandum du FBI au Directeur,
Bureau d'Intelligence et de Recherche, Département d'Etat daté
du 29 novembre 1963 qui mentionne un M. George Bush du Service
de renseignements Central .... je ne reconnais pas le contenu
du mémorandum comme l'information fournie oralement ou autrement
pendant le temps où j'étais à la C.I.A. En fait, pendant mon
temps à la C.I.A. je n'ai pas reçu de communications orales d'aucune
agence du gouvernement d'aucune nature que ce soit. Je n'ai
pas reçu d'information touchant à l'assassinat de Kennedy pendant
mon temps à la C.I.A. de la part du FBI.
Basé
sur le susdit, c'est ma conclusion que je ne suis pas le M. George
Bush du Service de renseignements Central mentionné dans le mémorandum.
Donc
nous sommes laissés avec le soupçon fort que "le M. George
Bush de la C.I.A." mentionné par le FBI est notre propre
George Herbert Walker Bush, qui, en plus de son contact possible
avec le contrôleur de Lee Harvey Oswald, peut ainsi aussi rejoindre
les rangs de l'opération de camouflage d'assassinat de Kennedy.
C'est
parfaitement clair pour George Bush d'être appelé sur une question
impliquant la communauté cubaine à Miami, puisque c'est une place
où George a traditionnellement eu un corps électoral. George l'a
hérité de son père, Prescott Bush de Jupiter Island et l'a transmis
plus tard à son propre fils, Jeb.
Le Texas et la Floride. Drôle comment ces deux états
jouent un rôle si important dans l'imposition du Reich de Bush,
des années soixante jusqu'à aujourd'hui.
Mettons ça d'aplomb : Il semble que George Herbert Walker
Bush était un employé de la C.I.A. en 1963 au moment de l'assassinat
d'un président en exercice des Etats-Unis. Non seulement cela,
mais il a été ami avec l'entraîneur de l'assassin "bouc émissaire".
Il y avait une piste de papier menant à son nom comme surgissant
LE JOUR DE L'ASSASSINAT - rapportant "un complot pour assassiner
le président. Bush a dit qu'il avait entendu parler de ce complot"
dans des semaines récentes. "C'est clair de la preuve que
la C.I.A. non seulement savait, mais était complice de l'assassinat
de JFK, ce qui suggère que G.H.W. Bush savait aussi . Il ne faisait
pas simplement partie de l'opération de camouflage, il faisait
partie de la conspiration pour assassiner Kennedy. Son appel,
comme l'attaque sur le Pentagone le 11/9, était "une signature."
Je pense que j'appellerais cela arrogance.
Mais ce n'est que le délire de cinglés de complot, exact?
Alors que faire de la situation à l'époque où Bush a été nommé
chef de la C.I.A. par Ford, le type qui a modifié le Rapport Warren?
:
On
verra qu'au début de la titularisation de Bush à la C.I.A., les
comités du Congrès étaient sur l'offensive contre les agences
de renseignement. Au moment où Bush est parti de Langley, les
tables ont été tournées et c'était le Congrès qui était le centre
de scandales, y compris le Koreagate. Peu après, le Congrès subit
l'assaut d'Abscam.
La
préparation pour ce qui devait devenir le massacre d'Halloween
a commencé dans la Maison Blanche de Ford pendant l'été de 1975.
La Bibliothèque Ford dans Ann Arbor, Michigan préserve un
mémo de Donald Rumsfeld à Ford daté du 10 juillet 1975, qui traite
d'un tableau de choix possibles pour le Directeur de la C.I.A..
Rumsfeld avait interrogé un certain nombre de fonctionnaires de
la Maison Blanche et de représentants de l'administration et leur
avait demandé d'exprimer des préférences parmi "des étrangers
à la C.I.A.."
Parmi
les fonctionnaires interrogés par Cheney se trouvait Henry Kissinger,
qui suggéra C. Douglas Dillon, Howard Baker, Galvin et Robert
Roosa. Dick Cheney du personnel de la Maison Blanche proposa
Robert Bork, suivi par Bush et Lee Iacocca. Nelson Rockefeller
était aussi pour C. Douglas Dillon, suivi par Howard Baker, Conner
et James R. Schlesinger. Rumsfeld lui-même inscrit Bork, Dillon,
Iacoca, Stanley Resor et Walter Wriston, mais pas Bush. Les seuls
fonctionnaires mettant Bush dans leurs listes "possibles"
d'autres que Cheney étaient Jack O. Marais, un conseiller de Ford
à la Maison Blanche et David Packard. Quand est venu le temps
pour Rumsfeld de résumer le nombre global de fois que chaque personne
était mentionnée, moins un point pour chaque fois qu'on avait
contre-recommandé une personne, la liste était comme suit :
Robert
Bork [rejeté en 1987 pour la Cour suprême] White McGee Foster
[John S. Foster de PFIAB, autrefois du Department of Defense]
Dillon Resor Roosa Hauge
On
verra que Bush n'était pas parmi les candidats en tête, peut-être
parce que ses réseaux étaient convaincus qu'il allait faire une
autre tentative pour la vice-présidence et que donc le Département
de Commerce ou un certain poste semblable seraient plus appropriés.
Le profil sommaire de Bush envoyé à Ford par Rumsfeld constatait
que Bush avait "l'expérience dans le gouvernement et la diplomatie"
et était "généralement familier avec les composants de la
communauté de renseignement et leurs missions" en ayant l'expérience
de la gestion." Sous "contre" Rumsfeld nota :"
le poste RNC (NdT: Republican National Committee) donne
une tournure politique indésirable"
Comme
nous avons vu, le poste de la CIA fut finalement offert par Ford
à Edouard Bennet Williams, peut-être en vue de construire un pont
bipartisan vers une faction puissante de la communauté du renseignement.
Mais Williams ne voulait pas de ce travail. On donna à Bush, à
l'origine désigné pour le Ministère du Commerce, la nomination
à la C.I.A.
Des noms familiers, non? Cheney et Rumsfeld? Une partie
de l'équipe décisionnaire pour installer Bush à la CIA. Et que
fit Bush Sr. quand il était directeur? De Sprague:
Postscript
Le
27 avril 1976 "Le New York Times" publia une histoire
sur la révélation du Comité de Renseignement du Sénat que la CIA
garderait vingt-cinq agents journalistes dans les médias de nouvelles.
Le
Comité révéla que George Bush prévit de garder ces personnes dans
les positions de médias qu'elles avaient occupées depuis longtemps.
Le
point significatif de l'histoire était une déclaration par un
membre de l'équipe du Comité que beaucoup des individus étaient
en positions exécutives dans des organisations de nouvelles
américaines. Bush avait dirigé que la CIA arrête d'engager des
correspondants "accrédités" par des publications américaines
et d'autres organisations de nouvelles. Le "Times" reconnut
que le mot important dans la directive de Bush était "accrédité".
"Des directeurs qui ne travaillent pas comme correspondants
ne sont apparemment pas couverts dans la directive de M. Bush,
ni les écrivains freelance qui ne sont pas affiliés à un employeur
spécifique." L'article dit aussi que dans la plupart des
cas l'organisation de médias n'était pas au courant de la connexion
de l'individu avec la CIA.
C'était
cependant la meilleure confirmation que la CIA avait ses membres
de l'Equipe Secrète plantés au sommet des médias. Un seul directeur
est requis au sommet de l'organisation pour la contrôler si besoin
est. Puisque la CIA avait vingt-cinq directeurs plantés, cette
figure est plus qu'assez pour contrôler les quinze organisations
de médias mentionnées dans ce chapitre.
Contrôlez les esprits et vous contrôlerez le peuple.
Contrôlez les médias et vous pouvez contrôler les esprits. Regardez
l'état actuel du public américain: abêtis par des décennies de
télévision, des films à succès, et des vidéos musicales.
Il n'y a pas de population sur la surface de la Terre
mieux contrôlée que les Etats-Unis. L'émission spéciale d'ABC
sur Kennedy plantera un autre clou dans leur cercueil, présentant
une preuve irréfutable par un média qu'ils ont intégré dans chaque
aspect de leurs vies, la simulation par ordinateur. L'illusion
est maintenant "vérité". Je pense que nous pouvons dire
avec quelque certitude que nous avons eu deux présidents de ce
pays – et spéculé sur les autres – qui étaient directement impliqués
dans un complot pour assassiner un Président des Etats-Unis en
place.
L'Amérique n'est qu'une illusion et les gens ont acheté
tout sans exception. C'est presque comme si, pour aller au niveau
suivant, se déplacer au-delà du cycle de quarante ans qui commença
le jour de l'assassinat de Kennedy, le Groupe de Contrôle du Pouvoir
a besoin de ce petit acte symbolique. Baissons le rideau sur la
scène et continuons vers le jeu final.
Pendant quarante ans, le public américain a avalé le
mensonge: les assassinats de JFK, RFK, Martin Luther King. Malcolm
X est mort. John Lennon est mort. Quiconque pouvait fournir un
point de ralliement pour la dissidence ou l'interrogation n'est
plus ici; supprimés un à un. Nous sommes laissés avec les mensonges
de George Jr, plus outrageux qu'un Hitler n'a jamais dit. L'avenir
créé par les choix faits aujourd'hui. Acceptez-vous le mensonge
ou parlez-vous pour dire la vérité? Où tracez-vous la ligne? La
Vérité ou le confort du mensonge? La défense de la vérité permet
l'infusion d'une énergie créatrice dans la situation, quelque
chose de nouveau et d'imprévisible qui peut complètement changer
ce qui apparaît être une situation inchangeable et désespérée.
Mais seule la vérité permet cet influx d'énergie nouvelle. Il
n'y a qu'en affrontant le mensonge en face, en le confrontant,
en refusant d'y croire, et en travaillant à l'exposer qu'on ouvrira
cette porte.
Tourner le dos et se retirer dans l'amour et la lumière,
la pensée "positive", ou la création désireuse de nouveaux
états d'illusion ne l'ouvriront pas.
Chacun de nous fait le choix,
chaque jour.
(1)
NdT: Le même mot anglais "back" est utilisé à la fois
pour "dos" et "arrière" et donne deux phrases
plus proches en anglais qu'en français.
En tant que propriétaires
et éditeurs de ces pages, nous souhaitons souligner que le matériel
présenté ici est le fruit de notre recherche et de notre expérimentation
en communication supraluminique. Nous nous demandons parfois si les Cassiopéens
sont ce qu¹ils prétendent être, parce que nous ne tenons rien
pour vérité indiscutable. Nous prenons tout "cum granulo
salis", même si nous considérons qu¹il y a de bonnes
chances que ce soit la vérité. Nous analysons constamment ce matériel
ainsi que beaucoup d¹autres qui attirent notre attention, issus de divers
domaines de la Science et du mysticisme. Honnêtement, nous ne savons pas
CE QU'EST la vérité, mais nous croyons qu¹elle est «
quelque part par là» et que nous pouvons sans doute en découvrir
une partie. Oui, nous pouvons dire que nos vies ont été enrichies
par ces contacts, mais certains éléments nous ont aussi rendus
perplexes et nous ont désorientés, et ils restent encore à
être clarifiés. Nous avons certes trouvé beaucoup de «confirmations»
et de « corroborations » dans d¹autres domaines, entre autres
la Science et l¹Histoire, mais il y a aussi de nombreux éléments
qui, par nature, sont invérifiables. C¹est pourquoi nous invitons
le lecteur à partager notre recherche de la Vérité en lisant
avec un esprit ouvert, mais sceptique.
Nous n¹encourageons
pas « l'adepte-isme », ni aucune « Vraie Croyance ».
Nous ENCOURAGEONS la recherche de la Connaissance et de la Conscience dans tous
les domaines qui en valent la peine, comme le meilleur moyen de discerner le
mensonge de la vérité. Voici ce que nous pouvons dire au lecteur:
nous travaillons très dur, plusieurs heures par jour, et nous le faisons
depuis de nombreuses années, pour découvrir la raison de notre
existence sur Terre. C¹est notre vocation, notre queste, notre mission.
Nous recherchons constamment à valider et/ou à affiner ce que
nous envisageons comme possible, probable, ou les deux. Nous faisons cela avec
l¹espoir sincère que toute l¹humanité pourra en bénéficier,
si ce n¹est maintenant, alors dans un de nos futurs probables.
Contactez l¹administrateur
web à cassiopaea.com
Copyright © 1997-2003 Arkadiusz Jadczyk et Laura Knight-Jadczyk. Tous droits
réservés. "Cassiopaea, Cassiopaean, Cassiopaeans," est
une marque déposée par Arkadiusz Jadczyk et Laura Knight-Jadczyk.
Les lettres adressées à Cassiopaea, à la Quantum Future
School, Ark ou Laura, deviennent la propriété de Arkadiusz Jadczyk
et Laura Knight-Jadczyk.
La réédition et la rediffusion du contenu de cette
page ou d¹une quelconque portion de ce site web sont expressément
interdites sans approbation écrite préalable.
You are visitor number
.
|