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Chapitre 2:
La chimie de l'alchimie Traduction française: Micheline Deschneider La Langue des DieuxJe dois vous avertir: Il vaut mieux pas de connaissances du tout que de fausses connaissances. Pourquoi cela? Parce que c’est le PROCESSUS de la Queste du Sacré Graal, qui a pour FONCTION la "distillation de la Pierre Philosophale”:
Cela signifie qu’il est CRUCIAL de distinguer entre les pièces que nous “acceptons” pour pièces du puzzle et celles que nous n’acceptons pas pour pièces du puzzle, et l’un ou l’autre choix déterminera si oui ou non “la crème sera séparée du lait”. Et si nous nous contentons du lait plutôt que de la crème, alors le processus est compromis dès le départ. Je vais vous expliquer cela en termes de physiologie, de manière à me faire bien comprendre de toute personne moderne. La première chose que le chercheur doit prendre en considération est la nature de son Etre. Il doit comprendre dès le début que la maxime hermétique “Tout ce qui est en haut est comme ce qui est en bas” a des applications directes dans sa vie physique/matérielle. Tout le monde naît avec certaines caractéristiques, talents et avantages (ou absence de ceux-ci) qui peuvent OU NON se concrétiser au cours de son existence. Il en va de même pour une personne née avec certaines prédispositions à un développement spirituel/ésotérique. C’est-à-dire que la conscience s’incarne naturellement dans une structure physique qui non seulement est adaptée à ses besoins, mais aussi à ses potentialités. Je vous donne quelques exemples qui pourront clarifier ce que je veux dire. Il y a quelques années, j’ai lu un article à propos d’une étude sur la maladie d’Alzheimer, pour laquelle une congrégation de nonnes avaient accepté de servir de cobayes pendant leur vie entière et même après leur mort, car l’étude devait se poursuivre ensuite sur leur cerveau. Alors, qu’est-ce que les chercheurs ont trouvé là? Ils ont trouvé que certaines de ces personnes dont le cerveau était littéralement de la “bouillie d’Alzheimer” n’en avaient jamais présenté le moindre symptôme au cours de leur vie. Pourquoi, parce qu’elles avaient été éduquées, actives dans leur vie de travail et leur vie spirituelle, avaient peu regardé la télévision, et s’étaient donné en permanence des objectifs éducatifs qui avaient élargi leurs connaissances, même à un âge avancé! Autrement dit, elles n’avaient jamais cessé de penser et d’étudier et de faire travailler leur esprit! Une autre étude sur l’Alzheimer était également intéressante: elle démontrait que les personnes qui ont “une faible densité d’utilisation de mots” étaient enclines à manifester plus tôt des symptômes d’Alzheimer. Les personnes qui avaient très peu utilisé leur mental et n’avaient donc pas de “pensées profondes”, et qui étaient en effet peu profondes elles-mêmes, basant leur vie exclusivement sur une “foi”, étaient plus enclines à contracter la maladie d’Alzheimer. Dès lors, si l’étude, le travail sur des concepts difficiles, l’extension continuelle des connaissances et de la conscience, peuvent avoir de tels effets, on peut supposer que tout cela altère l’équilibre chimique des hormones et/ou neurotransmetteurs, et donc stimule ou arrête le fonctionnement des gènes! Il a souvent été observé que seulement 2% de notre ADN servent à coder les protéines qui entrent dans la composition de notre corps: le reste est considéré comme inutile. Il existe des théories expliquant ce fait, y compris celle du “Gène égoïste” qui postulent que les êtres humains ne sont que des constructions élaborées par l’ADN dans le seul but de la propagation de celui-ci! Autre constatation: nous semblons n’utiliser que 5% des capacités de notre cerveau, et de nombreuses théories en expliquent également les raisons. Je voudrais suggérer qu’il y a un lien entre tout cela. Au cours de mes 30 années de recherches dans les domaines du paranormal, des phénomènes psy, des "Forteana" [3] et de l’esprit humain, j’ai souvent observé des connexions étranges. L’une d’elles qui s’est produite à mainte et mainte reprise est celle qui lie les phénomènes psy et la génétique. Très souvent, une personne qui a des “pouvoirs étranges” fait remarquer que “Oh! j’ai hérité la clairvoyance de ma tante, ou de ma grand’mère, ou de ma mère, ou de mon oncle, ou de qui sais-je encore”. Ensuite, il y a eu le lien étrange entre système endocrinien et phénomènes psy. De nombreuses études sérieuses sur les phénomènes de type "poltergeist" mentionnent que ceux-ci sont très souvent, sinon toujours, liés à la présence, soit d’un enfant pubère soit d’une femme “fluctuant sexuellement parlant” (et ceci inclut les femmes en phase de ménopause. Autre chose étrange: les nombreuses observations de phénomènes psy à la suite d’un traumatisme sévère à la tête, ou d’un violent choc électrique. Et puis il y a les yogis et les saints, ainsi que des adeptes de diverses religions "nature" qui, à la suite de certaines pratiques extatiques, démontrent l’existence d’une influence sur le courant électrique qui parcourt l’intérieur du corps, ainsi que sur les éléments chimiques, y compris les hormones et neurotransmetteurs, et qui peuvent léviter, guérir, bi-loquer, faire se manifester des apparitions que tout le monde peut voir, augmenter la température interne de leur corps, faire ralentir leur rythme cardiaque, ralentir ou arrêter les fonctions autonomes, etc. Les hormones et le courant électrique peuvent altérer l’ADN en affectant la perméabilité des membranes neurales ou en modifiant l’équilibre ou la composition des neurotransmetteurs, ce qui “active” ou “désactive” l’ADN. Il est devenu clair pour moi après toutes ces années d’études que les phénomènes psy, que ce soit sous forme de guérison ou de manifestation matérielle ou de bi-location, etc. n’ont pratiquement RIEN à voir avec l’état spirituel de celui ou celle qui les manifeste. J’ai connu une famille dont la lignée pouvait “arrêter les flux de sang”, d’un simple effleurement de la main; et cependant, pratiquement tous les membres de cette famille étaient des alcooliques profonds, de mœurs douteuses, agressifs envers leurs partenaires et leurs enfants, enfin des gens que l’on pourrait qualifier d’éthiquement déficients. Quoi qu’il en soit, certains membres de cette lignée possédaient cet intéressant “pouvoir” et les voisins et amis ont plus d’une fois fait appel à eux pour sauver des vies (à certaines occasions il a fallu les extraire du bar où ils étaient affalés, ivres morts!) Nous avons donc ici une série de facteurs étranges qui semblent indiquer que l’ADN est bien plus intéressant et mystérieux que nous ne l’aurions supposé! D’une part nous avons des “pouvoirs” transmis naturellement, et d’autre part, nous avons des gens qui peuvent s’adonner à des activités qui changent temporairement ou définitivement quelque chose dans leur propre physiologie -et les résultats apparents en sont des phénomènes psy. Tout ceci indique que notre ADN pourrait bien être l’interface entre le monde éthérique et le monde physique, ce qui laisse entendre que la découverte d’un moyen de produire des “suppresseurs géniques-leurres" par l’intermédiaire de certains produits chimiques ou énergies dans le corps serait fondamentale dans le domaine de la perception. Que devons-nous en penser? Nous avons donc vraisemblablement cette grande quantité d’ADN dont on sait peu de chose et qui peut avoir ces effets; autrement dit, nous avons en nous des potentiels cachés, et c’est le processus de la Queste qui peut les “déclencher” selon l’approche que nous adoptons: la “foi”, ou ce que Fulcanelli nomme: "penser avec un marteau". C’est le processus qui permet de séparer la crème et le lait, le processus “qui libère la lumière contenue dans les ténèbres”. Et c’est ici que les choses se corsent. Analogie avec la physiologie du cerveauLa meilleure manière d’expliquer ce problème est d’amener à comprendre le processus des ligands qui relient entre eux les récepteurs. Le cerveau humain est probablement la structure la plus complexe existant dans l’univers; en un sens, on pourrait le considérer comme un univers en soi. A la naissance, le cerveau d’un bébé contient à peu près 100 milliards de cellules nerveuses ou neurones. Ce chiffre est comparable au nombre des étoiles qui font partie de la Voie Lactée, ceci pour vous donner une petite idée de quoi nous parlons. Pensez un peu à l’énorme potentiel électrique qu’un tel chiffre implique! Mais ce n’est pas sur ce chiffre que nous devons nous concentrer pour le moment, mais sur ce que ces neurones font concrètement dans le microcosme de notre tête. A la différence des cellules de notre corps en général, comme les cellules de notre estomac ou de notre pancréas ou de la graisse dans nos “poignées d’amour”, les neurones entretiennent constamment des conversations complexes les uns avec les autres. Chaque neurone possède, en moyenne, plusieurs milliers de points de contact avec d’autres cellules. Certains neurones ont jusqu’à 200.000 connexions. C’est à la terminaison de l’axone que l’impulsion électrique est convertie en un produit chimique, le neurotransmetteur, qui “inonde” en quelque sorte la zone entourant les “récepteurs” ou dendrites du neurone adjacent. Ce qui est important ici, c’est que le neurone récepteur a de nombreuses petites fibres destinées à la réception des signaux des neurotransmetteurs, MAIS il peut entrer en communication avec littéralement des milliers d’autres neurones. Alors, comment choisit-il celui qu’il va “écouter”? Et en quoi cela est-il important? C’est ici que cela devient intéressant. Au début du XXe siècle, on a réalisé qu’un médicament ou une drogue est actif dans le corps probablement parce qu’il “s’attache” à quelque chose dans ce corps. Les chercheurs ont décidé d’appeler “récepteurs” ces points d’attache. Personne ne savait réellement comment fonctionnait cette “attache”, ni pourquoi elle provoquait toute une cascade de modifications dans le corps, mais voilà, c’était comme ça. On ingère un produit, et toutes sortes de choses se produisent ensuite dans le cerveau et/ou en d’autres endroits du corps. On sait à présent, après de longues années de recherche, que le récepteur n’est en fait qu’une simple molécule! C’est à la fois simple et compliqué. Vous savez que, par définition, une molécule est la plus petite partie possible d’une substance, qui permette encore d’identifier cette substance comme telle. Pour mieux comprendre cela, jetons un coup d’œil à la science de base qui est derrière cet effet. Les liaisonsUne molécule est composée d’atomes. Les atomes semblent former entre eux des liaisons selon certaines règles. Ces règles concernent le nombre d’électrons se trouvant dans la “coque” contenant le plus d’énergie au sein de cet atome particulier. Un Atome est ce qu’il est en vertu du nombre d’électrons qu’il a, et ces électrons sont arrangés en “ensembles”, comme les orbites des planètes autour du soleil. Mais ici il n’est pas question de corps planétaires sphériques, mais plutôt de “nuages” d’énergie. Les "coques" sont particulièrement stables, de sorte que les atomes semblent “aimer” se disposer de manière à remplir leur coque extérieure. Les électrons sont de deux sortes: ceux que l’on pourrait qualifier “d’en haut” et ceux “d’en bas”; et les électrons d’en haut s’apparient avec des électrons d’en bas. Ceci se rapporte à l’état de “spin” (ou tournoiement) de l’atome. Et d’après le nombre d’électrons qu’il y a dans la “coque” de l’atome, et d’après le nombre qu’il “voudrait” avoir dans sa “coque”, il peut se lier avec un ou plusieurs autres atomes. En biologie, l’atome le plus important est celui du carbone. Lorsque le carbone se lie, Linus Pauling a montré que le résultat est absolument symétrique. C’est-à-dire que les quatre liens s’alignent sur les coins d’un tétraèdre régulier. Il a été déduit qu’outre le fait que l’atome “veut” que sa coque soit pleine, les électrons “veulent” se trouver aussi éloignés que possible les uns des autres, dans cet état de “lien”. Les atomes de carbone sont très “heureux” de pouvoir former des liaisons avec d’autres atomes de carbone. C’est la base de la fameuse structure en forme d’anneau du benzène. L’anneau de benzène constitue une forme moléculaire particulièrement stable parce que les angles naturels formés par les quatre liens périphériques de carbone s’adaptent confortablement à une structure à six côtés: l’HEXAGONE! Les hydrates de carbone, sont un groupe de substances basées sur la structure de l’anneau de benzène. Dans les hydrates de carbone, la plupart des atomes de carbone sont liés à deux autres atomes de carbone, mais leurs deux autres liens sont utilisés pour former des combinaisons avec d’autres atomes ou groupes: OH d’un côté et H de l’autre côté. Ensemble, s’il n’y avait pas le carbone au milieu, OH et H formeraient H2O, c’est-à-dire de l’eau. Dès lors, le terme hydrate de carbone signifie littéralement “carbone hydraté”. Les simples hydrates de carbones ou “carbones hydratés” sont appelés sucres. Si ce sucre est constitué d’un système à un anneau, il s’agira d’un monosaccharide. S’il a une structure à deux anneaux, ce sera un disaccharide. Les sucres plus complexes sont des polysaccharides. Le glucose est un monosaccharide. Le maltose est un disaccharide. Une chaîne d’unités de glucose peut être combinée de manière à former un polysaccharide nommé amidon. Une disposition légèrement différente donne une substance biologique familière: la cellulose. Dans ce cas-ci, il y a six atomes de carbone dans le monosaccharide de base. Mais certains monosaccharides ne contiennent que cinq atomes de carbone, dont quatre sont liés à un atome d’oxygène ayant la forme d’un anneau à cinq côtés. Le cinquième atome de carbone fait partie d’un groupe latéral: le CH2OH. Ces composés sont des pentoses. L’un d’eux est exactement comme le glucose, sauf qu’il lui manque un atome de carbone, et son groupe latéral est appelé ribose. Un autre est semblable au ribose, sauf que l’un de ses groupes OH groups a perdu son atome d’oxygène, ce qui laisse seulement le lien CH, et il est nommé deoxy-ribose, ce qui signifie “ribose ayant perdu de l’oxygène”. Dans l’explication des liaisons, je vous demande de noter l’importance de ces nombres et de ces formes géométriques, tout en gardant à l’esprit tous les “termes mystiques” du monde de la métaphysique, et qui semblent souvent n’avoir pas beaucoup de sens. Et à présent, nous regardons ces choses et nous constatons que ces nombres pourraient bien avoir une signification profonde, mais pas dans le sens rituélique ou magique. Nous commençons à entrevoir que peut-être tous les mythes et prétendus "secrets" qui sont enveloppés des voiles épais de l’analogie et de l’allégorie, pourraient bien être de la science réelle. Comme le dit Jessie Weston, il se peut que nous nous trouvions devant les "disjecta membra d’une civilisation disparue". Et même, s’il ne s’agit pas d’informations brouillées laissées par des peuples anciens techniquement plus avancés que nous, il pourrait s’agir d’informations en provenance de “sources supérieures” véridiques, dissimulées dans l’allusion et le mystère. Il se pourrait que tout le “folklore magique” qui nous a été transmis soit simplement la mythisation d’importantes informations scientifiques. Et si c’est le cas, il nous faut enlever toutes les couches de rituels, superstitions religieuses, “bazar incantatoire”, aller droit au but, et découvrir la réalité de cette “science de l’âme”. Les RécepteursCe qui est important ici, c’est que les molécules résultant des liaisons entre ces éléments chimiques ont une FORME particulière. Les liaisons du carbone sont extrêmement souples et flexibles, et peuvent se courber, s’enchevêtrer, de plier en avant ou en arrière, et revêtir des formes très particulières. Cette possibilité de se courber et de s’enchevêtrer peut mettre en contact différents atomes d’un groupe latéral en contact avec d’autres, créant ainsi des opportunités de liaisons complexes. L’angle naturel entre les liaisons de carbone rend aussi très favorable la forme d’anneau du benzène, et dans une longue chaîne carbonique ce même angle naturel peut faire en sorte que la chaîne s’enroule sur elle-même. Dans ce cas, cependant, les atomes de carbone ne sont pas assemblés de manière à fermer l’anneau, mais peuvent allonger la chaîne de polymères comme s’enroule un serpent. Pour en revenir aux récepteurs des molécules simples des cellules, nous pouvons comprendre des principes de liaison que ces récepteurs ont des formes très particulières -— tout autant que les "coques aspirant à être remplies " définissent précisément quelle autre molécule sera attirée vers elles pour former une liaison. Nous pouvons comprendre qu’il y a des forces atomiques qui font qu’une molécule est attirée vers une autre. Les molécules réceptrices des cellules réagissent à ces énergies en "se tortillant, oscillant, vibrant, et même bourdonnant, à mesure qu’elles passent d’une forme “souhaitée” à l’autre. Les récepteurs sont attachés à la cellule et flottent à sa surface, comme une fleur de lotus sur la surface d’un étang, et des racines s’allongent à l’intérieur de la cellule. Il y a de nombreux types de récepteurs à la surface de la cellule, et s’ils avaient des codes de couleurs, la surface de la cellule ressemblerait à une mosaïque exubérante en au moins 70 couleurs. Le nombre des “carreaux” composant la mosaïque est stupéfiant: 50,000 d’une sorte, 10,000 d’une autre sorte, 100,000 d’une autre sorte encore, etc., etc. Un seul neurone peut avoir des millions de récepteurs à sa surface. Une autre analogie intéressante utilisée par les scientifiques pour décrire neurones et récepteurs, est qu’ils ressemblent à des arbres en bourgeons. En fait, la correspondance visuelle est tellement frappante que parmi les termes utilisés par les scientifiques pour la croissance des neurones il y a les “ramifications” et des “arborescences”. Pour rester dans cette analogie, l’écorce du tronc correspond à la membrane de la cellule neuronale, la “peau” de la cellule. Mais à l’inverse de l’écorce d’un arbre, qui est dure et statique, la membrane de la cellule est une barrière grasse et souple qui enclôt la cellule. Arbre de Vie? Cela dit-il quelque chose à quelqu’un? Les liants (ou ligands)Et que font ces récepteurs? Nous savons déjà qu’ils attirent d’autres molécules et réagissent aux forces atomiques/chimiques de différentes sortes de liens, mais ce qui est important c’est que les récepteurs fonctionnent comme des molécules sensorielles – des scanners – tout comme nos yeux, nos oreilles, notre nez, notre langue, nos doigts ou notre peau sont les organes sensoriels de notre corps. Les récepteurs, eux, agissent au niveau cellulaire. Ils couvrent les membranes de nos cellules, captent et transportent les informations à partir de leur environnement qui consiste en une réalité inondée par d’autres acides aminés qui vibrent et passent dans les environs, et diffusent ces informations par l’intermédiaire des fluides qui entourent chaque cellule. Les chercheurs décrivent les récepteurs comme des “trous de serrure”, bien que ces trous de serrure soient en perpétuel mouvement, dansant sur un rythme vibratoire. Les trous de serrure attendent les clés chimiques qui leur correspondent: les liants, qui nagent vers eux dans le liquide extracellulaire et s’y adaptent; le processus s’appelle “ liaison”. Lorsque le ligand – la clé chimique – se lie au récepteur, s’y adaptant comme une clé dans une serrure, il provoque une réaction de réarrangement, un changement de forme, jusqu’à ce que l’information soit entrée dans la cellule. Dans un certain sens, le ligand est l’équivalent cellulaire du phallus! Ligand vient du latin "ligare," qui signifie “lier”. Le même mot est à la racine de "religion." Curieux. Non? Une description plus dynamique de ce processus miniature pourrait être celle qui fait allusion à des "fréquences". Le ligand et le récepteur combinent leurs fréquences identiques -— disons qu’ils frappent la même note – ce qui produit une vibration assez forte qui fait, disons, résonner la sonnette de la porte d’entrée, ce qui provoque l’ouverture de la porte de la cellule, et il y a ensuite une espèce d’échange de potentiels atomiques, qui constitue l”information qui est envoyée vers la cellule.. Ce qui se produit ensuite est absolument surprenant. Le récepteur qui a reçu un message, transmet celui-ci de la surface de la cellule vers l’intérieur de celle-ci, où le message peut changer spectaculairement l’état de cette même cellule. Une réaction en chaîne d’événements biochimiques est enclenchée: de minuscules appareils cellulaires entrent en action et, selon le message transmis par le ligand, déclenchent toutes sortes d’activités: fabrication de nouvelles protéines, prise de décision concernant une division cellulaire, ouverture ou fermeture de canaux pour les ions, ajout ou élimination de groupes de produits énergétiques comme les phosphates, pour n’en nommer que quelques unes. En résumé, tout ce que fait une cellule déterminée à un moment donné dépend des récepteurs qui se trouvent à sa surface, et de l’occupation ou non de ces récepteurs par des ligands. Sur une plus grande échelle, ces tout petits phénomènes physiologiques qui se passent au niveau de la cellule peuvent se traduire par des changements majeurs dans le comportement, l’activité physique, l’humeur et les FACULTES. Donc, en résumé: à mesure que les ligands glissent dans le courant de fluide qui entoure chaque cellule, seuls les ligands qui ont des molécules d’une forme très précise peuvent se lier à une sorte particulière de récepteurs. Le processus de liaison est très sélectif et spécifique! Les chercheurs dans ce domaine disent qu’une liaison résulte de la spécificité du récepteur, ce qui veut dire que le récepteur n’accepte que le ligand particulier qui lui est adapté. Autrement dit, la cellule est le moteur qui fait fonctionner toute vie, et les récepteurs sont les boutons du tableau de commandes de ce moteur. Les liants et d’autres neurotransmetteurs connus sous le nom de peptides, sont les doigts qui poussent les boutons. Le "bourdonnement musical” des récepteurs en train d’opérer une liaison avec leurs nombreux ligands (souvent dans des endroits reculés de l’organisme) provoque une intégration de la structure et de la fonction, qui permet à l’organisme de fonctionner convenablement, en accord avec les fonctions des ligands spécifiques en train de former des liaisons. Appliquons à présent à ces idées, notre principe “tout ce qui est en haut est comme ce qui est en bas”. Les informations que nous recevons dans notre organisme dans son ensemble -— notre interaction avec notre environnement – paraissent fonctionner exactement sur le même principe. L’information qui "entre" dans la "cellule" de notre esprit-corps agit sur nous de la même manière que le ligand agit sur une cellule quand il se lie avec un récepteur. Le mental – notre récepteur spirituel – ayant reçu ces informations, les transmet ensuite au plus profond de notre conscience, où le message peut modifier spectaculairement l’état de cette conscience. Une réaction en chaîne d’événements psycho--spirituels se déclenche à mesure que la conscience se réaligne en fonction des informations reçues. Ce réalignement affecte ensuite le Soi tout entier, la réalité, et tous les supports de conscience impliqués. En bref, l’Etre, l’Essence, est déterminé par l’état de conscience, qui est fonction de la Connaissance, et qui dépend donc de "ligands" – ou éléments d’information – liés à l’esprit. Et tout comme les ligands peuvent produire des cascades d’événements cellulaires ayant des effets à grande portée, des changements peuvent se produire dans l’Etre, car une conscience accrue peut déclencher des changements majeurs dans notre réalité - le “corps” dans un sens élargi, dans lequel nous existons comme une “cellule” de Tout de qui Est. Les Drogues SpirituellesSouvenez-vous de notre point de départ: des chimistes ont émis l’idée que les drogues agissent dans notre corps en s’attachant à quelque chose dans ce même corps. Et à présent nous savons qu’il existe des récepteurs et que ceux-ci accueillent les produits chimiques fabriqués par le corps lui-même. Ligands, peptides, neurotransmetteurs, hormones, etc., sont produits dans le corps et PAR le corps en plusieurs étapes qui impliquent des processus très complexes. Et nous en arrivons à la partie DANGEREUSE. Il existe des produits chimiques, tant naturels que synthétiques, qui sont suffisamment similaires aux ligands produits par le corps que pour se lier avec des récepteurs sans produire tous les résultats attendus quand le corps produits ses propres ligands en suivant les étapes naturelles. Par exemple, le récepteur d’opiacés, peut non seulement recevoir les endorphines du corps, mais également se lier avec la morphine ou l’héroïne. Le récepteur du Valium peut s’attacher non seulement à des peptides produits par le corps et semblables au Valium, mais également au Valium lui-même. Souvenez-vous qu’aucune drogue ne peut agir si elle n’est pas “attachée”. Cela signifie que si une drogue agit, c’est parce qu’il y a un récepteur qui y correspond dans le corps. Cela suggère que le récepteur est là parce qu’il se lie avec un ligand produit par le corps lui-même, ce qui nous fait conclure que le corps peut produire ses propres drogues, et stimuler sa propre guérison, dans des circonstances appropriées. Si nous regardons les choses différemment, quand nous observons des drogues qui affectent le comportement, telles l’héroïne, la marijuana, le Librium, l’"angel dust," le PCP, etc., qui provoquent des changements immédiats dans les états émotionnels, nous pouvons soupçonner que ces drogues doivent également pouvoir se lier, car il y a des récepteurs pour des substances de ce genre dans notre corps. Le LSD et d’autres hallucinogènes, qui provoquent des modifications de la cognition, doivent certainement le faire parce qu’il y a sans doute des récepteurs spécifiques pour cela; et cela suggère, une fois encore, que de tels produits chimiques doivent aussi, dans des circonstances appropriées, être produits par le corps lui-même. Cela nous fait penser qu’il doit y avoir des étapes naturelles ou des processus naturels suivis par ces produits chimiques. Et nous voilà devant un problème très important, où nous pouvons une fois encore adopter l’approche “tout ce qui est en haut est comme tout ce qui est en bas” pour comprendre notre propre nature. Alcool et CaféineAlcool. L’ alcool est partout. Des dizaines de millions d’êtres humains font l’expérience des conséquences de l’alcoolisme: depuis la diminution des performances dans le travail jusqu’à la destruction du foie, ou à la maltraitance du conjoint et des enfants, ou jusqu’à l’anéantissement des concepts sociaux et des contraintes, ou jusqu’au proverbial clochard à la recherche de son pinard quotidien. Et cela concerne seulement l’alcool. Nous ne nous occupons pas des statistiques pour les autres drogues. Ce serait fastidieux et sans objet. C’est seulement pour l’idée. L’alcool et les autres drogues peuvent faire ce qu’ elles font dans notre système parce qu’elles sont “fixées”; ce sont des ligands synthétiques; ils se lient à nos récepteurs et produisent ces effets d’une multitude de façons. Pour avoir une idée de la façon dont fonctionnent ces faux ligands, examinons le cas de la caféine. A mesure que nos neurones traitent les informations, ils produisent des déchets cellulaires, et parmi ceux-ci des molécules d’ adénosine. L’denosine est un ligand qui se lie avec le récepteur de l’ adénosine et envoie au plus profond de la cellule, le message qu’il est temps de dormir. On pourrait dire que l’adénosine est une sorte de “signal d’avertissement” qui contribue à l’équilibre du corps. Comme la production d’adénosine se poursuit tout au long de la journée, au titre de sous-produit de l’activité cérébrale, de plus en plus d’adénosine est produite, qui se lie avec de plus en plus de récepteurs, qui envoient des messages de sommeil de plus en plus nombreux à de plus en plus de cellules. Et petit à petit, l’activité des cellules de notre cerveau se ralentit, jusqu’à ce que nous ne puissions plus résister au sommeil. Nous ne pouvons littéralement plus rester conscients. Nous bâillons, nos yeux larmoient et se ferment; et nous avons envie de nous blottir dans notre lit et d’éteindre les lumières. Ou bien, nous prenons un expresso. Il se fait que la molécule de caféine a la “forme” qui convient au récepteur d’adénosine. Elle saute et se lie. Mais, au lieu de faire ce que fait l’ adénosine, elle envoie un message différent, ou du moins empêche la vraie adénosine d’envoyer le message d’endormissement. Elle interrompt donc le signal naturel de sommeil, et permet une importante accumulation de déchets cellulaires, ce qui provoque un état d’intoxication chez l’individu, et qui peut éventuellement mettre en péril la santé. En général, cela semble être la pire action de la caféine: elle bloque simplement l’action du ligand adénosine qui envoie les messages d’endormissement. De nombreuses personnes ont été effrayées quand des recherches incomplètes ont montré que la caféine faisait des choses extrêmement dangereuses, mais d’autres études ont montré que toutes les conséquences découlent seulement de l’interruption du cycle du sommeil et du cycle sérotonine-mélatonine. Ce qui est important ici, c’est la comparaison avec l’information qui est acceptée ou non par le chercheur. Ce que nous observons dans l’exemple de la caféine qui “imite” l’adénosine, c’est que le ligand naturel paraît avoir certaines propriétés extrêmement subtiles, qui sont transmises à l’intérieur de la cellule, et que l’adénosine peut bloquer ce message en occupant le récepteur, ou bien peut envoyer un message contradictoire. A cause de la précision de la molécule, l’effet est plus important que celui du “quasi”-ligand caféine. Si nous envisageons les informations comme des ligands, nous voyons qu’accepter pour vrai quelque chose qui ne l’est pas ne bloque pas seulement notre faculté de recevoir les vrais messages envoyés par ce qui EST vrai, mais peut aussi envoyer des messages contradictoires. Les expériences spirituelles qui sont induites rituellement, chimiquement, ou techniquement depuis “l’ici-bas” afin de changer l’état spirituel de “là-haut”, fonctionnent exactement de cette manière. Il semble que ce que nous acceptons et ce que nous n’acceptons pas pour vrai affecte notre esprit et notre état de conscience, sans compter notre potentiel d’Ascension de l’âme. Nous pourrions même comparer certaines croyances “tout est amour et lumière” à l’action de la caféine: elles empêchent le système naturel d’avertissement de prévenir l’esprit qu’il doit s’écarter de certaines choses et permettre un “nettoyage”. Au fil du temps, ceci peut provoquer de sérieux dommages dans l’esprit, et même, semble-t-il, le faire tomber en fin de compte dans le Non-Etre. Il y a cependant un problème plus sérieux encore à considérer: l’assuétude. Centres de Plaisir et DroguesTout le monde a sans doute entendu parler de certaines expériences faites sur des rats: on leur a planté des électrodes destinées à l’auto-stimulation du “centre du plaisir” dans le cerveau. On a découvert que les rats poussaient ce bouton jusqu’à épuisement. D’autres expériences ont démontré que si la récompense électrique n’était accordée que quand les rats apprenaient un nouveau tour – comme de trouver leur chemin dans un labyrinthe – Les petites créatures travaillaient comme des folles jusqu’au succès, pour obtenir leur "buzz." Tant que la récompense est donnée, les rats continuent à travailler et parviennent même à maîtriser des labyrinthes incroyablement complexes, où des humains ne trouveraient pas leur chemin! Mais ce n’est pas l’apprentissage qu’ils aiment. Les études initiales ont montré que s’ils en ont l’occasion, les rats oublient tout: nourriture, compagnons, amis, etc., pour pousser ce damné bouton jusqu’à ce qu’ils s’effondrent dans une extase insensée! Chez l’être humain (et chez d’autres créatures également), la sensation qui correspond à l’ orgasme libère les mêmes produits chimiques qui stimulent la même partie du cerveau qui rend les rats si heureux. Certains scientifiques qualifient, dans leur jargon technique, ce centre de centre “revenez-y” [4] . Lorsque ce centre est stimulé, toute activité qui y est associée est recherchée sans fin. Comme nous le savons à présent, les drogues court-circuitent ces centres parce qu’elles se fixent sur des récepteurs. Et nous savons que lorsque nous absorbons certaines drogues, notre cerveau agit dans une certaine mesure comme si des neurotransmetteurs naturels inondaient le système. Dans le cas du centre de plaisir, la chimie est tellement semblable à ce que le cerveau pourrait produire naturellement si nous faisions quelque chose comme trouver de la nourriture, ou de la chaleur ou l’amour avec une âme-sœur, que même si nous sommes vautrés dans un taudis dégoûtant qui pue le vomi et les excréments, une seringue d’héroïne dans le bras nous fait croire que nous baignons dans la félicité chimique absolue. Une chose importante à remarquer ici: même si la première fois qu’une personne est poussée à “essayer” une telle drogue elle est dégoûtée ou éprouve de la répulsion pour le “cadre”, le processus ou tous les éléments extérieurs, une fois qu’elle “a reçu sa récompense” toutes ses perceptions basculent. Parce que le corps physique aime tellement cette sensation, parce que celle-ci est tellement irrésistible, le mental raisonne que l’endroit repoussant, le processus tout entier qui est si clairement nuisible pour le soi, n’est pas seulement "okay," mais est en fait désirable. Après tout, comment cela pourrait-il être mauvais puisque c’est si bon? Et si une partie du soi argue que cela ne peut pas être bon, l’autre partie du soi veut frénétiquement retrouver cet état. Après tout, ce qui se passe dans la vie réelle ne produit que stress et sensations déplaisantes, ce qui ajoute du poids à l’argument: j’ai souffert, et maintenant je mérite du plaisir! Le problème avec la vraie dépendance à la drogue et avec la dépendance spirituelle, c’est qu’elles sont presque toujours présentées dans un cadre de plaisir et de raffinement. Elles sont présentées comme des outils permettant d’étendre la conscience. Quand on renifle de la cocaïne, celle-ci se met immédiatement à la recherche des sites récepteurs de dopamine et elle les bloque. Dans ce cas-ci, le “sentiment de bien-être” ne vient pas de la drogue mais du fait que notre propre dopamine naturelle envahit nos cellules et se lie frénétiquement avec les récepteurs de dopamine, et elle ne peut être réabsorbée. Le cerveau ne sait qu’une seule chose: c’est GRANDIOSE! On dit que la cocaïne sous forme de crack produit une sensation plus intense de plaisir que n’importe quel acte naturel, y compris l’orgasme! Et notez que c’est un propre produit de notre propre corps qui fait éprouver ce plaisir en vertu du blocage du site de réabsorption. Ici aussi nous notons que le ligand spécifique du corps est empêché de se lier avec les sites de retransfert, ce qui très certainement bloque également un message destiné à l’intérieur de la cellule. Et cela provoque de terribles conséquences, comme nous allons le voir. La morphine et l’héroïne fonctionnent d’une manière légèrement différente. Elles imitent les endorphines qui déclenchent l’émission de la propre dopamine du corps. Et la sensation ne provient pas du fait que le flux naturel de dopamine n’est pas réabsorbé, mais parce qu’il y a trop de dopamine à réabsorber! Et la fausse dopamine n’envoie indubitablement pas les signaux qu’il faut à l’intérieur des cellules avec lesquelles elle est en liaison, et à nouveau, l’excès de dopamine a des conséquences importantes. Quelles sont ces conséquences? L’usage répété de cocaïne, héroïne ou morphine déséquilibre dans le corps ses propres processus liés à la dopamine; le corps réagit alors en réduisant le nombre de récepteurs! Comme il y a moins de récepteurs, les effets de la drogue s’amenuisent, tout comme la faculté qu’a le corps de lier la dopamine naturellement présente. Sans un flux normal de dopamine dans un nombre normal de récepteurs, le cerveau reçoit des signaux de “manque”, interprétés littéralement comme de la “douleur”. C’est la souffrance intolérable d’un mental qui ne peut pas éprouver de plaisir. Sur le plan strictement physique, l’une des conséquences sérieuses de ce processus est le fait que la dopamine joue un rôle important dans le contrôle des mouvements, des émotions et de la cognition. Des dysfonctionnements en rapport avec la dopamine ont été observés dans des cas de schizophrénie, des troubles de l’humeur, des troubles de la concentration, dans le syndrome de Tourette, la dépendance à des substances, la dyskinésie tardive, la maladie de Parkinson, etc. Bien sûr, la situation est infiniment plus complexe, parce qu’on a identifié pas moins de sept types de récepteurs de la dopamine. La raison de cette digression dans le domaine de la chimie du cerveau est la suivante: "accepter" ce qui n’est pas Vérité est comme d’absorber une drogue qui se lierait avec des récepteurs psychiques. Ceci nous ramène au début du présent chapitre, où j’ai dit qu’amasser de fausses connaissances est pire que de n’avoir pas de connaissances du tout. Parce elles sont des drogues en quelque sorte, et non “les produits chimiques naturels” de la lumière de l’âme. Le résultat est un état de dépendance, qui réduit les “récepteurs psychiques”, ce qui réduit la faculté “d’opérer des liaisons avec la Vérité”. En bref, une personne peut faire des recherches à en perdre la raison, mais si elle n’utilise vraiment, vraiment pas, sa perspicacité (c’est-à-dire si elle n’exerce pas son sens critique et ne décortique pas d’une manière diligente ce qu’elle étudie), l’acceptation basée sur la “foi aveugle” équivaut à chercher ses satisfactions dans la drogue. Et le résultat est ici aussi une glissade, mais spirituelle cette fois. Qui plus est, nous observons de l’étude des ligands, que ceux-ci ont des qualités que les imitations – les drogues – n’ont pas. Et ces qualités, basées sur la forme et la structure atomique, peuvent activer des processus qu’un ligand étranger ne peut pas activer. Les éléments chimiques du corps peuvent même déclencher des cascades de processus à l’intérieur des cellules bloquées par des ligands “artificiels”. La Vérité fonctionne de la même manière. L’accumulation d’informations à “haute probabilité” sans parti pris équivaut à rassembler toutes les parties d’un neuropeptide très complexe. Quand toutes les bonnes pièces sont finalement rassemblées, l’ensemble produit une certaine “forme” qui “s’adapte” au récepteur spirituel comme une clé dans une serrure. A ce moment, lorsque l’unité ou bloc d’informations est complet, sa proximité fait “bourdonner” le récepteur et le ligand/l’information “bourdonne” en réponse, et ils “sautent dans les bras l’un de l’autre” pratiquement de la même manière que le font les ligands et récepteurs physiques. Et c’est ainsi que nous trouvons que le principe est: amassez, amassez, amassez informations et observations sans les “ingérer”. Cela signifie qu’il faut éviter les pratiques susceptibles de déboucher sur des produits chimiques “revenez-y”, parce qu’il est très, trop, facile d’être attiré, séduit, enclin à le faire encore et toujours, ce qui équivaut à une croyance aveugle. Ici, nous tombons naturellement sur un problème très particulier: les programmes de notre "machine," notre "intellect." Le développement et la formation de notre intellect se produisent dans les pires circonstances en ce qui concerne le développement de la faculté de penser. Ce n’est ici ni le moment ni le lieu d’un examen détaillé de ce qui ne va pas dans l’éducation des enfants, les théories sur la façon de s’occuper des enfants, ni la liste sans fin des mensonges propagés par notre société et notre culture. Ajoutons à cela un flot sans fin de considérations basées sur l’apparence physique, et pour le moment où une personne ordinaire atteint l’âge adulte, elle ne peut ni penser, ni éprouver ce qui est Vérité. Cette personne est devenue une “fausse personnalité” qui pense qu’elle a une âme. “Le semblable ne peut être perçu et compris que par ce qui lui est semblable”, de sorte qu’il n’est pas étonnant que l’aspirant à l’Ascension de notre époque entreprend celle-ci de la mauvaise manière. Pratiquement toutes les “voies” d’ascension se basent sur ce faux Soi et, comme nous pouvons nous en douter, produisent des sensations physiques qui sont de pâles imitations de ce qui se passe dans une Ascension authentique. C’est ici que nous commençons à mieux comprendre l’idée de l’ésotérisme. L’ésotérisme est la possibilité d’accéder à des faits et des actes qui sont accessibles dans le domaine de la conscience de l’Ame. Et lorsque nous considérons notre état dans le “monde réel”, nous voyons que c’est un chemin très difficile. La connaissance est partout, mais la majeure partie de celle-ci nous est étrangère. Lorsque nous versons quelque chose dans une tasse, cette tasse ne peut contenir qu’une quantité de liquide égale à sa capacité. Nous ne sommes capables de comprendre que dans la mesure des capacités de notre Etre. Pour pouvoir évoluer ésotériquement, il nous faut sans cesse chercher à élargir et enrichir notre Etre, afin d’agrandir le “contenant”. L’ésotérisme est la recherche de la conscience du Divin. Le problème est que notre conscience est en grande partie un simple programme qui tourne dans notre machine. La conscience supérieure qui est recherchée sous forme d’Ascension est le Moi réel ou l’âme. C’est ce que des théories qualifient de point permanent qui existe en nous tout au long de nos nombreuses incarnations. Ce vrai Moi est quelque chose comme un arbitre impartial dont la petite voix est pratiquement couverte par le fracas des événements extérieurs et des “programmes” de personnalité. Néanmoins, c’est cette petite étincelle de vrai Soi qui est la semence de la possibilité d’un développement ésotérique. La plupart des êtres humains entrent rarement sinon jamais en contact avec leur vrai Moi. Et cependant, la personnalité prétend qu’elle a atteint ce niveau de conscience. Nous devrions noter qu’un individu qui a vraiment atteint ce niveau de ferme contact avec, et d’expansion du vrai Moi possède également des attributs tels que par exemple la faculté d’évaluer avec exactitude les conséquences de ses actes, l’exercice permanent de sa propre volonté, la faculté de faire (d’initier des événements causaux), et d’adopter une attitude ou un comportement conséquent avec lui-même en toute circonstance et dans toute condition. Et le plus important: une telle personne ne ment ni à elle-même ni à autrui. L’examen objectif de ceux qui prétendent posséder ces qualités est suffisant pour démolir les prétentions. Il y a un tel abîme entre les qualités que les gens d’adjugent à eux-mêmes et ce qu’ils font en réalité, qu’il est nécessaire de faire preuve de la plus extrême prudence avant d’accorder foi à des affirmations ou des instructeurs de ce type. Néanmoins, pour établir un contact avec le Soi supérieur (faute de disposer d’un terme mieux adapté), cette minuscule graine de connexion avec l’âme, qui existe en nous, est l’objet de la science ésotérique. Il semble que les seules personnes qui puissent espérer suivre ce processus avec succès sont celles qui “ont fait banqueroute”, c’est-à-dire que toutes les croyances, tous les programmes, tous les mensonges qui ont fait partie du Moi depuis l’enfance doivent disparaître ou être dépouillés. Nous sommes tous corrompus par le monde extérieur de la matière – le domaine du Non-Etre et ses leurres gravitationnels. Même quand l’expérience contredit ce qu’une personne pense à propos d’elle-même elle est rarement capable de faire un lien de cause à effet, à cause des sérieux défauts qui ont été programmés en nous dès la naissance. Nous expliquons généralement nos échecs par un “manque de volonté”. Ce que les gens ne réalisent pas c’est que l’échec n’est généralement pas dû à un manque de volonté ou de désir, mais à un manque d’Etre. Ce n’est qu’en développant l’Etre que l’on commence à comprendre les connaissances acquises. Alors, en combinant la compréhension avec l’Etre, nous acquérons la faculté de Faire. Notre personnalité est l’ interface entre notre corps et notre esprit. A cause de la nature de notre réalité, la personnalité consiste principalement en “programmes” de la chair, si je peux m’exprimer ainsi. La Machine fonctionne sur le principe du “revenez-y”. La plupart des humains contemporains sont bien plus préoccupés de leur apparence ou d’ “expériences” qui leur procurent du plaisir que de leur Etre. L’intime relation de la personnalité avec le corps physique et ses programmes interactifs est mal comprise, et cependant, elle est essentielle au développement de ce Soi qui n’est pas seulement un fantôme dans la machine. Nous pouvons observer que quand une personne ordinaire éprouve une sérieuse souffrance, tous ses nobles instincts passent à la trappe. Il est vrai que certaines personnes sont capables de maîtrises la douleur et de travailler sur n’importe quoi. On les considère comme héroïques, et c’est certainement des natures de ce genre qui réussissent dans le travail ésotérique. Ce n’est pas une voie pour les faibles. L’interdépendance de la personnalité et du corps - la machine qui nous permet de fonctionner dans notre réalité – nous conduit à la conclusion logique que ce sont cette même machine et ses programmes qu’il nous est extrêmement important d’étudier pour apprendre la perspicacité, et pour apprendre à distinguer entre l’authentique et le faux. Alors nous commençons à en savoir plus sur les "tolérances" de notre machine. Nous commençons à découvrir que nous passons le plus clair de notre temps à faire un mouvement de va et vient entre action et réaction, sans apport réel de notre vrai Soi. Nous découvrons que nous avons de nous-mêmes une image idéale qui n’est que très faiblement fondée sur les faits réels ou orientée vers des résultats. Cependant, pour garder notre image idéale nous recouvrons tout cela de la “foi”, et du mensonge selon lequel nous SOMMES ce Moi illusoire. Revenons-en au fait que nous nous attribuons des qualités que nous ne possédons pas, parce que si nous les possédions, notre vie serait le miroir de l’image que nous faisons de notre Moi. Nos mensonges sur ce qui nous arrive vraiment dans notre vie sont ce que nous utilisons pour “arranger””notre ego avec des rationalisations et des justifications qui nous cachent le fait que nous sommes incapables de FAIRE quoi que ce soit parce que nous nous sommes sans Etre. Et généralement, pour éviter de devoir faire face à la douleur de cette réalisation, les gens absorbent des drogues chimiques et spirituelles. Seuls le type et le degré varient. Un individu qui s’est engagé dans le processus de développement de la perspicacité par rapport à son Moi, peut, lorsqu’il a appris à discerner entre mensonges à lui-même et vérités sur lui-même, étendre cette faculté à la connaissance extérieure. Alors, les informations et observations qu’il ou elle aura amassées sans parti pris deviendront des “ligands d’éléments de connaissance”. Lorsque cela se produit, lorsqu’une "pièce du puzzle" tombe au bon endroit de la compréhension, ALORS toute une cascade de choses se produisent, tout comme cela se produit dans le corps quand un ligand se lie avec des récepteurs. Et à ce moment, l’état change. Et cela nous amène à l’information la plus passionnante à propos du processus de “séparation de la crème du lait”: Il se fait que parfois, les informations communiquées à l’intérieur de la cellule par les ligands contiennent des instructions d’activer ou de désactiver des gènes spécifiques de cette cellule. Le même gène dans un environnement différent peut produire des variations nombreuses d’une caractéristique donnée, et influencer l’expression d’autres gènes. Qui plus est, il est scientifiquement prouvé que les modifications survenues dans la pensée et le comportement entraînent des modifications dans les synapses. Il a été démontré que des potentiels électriques libèrent de la sérotonine en direction des terminaux synaptiques et il existe suffisamment de preuves anecdotiques sur les choc électriques qui produisent dans l’individu des changements tels qu’ils ont pour résultat la manifestation de facultés “supra-normales”, pour que nous arrêtions là nos considérations sur ce sujet. Comme nous l’avons également déjà noté, si de telles facultés sont activées par accident, héréditairement, par choc électrique ou coup sur la tête, cela ne signifie pas nécessairement que l’individu qui a ces facultés est “avancé” spirituellement. Ce que nous pouvons conclure de cette information est que la sérotonine libérée par le choc électrique fait sans doute “sauter” une étape d’un processus naturel d’activation de l’ADN, qui est une potentialité latente en nous à des degrés divers. Autrement dit, existe-t-il un processus naturel permettant de libérer de grandes quantités de sérotonine de concert avec d’autres ligands, processus activant littéralement l’ADN, qui déclencherait alors toute une série de facultés "paranormales" directement en relation avec notre maturité spirituelle? Il y a des considérations encore bien plus passionnantes à propos des potentialités de l’ADN, mais pour le moment, nous laisserons là le sujet tout en vous avertissant que si le chercheur ne “sépare pas bien toute la crème du lait”, il n’arrivera même pas à commencer à écrémer le lait et à pouvoir l’utiliser. Pire encore, “se lier” soi-même à ce qui est faux peut produire temporairement un sentiment de bien-être, mais à long terme cela ne bloque pas seulement la possibilité de se lier à la Vérité, mais réduit pour de bon la faculté de percevoir/se lier à la Vérité. Chaque choix d’accepter quelque chose pour Vérité, de faire la moindre hypothèse, est un ligand psychique qui se lie avec un récepteur spirituel. Si ce que l’on croit est un mensonge, dans le cerveau cela équivaut à se lier avec un faux ligand, comme de l’héroïne. Après un certain temps, il n’y a plus de place pour aucune vérité, et la condition du chercheur est devenue pire qu’avant qu’il ait entrepris sa quête, de la même manière qu’un individu devenu un miséreux marginal en conséquence de ses excès d’alcool et/ou de drogues se trouvait bien mieux avant de se livrer à ces penchants. Le fait est là: le mensonge PROVOQUE une dépendance. C’est à dessein. Cependant, en ce qui concerne la Queste du Sacré Graal et la recherche alchimique de la pierre philosophale, comme c’est le cas pour les potentiels du corps, lorsque certains ligands (spirituels) naturels sont produits par l’envoi de signaux vers une cellule pour que celle-ci active l’ADN “en sommeil”, des facultés peuvent être “déverrouillées”, et parmi celles-ci des facultés et pouvoirs psychiques. Et ces facultés psychiques amènent alors le chercheur à un niveau tout à fait différent. Il a en fait, fait un saut quantique en termes d’état de conscience. Une Initiée nous dit ce qui suit:
Il y a certes encore beaucoup à dire à ce sujet, mais pour le moment il suffit de savoir que le principe selon lequel “tout ce qui est en haut est comme ce qui est en bas” est valable sur tous les plans, et les connaissances scientifiques peuvent sans nul doute contribuer à la compréhension spirituelle. Comme l’ont dit les Cassiopéens: “la Science est extrêmement spirituelle, en fait!”. En ce qui concerne la recherche de connaissances, les Cassiopéens ont dit:
[1] Ce petit ouvrage in-16, fort bien écrit, mais qui ne porte ni lieu d'édition, ni nom d'éditeur, a été publié vers 1753. [2] Fulcanelli, Demeures philosophales, op. cit. [3] v. Charles Fort (NdT) [4] cf. Burnham and Phelan, (2000) Mean Genes, Perseus Publishing, Cambridge, Massachusetts 2000 [5] cf. Elisabeth Haich En tant que propriétaires et éditeurs de ces pages, nous souhaitons souligner que le matériel présenté ici est le fruit de notre recherche et de notre expérimentation en communication supraluminique. Nous nous demandons parfois si les Cassiopéens sont ce qu¹ils prétendent être, parce que nous ne tenons rien pour vérité indiscutable. Nous prenons tout "cum granulo salis", même si nous considérons qu¹il y a de bonnes chances que ce soit la vérité. Nous analysons constamment ce matériel ainsi que beaucoup d¹autres qui attirent notre attention, issus de divers domaines de la Science et du mysticisme. Honnêtement, nous ne savons pas CE QU'EST la vérité, mais nous croyons qu¹elle est « quelque part par là» et que nous pouvons sans doute en découvrir une partie. Oui, nous pouvons dire que nos vies ont été enrichies par ces contacts, mais certains éléments nous ont aussi rendus perplexes et nous ont désorientés, et ils restent encore à être clarifiés. Nous avons certes trouvé beaucoup de «confirmations» et de « corroborations » dans d¹autres domaines, entre autres la Science et l¹Histoire, mais il y a aussi de nombreux éléments qui, par nature, sont invérifiables. C¹est pourquoi nous invitons le lecteur à partager notre recherche de la Vérité en lisant avec un esprit ouvert, mais sceptique. Nous n¹encourageons pas « l'adepte-isme », ni aucune « Vraie Croyance ». Nous ENCOURAGEONS la recherche de la Connaissance et de la Conscience dans tous les domaines qui en valent la peine, comme le meilleur moyen de discerner le mensonge de la vérité. Voici ce que nous pouvons dire au lecteur: nous travaillons très dur, plusieurs heures par jour, et nous le faisons depuis de nombreuses années, pour découvrir la raison de notre existence sur Terre. C¹est notre vocation, notre queste, notre mission. Nous recherchons constamment à valider et/ou à affiner ce que nous envisageons comme possible, probable, ou les deux. Nous faisons cela avec l¹espoir sincère que toute l¹humanité pourra en bénéficier, si ce n¹est maintenant, alors dans un de nos futurs probables. Contactez l¹administrateur
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