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Programmes, tampons et « Esprit du prédateur »

article par Laura Knight-Jadczyk

Traduction française: Signes des Temps


Parlons aujourd'hui des programmes - aussi appelés tampons et « Esprit du Prédateur » - comment nous les avons et comment ils nous affectent durant toute notre vie jusqu'? ce que nous apprenions ? leur sujet, les examinions et ayons affaire ? eux de façon cognitive.

Commençons par quelques rudiments :

A mesure qu'un enfant se développe, la nature de ses expériences instant par instant de son monde intérieur et du monde qui l'entoure change en termes d'intensité (affect/émotion). Durant les périodes relativement calmes de basse intensité affective, le jeune enfant absorbe toutes sortes d'informations sur son environnement - apprentissage cognitif. Ce type d « 'apprentissage n'a pas d'impact majeur sur le syst?me motivationnel des jeunes enfants.

A d'autres moments, l'enfant a des périodes de haute intensité affective. Elles sont généralement reliées ? des expériences de besoin ou de désir de plaisir ou de confort, ou un désir/besoin de s'éloigner de quelque chose causant la peur ou la douleur.

Ces périodes affectives d'intensité maximale impliquent l'enfant en développement dans une intense expérience d'apprentissage au sujet de ses relations ? lui-m?me et aux autres (incluant le monde au sens large), et ce sont ces expériences-l? qui fixent lourdement les circuits mémoriels chargés d'émotion dans le cerveau en développement, qui peuvent devenir plus tard des « programmes » tr?s problématiques ou des manifestations de « l'Esprit du Prédateur ».

Dans le cerveau, les structures mémorielles chargées d'émotions, formées lors d'états de maximum affectif, constituent la fondation des syst?mes motivationnels de l'individu - ce que l'individu consid?re ?tre important pour la survie, comment obtenir ce dont il a besoin pour cette survie et comment éviter ce qui est douloureux ou menaçant pour la survie.

Manifestement, le concept le plus « idéal » du soi et de l'autre qu'un enfant puisse avoir est un « autre qui nourrit parfaitement et un soi parfaitement satisfait » et de telles images se forment dans l'esprit de l'enfant suite au résultat d'expériences satisfaisantes.

D'un autre côté, les expériences frustrantes ou douloureuses forment un concept d'un autre qui prive ou abuse et d'un soi dans le besoin, impuissant.

Ceci induit un grand stress dans l'organisme.

Un enfant ? qui on accorde généralement des soins attentifs et nourrissants PEUT intérioriser des images d'un « monde-hors-d'ici-et-les-autres-qui-y-vivent » sadique et privatif, ? cause d'expériences de frustration et privation temporaires.

En m?me temps, un enfant envers lequel on est généralement négligent ou abusif peut avoir des expériences satisfaisantes fortuites aux moments appropriés qui peuvent conduire ? l'intériorisation d'une image d'un monde, et de ceux qui y vivent, aimant et nourrissant.

Mais en général, ? cause de la durée de la période de développement, on peut dire qu'un enfant aura une prépondérance pour l'un ou l'autre type d'expérience et il peut exister une compensation pour les mauvaises expériences qui les rend meilleures, bien que cela dépende de la nature génétique de l'individu.

Considérons ? présent le « probl?me des nombreux moi » de l'ancienne tradition, connu dans le jargon psychologique moderne comme la « diffusion d'identité ».

La diffusion d'identité se réf?re ? une personne qui a une structure psychologique caractérisée par la fragmentation plutôt que par l'intégration des représentations internes du soi et des autres.

La plupart des gens souffrent de diffusion d'identité dans une certaine mesure car ils ont eu des expériences négatives ou positives variées durant les périodes de haute intensité affective étant enfants (ou plus tardivement dans la vie). Ce probl?me est le point focal de l'ouvrage de Martha Stout « The Myth of Sanity » (« Le Mythe de la Santé Mentale » - NdT) o? elle évoque la dissociation et comment les gens la pratiquent quand ils sont enfants : comme une sorte de mécanisme de défense. Et tandis qu'ils la pratiquent, elle devient une sorte d'habitude.

Une personne peut se dissocier ? n'importe quel moment dans sa vie quand elle traverse une dure période qui met sous tension ses émotions et pensées - les structures neurologiques.. Le probl?me est qu'une fois que vous l'avez fait, il est plus facile de recommencer la fois suivante, et la fois suivante, et celle d'apr?s... C'est comme une « trace » qui serait de plus en plus facile ? suivre. On peut le voir comme des traces de carbone dans un distributeur de moteur ? essence qui provoquent un mauvais allumage des bougies.

Regarder la télévision, des films, lire, (oui!), de la pornographie, des jeux vidéos, ou quoi que ce soit, sont toutes des mani?res communes de se dissocier ou de traiter avec le stress. Rappelez-vous, le stress peut ?tre causé par le conflit pulsions contre réalité.

La diffusion d'identité devient un probl?me quand elle est persistante. Elle peut conduire alors ? des sentiments envahissants d'un manque de valeurs, de buts ou d' un « moi central ». Ceci signifie que la personne traverse la vie sans croyances, valeurs ou buts constants, qu'elle n'a pas un sens clair de direction, un sens clair de soi, et ce qui est significatif pour elle est déterminé uniquement par la situation dans laquelle elle se trouve. Elle est comme une girouette : d'o? que vienne le vent, elle tourne et le suit. Si elle se trouve avec un groupe qui fait ceci ou cela, elle le fait sans se poser de question puisque tous les autres le font.

Je pense que vous pouvez tous aisément voir cette diffusion d'identité se manifester dans une mesure ou une autre, ? peu pr?s chez tout le monde. Chez la plupart des gens, elle est lég?re et la presque totalité de ce qui est en eux est intégré en quelque sorte, quoiqu'elle soit certainement toujours composée de milliers de programmes automatiques.

A présent, examinons plus attentivement les Mécanismes de Défense Primitifs, autrement connus comme les programmes, les tampons ou « l'esprit du prédateur ».

Les mécanismes de défense sont la façon dont nous apprenons ? traiter avec le stress ou le conflit tandis que nous passons de l'enfance ? l'âge adulte. Tr?s souvent ils sont formés par des fonctions automatiques du cerveau activées en réponse au stress.

Certains stress sont engendrés par des conflits entre nos pulsions, nos émotions, et le « monde réel ». L'un des plus courants est le stress précoce qu'un enfant peut expérimenter quand il est affamé (pulsion) et n'est pas nourri. Ou qu'il a froid ou chaud, ou mal et que le soulagement se fait attendre.

Plus tard, un enfant peut vouloir un biscuit (pulsion) et on lui dit « non, apr?s le dîner », et quoique l'enfant ne souffre pas d'une faim douloureuse, il y a une pulsion pour ce biscuit qui est refusé. Comment l'enfant va-t-il apprendre ? faire face ? ce stress de refus? Quelle que soit la façon dont l'enfant fait face, c'est appelé un mécanisme de défense et il peut ?tre aussi bien primitif (infantile - l'enfant se sent menacé et commence ? crier et pleurer comme le font les enfants) ou adaptatif (l'enfant grandit et apprend ? attendre jusqu'apr?s le dîner pour avoir le biscuit).

Ainsi, une personne grandit avec toutes sortes de pressions en compétition, venant aussi bien de l'intérieur que de l'extérieur; des pressions venant d'états émotionnels et de pulsions qui y sont liées, les contraintes de la réalité « extérieur », et m?me des contraintes intériorisées lorsque l'enfant a appris que ceci ou cela n'est pas bien et contrôle ses émotions et ses pulsions (ou tente de le faire) m?me si elles sont en conflit. (L'enfant veut un biscuit, sait que manger un biscuit avant de dîner est mal, entre en guerre avec lui-m?me pour savoir s'il va le chaparder ou non...décide que le stress du chapardage est plus grand que le stress du refus et ne prend pas le biscuit.)

En bref, ? mesure qu'une personne grandit d'une façon plus ou moins normale, elle passe de syst?mes de défense primitifs contre le stress ? des syst?mes de défense plus matures. Elle devient plus flexible et interactive avec sa réalité et peut utiliser la raison, l'humour, l'assujettissement des pulsions pour des bénéfices ? long terme (incluant la coexistence paisible avec les autres, comme maman qui ne serait pas tr?s contente si elle chapardait un biscuit avant le dîner), la sublimation et ainsi de suite.

Toutefois, chez de nombreuses personnes, si ce n'est la PLUPART des gens, il y a toujours des mécanisme de défense primitifs qui restent « collés » dans leur psyché car ils ont été imprimés ? des moments de grande susceptibilité émotionnelle (ou impriment la vulnérabilité, comme discuté dans l'Onde, quoique nous n'allons pas parler spécifiquement de cela maintenant).

Vous pouvez toujours reconnaître un Mécanisme de Défense Primitif par sa rigidité et son inflexibilité - le fait qu'il ne s'adapte pas ? la situation RÉELLE ? portée de main - et qu'il divise le monde en noir et blanc.

Ces types de programmes ont leur origine dans les toutes premi?res années de la vie de la personne, principalement la premi?re année, et sont un résultat de la tentative de l'enfant de faire face au stress qui augmente dans son interaction avec la réalité externe.

Les défenses primitives s'organisent elles-m?mes autour de la structure la plus simple qui est « se sentir bien est bon, se sentir mal est mauvais. » C'est tout ce que l'enfant peut réellement connaître dans son état limité de cognition.

Donc, un mécanisme de défense primitif est quand une personne continue ? organiser les choses de cette mani?re : noir et blanc, bon et mauvais, et ainsi de suite.

Un autre aspect du mécanisme de défense primitif est que l'enfant - étant un enfant- n'a aucun concept de lui-m?me. Il est impuissant et totalement dépendant de quelqu'un d'autre pour répondre ? ses besoins.

Ainsi, l'enfant apprend sur lui-m?me par rapport ? la mani?re dont le monde extérieur interagit avec lui. S'il se sent mal et qu'il n'y a aucun soulagement ? sa souffrance, il en vient ? percevoir le monde et lui-m?me comme « mauvais. » Ceci induit un stress énorme sur l'organisme.

MAIS, voici le comble : le substrat humain instinctif est biologiquement programmé pour DÉFENDRE l'organisme. Si l'enfant a de mauvaises expériences qui affectent le cerveau, qui exercent une pression répétée et concertée sur certaines structures neurologiques qui disent « mal, mal, douleur, souffrance, etc. » stressant les mécanismes de lutte via la douleur, la souffrance, le malheur, etc., le cerveau va, ? un certain point, s'effondrer et entrer en mode de défense.

Un dédoublement se produit.

En d'autres mots, un stress prolongé ou sév?re provoque un écroulement mental et ceci est un mécanisme de protection pour le cerveau biologique humain.

On dit en théorie que lorsque cela arrive, c'est d? au fait que le cerveau n'a aucun autre moyen d'éviter un dommage physique réel ? ses cellules ? cause de la fatigue ou du stress nerveux induit par une action de « faire face » intensément.

Le cerveau humain s'adapte constamment de façon réflexe aux changements de l'environnement et il semble qu'il s'agisse juste de l'un de ses mécanismes de défense contre le stress.

Le cerveau se révolte fondamentalement contre la prolongation anormale du stress qui affecte toute aire corticale qui se trouve dans un état d'excitation pathologique.

Une grande partie du comportement humain est le résultat de schémas de comportement implantés dans le cerveau durant l'enfance. Les gens apprennent ? se comporter d'une façon ou d'une autre (positivement ou négativement) en présence de toutes sortes de stimuli, spécifiques ou généraux. Certaines de ces structures neurologiques peuvent rester pratiquement inchangées, mais la plupart d'entre elles (exceptés des cas extr?mes sur lesquels je reviendrai), grandissent et changent avec des besoins supplémentaires et la personne devient capable de s'adapter ? l'environnement réel.

Ce que nous savons sur ce mécanisme vient beaucoup des recherches de Pavlov. Et le fait est que le cerveau humain n'est pas si différent du cerveau du chien ? certains égards.

Pavlov démontra que le syst?me nerveux du chien pouvait développer d'extraordinaires pouvoirs de discrimination en créant ses « programmes » de réponses. On peut faire saliver un chien ? une tonalité de 500 vibrations par minutes (signal de la nourriture) mais PAS au taux de 490 ou 510.

Les ?tres humains ne sont pas moins complexes dans leur capacité ? créer inconsciemment de telles structures neurologiques (programmes) de réponses.

Les réponses conditionnées négatives sont aussi importantes que les réponses conditionnées positives depuis que la civilisation nous demande d'apprendre comment contrôler nos pulsions presque automatiquement.

Les attitudes émotionnelles peuvent aussi devenir conditionnées aussi bien positivement que négativement : on peut apprendre ? avoir une révulsion automatique contre un certain type de personnes, de comportement, etc. aussi bien qu'une attirance automatique. Si ces programmes sont basés sur une information incorrecte, comme ils le sont souvent, il y a un probl?me ! Si une personne est programmée par une expérience intense ? répondre positivement ? des gens qui portent des chapeaux bleus, un psychopathe qui porte un chapeau bleu va aussi l'attirer, ? sa grande douleur.

Mais revenons au probl?me de dédoublement de la personnalité.

Quand le cerveau est stressé (et ceci peut arriver de nombreuses mani?res) dans une mesure maximale, vient alors un point que Pavlov a nommé « l'inhibition trans-marginale ». C'est-?-dire que le stress pousse le cerveau au point de rupture et que le cerveau prend des mesures de protection pour inhiber un dommage plus profond.

Ce processus prend place par étapes.

1. Phase équivalente : elle équivaut aux témoignages de personnes normales qui se trouvent dans une période de fatigue intense due au stress (comme en temps de guerre), qui disent qu'elles atteignent un point o? il n'y a pas de différence de réaction entre les expériences triviales et importantes. Le cerveau est si exténué qu'il tente juste d'avancer tant bien que mal, mais n'a plus suffisamment d'énergie pour distinguer les choses.

Si le stress continue, vous arrivez ensuite ?:

2. La phase paradoxale : c'est lorsque de faibles stimuli ou des choses triviales peuvent provoquer plus de réponse qu'un stimulus fort ou une chose importante. La raison en est que les stimuli forts accroissent l'inhibition (l'arr?t des réactions) tandis que le stimulus faible peut produire une réponse dans le cerveau qui n'est pas inhibitrice.

Si le stress continue :

3. Phase ultra-paradoxale : les réponses positives se transforment subitement en réponses négatives et inversement. Cela est similaire ? l'hystérie. Un adulte dans un tel état est anormalement suggestible et la plupart des suggestions ou idées follement improbables peuvent ?tre acceptées comme des faits.

Et de fait, dans de tels états d'hystérie interne, un enfant peut tout inverser, se dédoubler, entrer dans un état de diffusion d'identité qui, ? cause de l'affect extr?me (état émotionnel), devient plus ou moins permanent.

Je soupçonne que vous pouvez deviner également que de tels programmes peuvent ?tre des choses qui se produisent une seule fois. Un enfant peut vivre un événement sérieusement négatif dans une vie qui consiste en grande partie en des év?nements positifs, et avoir un sérieux mécanisme de défense primitif (programme) qui reste bien accroché pour toute la vie - ou jusqu'? ce qu'il soit découvert et que l'on cherche un moyen de s'en défaire.

En tout cas, quand l'enfant se dédouble, le cerveau cherche ? protéger un segment idéalisé de la psyché de l'individu ou du monde interne, de l'agression du stress. La séparation sera maintenue ? l'expansion de la psyché. Il n'y a pas d'intégration de cette « partie dissociée » du restant des images du soi que l'enfant forme tout au long de sa vie.

Toutes les fois que quelque chose déclenche cette partie particuli?re du cerveau, un stress qui est similaire, quelque chose perçu comme une menace pour la survie, ce programme va marcher et toutes les aptitudes d'apprentissage ou cognitives de l'individu seront condamnées.

Le probl?me suivant avec ce type de dédoublement : depuis que le cerveau a effectué cela comme une manoeuvre protectrice, a plus ou moins « clos » le sanctuaire de ce soi psychique idéalisé, ce programme n'est plus soumis ? des processus cognitifs réussis de la réalité externe, ni n'est capable de lire correctement les processus internes, émotions incluses.

C'est effectivement ce qui arrive lorsque nous disons que l'intellect usurpe l'énergie du centre émotionnel.

Ce dédoublement du soi interne idéalisé qui est « bon » (défini comme tel pour la survie), quand il est activé, prend en charge le syst?me et s'impose lui-m?me (il est tr?s fort ? cause du stress extr?me et de l'émotion qui l'ont formé) sur les perceptions du monde de l'individu.

Et, puisqu'il est formé ? un niveau primitif de la psyché, il porte tous les signes d'un Mécanisme de Défense Primitif : se sentir bien est bon / se sentir mal est mauvais, noir/blanc, soi-m?me bien, les autres mauvais, et ainsi de suite.

Mais, cela ne signifie pas que ce mécanisme de défense primitif n'a aucune rationalité ! Les opinions sont fortes mais non stables. Les choses sont bonnes ou mauvaises, mais ce qui est bon ou mauvais dépend des circonstances immédiates.

Si la personne sent que quelqu'un de proche lui a « manqué de respect » d'une certaine façon, quelque chose qui active son sentiment d'?tre « sans défense et sans espoir » comme un enfant, cette personne autrefois proche va ?tre reléguée sur la « liste noire » et tout ce qui la concerne et qui était autrefois perçue comme bon, va maintenant ?tre perçu comme mauvais. La patience sera vue comme une faiblesse, un manque d'action, la force comme de l'agressivité, la gentillesse comme une faiblesse, et ainsi de suite.

Ce mécanisme de défense primitif « bon/mauvais » peut totalement influencer l'humeur de la personne. Une simple frustration qui déclenche le programme peut rendre toute chose dans le monde « extérieur » morne, sans intér?t, ne menant nulle part, en la défaveur de la personne qui évidemment souffre depuis longtemps et ne cherche que l'idéal de l'amour, la paix, la sécurité, la beauté, etc etc.

Donc, l'indice que quelqu'un a un programme infantile en marche (c'est-?-dire, un programme inculqué dans l'enfance) est qu'il rév?le cette catégorisation en « bien/mal » sur tout, et qu'il y a peu de flexibilité quand il a affaire ? la réalité du moment. Sous l'influence d'un tel programme, l'individu n'est pas capable d'apprécier les nuances subtiles d'une situation ou de tolérer l'ambigu?té. Ceci m?ne ? des distorsions de perceptions puisque la réalité externe est filtrée ? travers - arrangé pour se conformer ? - la structure interne rigide et primitive d'un enfant.

Maintenant, tout le monde a quelques-uns de ces programmes infantiles - ou des traces de ceux-ci - qui se déclenchent de temps en temps. C'est seulement quand la personne continue ? utiliser ce type de mécanisme de défense primitif comme la premi?re défense d'un adulte, qu'il y a un sérieux probl?me. Cela peut ?tre nommé « trouble de la personnalité ».

Nous avons été témoins de ce genre de manifestations il y a quelques temps sur le forum et ? QFS. C'est-?-dire, quand un individu organisé primitivement est confronté ? quelque chose de déplaisant ou de menaçant, « l'objet menaçant » (personne, idée, groupe, ou quoi que ce soit), est placé dans la catégorie « tout mauvais » o? il est isolé en toute sécurité de tout ce qui contient une bonne connotation.

C'est ainsi que de telles personnes qui souffrent de troubles contiennent leur anxiété, le stress de ce qu'ils perçoivent comme une menace pour leur survie. (Ils veulent quelque chose, ont besoin de quelque chose, cette chose est refusée et ceci est une menace pour leur survie.) Mais manifestement, comme nous en avons été témoins ? de nombreuses reprises, c'est au détriment d'une adaptation réussie qui pourrait conduire ? une vie épanouissante pour cette personne malheureuse.

A présent voil? le « clou » : si le sentiment déplaisant vient de l'intérieur de soi - si le soi trouve qu'il y a de la rage ou de la col?re, haine, jalousie ou mesquinerie ou quoi que ce soit considéré comme négatif - quand une personne op?re depuis le mécanisme primaire de défense, ce sentiment doit ?tre nié comme faisant partie du soi et sera ressenti comme venant de « l'extérieur ».

Nous avons aussi vu cela. Une personne sera questionnée sur ses assertions unilatérales et ceci est perçu comme une menace ? sa survie (sa structure enti?re est organisée autour du noir et blanc, rappelez-vous), et sa peur ou col?re fait un peu surface, mais ceci est détourné car ces sentiments ne peuvent ?tre tolérés ? cause de la construction neurologique mise en place durant l'enfance, et le programme de Défense et de Survie Primitif entre en action.

C'est-?-dire qu'au moment o? la personne est dans son mode de mécanisme de défense primitif, m?me si une autre partie de son cerveau se sent en col?re ou blessée ou autre, cette autre partie du cerveau est dissociée et ses impulsions, sentiments, pensées, sont niés, les relations personnelles avec ceux-ci sont supprimées, et projetées sur quelqu'un d'autre.

C'est ? dire que le dédoublement peut ?tre une forme primitive de projection quand la partie niée du soi est expérimentée comme venant d'un objet extérieur (personne, groupe, ou autre).

Il y a d'autres mécanismes de défense primitifs qui proviennent d'un dédoublement de l'organisation interne.

L'Identification Projective : c'est une tendance inconsciente d'induire chez les autres ce qui est projeté, mais AUSSI de tenter de contrôler l'autre personne qui est perçue comme manifestant ces caractéristiques qui sont projetées par la personne dédoublée.

C'est-?-dire qu'une personne qui ne peut pas tolérer ses propres sentiments de rage et d'agression va inconsciemment provoquer et frustrer sa cible de façon plus ou moins subtile qui va conduire la cible ? réellement ressentir les émotions qui sont niées par la personne dédoublée.

De cette façon, la personne dédoublée peut avoir la satisfaction de l'expression de telles émotions d'une façon non-menaçante car « elles ne lui appartiennent pas » et que dans un sens, elle en « contrôle » la manifestation.

C'est un indice important lorsque l'on a affaire ? la manipulation. Si vous connaissez votre propre machine, avez travaillé sur vous-m?me, et ?tes certains de vos propres sentiments dans une situation donnée, vous pouvez porter une attention soutenue aux changements dans votre propre état qui sont induits par les personnes qui vous manipulent et comprendre que vous ?tes manipulé pour sentir ce que les manipulateurs nient en eux-m?mes et ne peuvent accepter. Ceci peut vous donner des données sur leur monde interne.

Maintenant gardez ? l'esprit qu'une personne qui op?re hors du mécanisme de défense primitif comme un mode primaire A une conscience alternative des différents côtés de son conflit interne, mais le refus (et le dédoublement) l'autorise ? tolérer l'état de chose sans anxieté. Elle peut nier ceci pour le moment, nier cela ? un autre moment etc. Elle n'a pas de CO-conscience du matériel contradictoire.

En tout cas, revenons ? des manifestations plus normales du probl?me. S'il existe un fort mécanisme de défense primitif mis en place dans la psyché, il peut s'organiser autour d'un « centre de croyance » du cerveau, et le coeur de la croyance peut ?tre « Je suis un vaurien, sans aide, mauvais » mais ceci doit ?tre projeté sur des objets extérieurs (le cerveau défendant sa survie) qui m?ne la personne dans une condition habituelle d'expectative d'agression ou blessure de la part du monde extérieur.

Si une personne a de multiples programmes de soi-objet non-intégrés comme celui-l?, chacun d'entre eux déterminant l'expérience subjective de la personne dans des myriades de situations, ? tout moment donné, alors le monde interne de la personne est une série d'expériences discontinues et cette personne va avoir de grandes difficultés ? s'engager dans des relations, un travail significatif, des buts, des valeurs, etc.

Finalement il y a une autre situation dans laquelle l'individu op?re depuis un mécanisme de défense primitif : l'expérience d'engouement, d'attraction sexuelle puissante, de « coup de foudre », etc. dans laquelle l' « autre », peu importe les circonstances, est expérimenté comme « tout bien ».

Ce type de régression explique autrement pourquoi des individus matures sont capables de pensées et d'actions extr?mes et irrationnelles sous l'influence de pulsions et de mécanismes de défenses primitifs.

A présent il y a une autre chose intéressante ? ce propos. Pavlov nota que lorsqu'une petite aire corticale dans le cerveau d'un chien atteignait un état d'inertie pathologique et d'excitation (comme cela se produit en état de stress maximal et d'arr?t temporaire), elle gén?rait d'étranges mouvements stéréotypés comme se secouer ou des grattements répétés ou gratter quelque chose. Il conclut que si la condition cérébrale pouvait affecter le mouvement, il pouvait peut-?tre aussi affecter la pensée de façon stéréotypée et pourrait ainsi expliquer certaines obsessions dans le processus de pensée humain.

Pavlov apprit également que ces petites aires du cerveau étaient sujettes aux phases équivalente, paradoxale et ultra-paradoxale d'activité anormale dont il avait précédemment pensé qu'elles s'appliquaient uniquement aux grandes aires du cerveau. Pavlov pensa en fait que ce qui est appelé projection et introjection - quand une peur ou un désir persistant est projeté au-dehors ou en-dedans - est une manifestation physiologique d'une inhibition cérébrale localisée.

Pavlov trouva que certains chiens de tempérament stable étaient plus qu'? l'accoutumée enclins ? développer ces « points pathologiques limités » dans le cortex quand, en état de stress, ils se trouvaient au point de rupture. De nouveaux schémas de comportement, tels que des grattements compulsifs et répétitifs ou une certaine forme d'amoindrissement physique, en seraient le résultat. Une fois acquis par un chien au comportement stable, les schémas de cette sorte étaient extr?mement difficiles ? éradiquer. Cela peut ?tre la mani?re dont réagit une personne plus stable ? de tels stress : au lieu de se dédoubler psychiquement, elle développe ? la place une sorte d'action physique externe qui relâche le stress.

Pendant la Seconde Guerre Mondiale, pas mal d'études furent effectuées sur les patients en état de choc, dans les hôpitaux d'Angleterre. Certains de ces patients avaient atteint cet état d'arr?t cérébral et cela se manifestait par des mouvements grossiers, non-coordonnés, néanmoins réguliers, saccadés et contorsionnés, qui étaient accompagnés d'une perte temporaire de la parole, ou un bégaiement ou une explosion verbale.

Les parall?les entre ces patients et les chiens de Pavlov assujettis au stress devraient ?tre évidents.

C'est-?-dire que ces états mentaux anormaux peuvent réussir chez les ?tres humains comme chez les chiens de Pavlov, par un « stéréotype dynamique » - un nouveau syst?me fonctionnel dans le cerveau est formé qui requiert de moins en moins de travail par le syst?me nerveux pour le maintenir tout comme apprendre ? conduire requiert de moins en moins de concentration une fois qu'on a pratiqué un peu.

Le schéma répétitif de mouvements ou de pensées qui sont formés sous ces type de conditions stressantes (et chez certaines personnes, il existe des conditions extr?mement stressantes dans leur enfance) ne c?dent pas facilement au traitement.

Mais alors, dans ces cas, nous parlons seulement d'un petit échantillon statistique.

Néanmoins, les découvertes de Pavlov qu'une excitation concentrée et sév?re sur une aire du cerveau d'un chien peut provoquer un profond réflexe d'inhibition sur d'autres aires du cerveau peut ?tre une clef du probl?me des programmes, des tampons et de l'Esprit du Prédateur. Chez une personne normale, le temps et les autres expériences peuvent disperser la structure neurologique anormale dans une certaine mesure, mais chez certains individus génétiquement susceptibles, elle peut devenir une structure centrale.

Mais gardez ? l'esprit que m?me si l'on a affaire ? des programmes et qu'essentiellement on « déprogramme » le soi de ces types d'états anormaux, la sensibilité ? ce qui a mené ? la rupture nerveuse peut persister tr?s longtemps ? l'état latent. Les év?nements vont rappeler le programme ? la personne, et elle va devoir le combattre dans une certaine mesure maintes et maintes fois pendant une certaine période de temps avant qu'il ne disparaisse enti?rement. (Et je n'ai aucune certitude que la disparition totale se produise jamais!)


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