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Traduction française: Micheline Deschneider
La Question du Temps dans les Mythes
Dans de nombreux
récits du Graal, la description du château du Roi-pêcheur comprend
d’intéressantes anomalies temporelles: c’est un lieu où le temps
ralentit ou même s’arrête. C’est également le cas dans les légendes
celtiques de la Tête de Bran le Béni, en présence de laquelle ses
guerriers festoient et s’amusent, sans avoir conscience du passage
du temps.
Ce thème fait surface avec une grande régularité et suggère une signification
profonde et ancienne, qui deviendra apparente à mesure que nous progressons.
La conception la plus ancienne du temps est associée à la “Déesse” et est cyclique
- comme les femmes.
Tout n’était “réel” que pour autant qu’il fût connecté à un signe archétypal
- illud tempus – du début.
"Chaque
héros a répété les gestes archétypaux, chaque guerre a répété la
lutte entre le bien et le mal, chaque nouvelle injustice sociale a
été identifiée avec la passion d’un messager divin chaque nouveau
massacre a répété la fin glorieuse des martyrs. ...Une seule chose
compte: en vertu de cette vision des choses, des millions d’hommes
ont pu endurer, siècle après siècle, d’énormes pressions historiques
sans tomber dans le désespoir, sans vouloir se suicider, sans tomber
dans l’aridité spirituelle qui est toujours accompagnée d’une vue
relativiste ou nihiliste de l’Histoire”.
Ceci nous fait penser
que le monde dans lequel nous vivons était une “forme”, un “reflet”
ou un "double" d’un autre monde cosmique qui existait sur
un plan supérieur. C’étaient des archétypes célestes. Platon a donné
de cela une explication qui est toujours la meilleure, dans sa simplicité:
SOCRATE
(S) - Maintenant, représente-toi notre nature selon qu'elle a été
instruite ou ne l'a pas été, sous des traits de ce genre: imagine
des hommes dans une demeure souterraine, une caverne, avec une large
entrée, ouverte dans toute sa longueur à la lumière: ils sont là
les jambes et le cou enchaînés depuis leur enfance, de sorte qu'ils
sont immobiles et ne regardent que ce qui est devant eux, leur chaîne
les empêchant de tourner la tête. La lumière leur parvient d'un
feu qui, loin sur une hauteur, brûle derrière eux; et entre le feu
et les prisonniers s'élève un chemin en travers duquel imagine qu'un
petit mur a été dressé, semblable aux cloisons que des montreurs
de marionnettes placent devant le public, au-dessus desquelles ils
font voir leurs marionnettes. [...] Imagine le long du mur des
hommes qui portent toutes sortes d'objets qui dépassent le mur;
des statuettes d'hommes et d'animaux, en pierre, en bois, faits
de toutes sortes de matériaux; parmi ces porteurs, naturellement
il y en a qui parlent et d'autres qui se taisent. [...]
Ils
nous ressemblent. Penses-tu que de tels hommes aient vu d'eux-mêmes
et des uns et des autres autre chose que les ombres projetées par
le feu sur la paroi de la caverne qui leur fait face? [...] Et pour
les objets qui sont portés le long du mur, est-ce qu'il n'en sera
pas de même? [...] Mais, dans ces conditions, s'ils pouvaient
se parler les uns aux autres, ne penses-tu pas qu'ils croiraient nommer
les objets réels eux-mêmes en nommant ce qu'ils voient?[...] Et s'il
y avait aussi dans la prison un écho que leur renverrait la paroi
qui leur fait face? Chaque fois que l'un de ceux qui se trouvent derrière
le mur parlerait, croiraient-ils entendre une autre voix, à ton avis,
que celle de l'ombre qui passe devant eux? [...] Non, de tels hommes
ne penseraient absolument pas que la véritable réalité puisse être
autre chose que les ombres des objets fabriqués.
[...]
Envisage maintenant ce qu'ils ressentiraient à être délivrés de
leurs chaînes et à être guéris de leur ignorance, si cela leur arrivait,
tout naturellement, comme suit: si l'un d'eux était délivré et forcé
soudain de se lever, de tourner le cou, de marcher et de regarder
la lumière; s'il souffrait de faire tous ces mouvements et que,
tout ébloui, il fût incapable de regarder les objets dont il voyait
auparavant les ombres, que penses-tu qu'il répondrait si on lui
disait que jusqu'alors il n'a vu que des futilités mais que, maintenant,
plus près de la réalité et tourné vers des êtres plus réels, il
voit plus juste; lorsque, enfin, en lui montrant chacun des objets
qui passent, on l'obligerait à force de questions à dire ce que
c'est, ne penses-tu pas qu'il serait embarrassé et trouverait que
ce qu'il voyait auparavant était plus véritable que ce qu'on lui
montre maintenant? [...]
Si
on le forçait à regarder la lumière elle-même, ne penses-tu pas
qu'il aurait mal aux yeux,
qu'il la fuirait pour se retourner vers les choses qu'il peut voir et
les trouverait vraiment plus distinctes que celles qu'on lui montre?
[...] Mais si on le traînait de force tout au long de la montée
rude, escarpée, et qu'on ne le lâchât pas avant de l'avoir tiré
dehors à la lumière du soleil, ne penses-tu pas qu'il souffrirait
et s'indignerait d'être ainsi traîné; et que, une fois parvenu à
la lumière du jour, les yeux pleins de son éclat, il ne pourrait
pas discerner un seul des êtres appelés maintenant véritables? [...]
Il aurait, je pense, besoin de s'habituer pour être en mesure de voir
le monde d'en haut. Ce qu'il regarderait le plus facilement d'abord,
ce sont les ombres, puis les reflets des hommes et des autres êtres
sur l'eau, et enfin les êtres eux-mêmes. Ensuite il contemplerait
plus facilement pendant la nuit les objets célestes et le ciel lui-même
- en levant les yeux vers la lumière des étoiles et de la lune -
qu'il ne contemplerait, de jour, le soleil et la lumière du soleil.
[...]
Finalement, je pense, c'est le soleil, et non pas son image dans les eaux
ou ailleurs, mais le soleil lui-même à sa vraie place, qu'il pourrait
voir et contempler tel qu'il est. [...] Après cela il en arriverait
à cette réflexion, au sujet du soleil, que c'est lui qui produit
les saisons et les années, qu'il gouverne tout dans le monde visible,
et qu'il est la cause, d'une certaine manière, de tout ce que lui-même
et les autres voyaient dans la caverne. [...]
Mais quoi, se souvenant de son ancienne demeure, de la science qui y est
en honneur, de ses compagnons de captivité, ne penses-tu pas qu'il
serait heureux de son changement et qu'il plaindrait les autres?
[...] Et les honneurs et les louanges qu'on pouvait s'y décerner
mutuellement, et les récompenses qu'on accordait à qui distinguait
avec le plus de précision les ombres qui se présentaient, à qui
se rappelait le mieux celles qui avaient l'habitude de passer les
premières, les dernières, ou ensemble, et à qui était le plus capable,
à partir de ces observations, de présager ce qui devait arriver:
crois-tu qu'il les envierait? Crois-tu qu'il serait jaloux de ceux
qui ont acquis honneur et puissance auprès des autres, et ne préférerait-il
pas de loin endurer ce que dit Homère: "être un valet de ferme
au service d'un paysan pauvre", plutôt que de partager les
opinions de là-bas et de vivre comme on y vivait. [...]
Et réfléchis à ceci: si un tel homme redescend et se rassied à la même
place, est-ce qu'il n'aurait pas les yeux offusqués par l'obscurité
en venant brusquement du soleil? [...] Et s'il lui fallait à nouveau
donner son jugement sur les ombres et rivaliser avec ces hommes
qui ont toujours été enchaînés, au moment où sa vue est trouble
avant que ses yeux soient remis - cette réaccoutumance exigeant
un certain délai - ne prêterait-il pas à rire, ne dirait-on pas
à son propos que pour être monté là-haut, il en est revenu les yeux
gâtés et qu'il ne vaut même pas la peine d'essayer d'y monter; et
celui qui s'aviserait de les délier et de les emmener là-haut, celui-là
s'ils pouvaient s'en emparer et le tuer, ne le tueraient-ils pas?
[...]
Ce tableau, il faut l'appliquer entièrement à ce qu'on a dit auparavant:
en assimilant le monde visible au séjour de la prison, et la lumière
du feu au rayonnement du soleil. Et si tu poses que la montée et la
contemplation des réalités d'en haut représentent l'ascension de l'âme
vers le monde intelligible, tu ne te tromperas pas sur ma pensée,
puisque tu désires la connaître; et Dieu sait si elle est vraie
[...]
Si
nous envisageons un monde semi-physique se projetant dans notre réalité,
il nous faut également prendre en considération le facteur Temps.
Dans notre géométrie, nous définissons un point comme un segment infinitésimal
d’une ligne. Une ligne est une section transversale infinitésimale
d’un plan, et un plan est un segment infinitésimal d’un solide.
Dès lors, notre réalité tri-dimensionnelle doit être définie comme
une série de segments infinitésimaux d’un corps quadri-dimensionnel.
Conceptuellement parlant, cela signifie que notre réalité tout entière
est un segment d’un corps quadri-dimensionnel, un monde de dimensions
potentielles au-delà de la contemplation tri-dimensionnelle.
Nous considérons généralement que le passé n’existe plus. Le futur n’existe
pas encore, et le “présent” se réfère à la transition momentanée d’une
non-existence à une non-existence!
Mais, s’il est vrai que seul le “maintenant” existe, alors la conclusion logique
est qu’en tant qu’unités de conscience lisant des ondes, nous sommes
d’une certaine manière responsables de notre perception du temps.
Nous considérons le temps comme linéaire, long ou court, une ligne
sans fin, une progression, du passé vers le futur. Mais ceci pose
un problème insoluble. Sur une ligne, MAINTENANT est un point mathématique
d’une infinie petitesse : il n’a pas de dimension! En toute logique
scientifique, il n’existe pas! L’encart n° 6 dit quelques mots
de l’ouvrage de mathématiciens professionnels à propos du temps
et l’encart n° 7 illustre le rôle de la pensée abstraite des mathématiciens
en tant que trait essentiel de progrès dans la connaissance du monde
dans lequel nous vivons.
Le premier mathématicien
à avoir exploré la quatrième dimension, William Rowan Hamilton, est
né en 1805. Hamilton était si précoce qu’il était capable de lire
la Bible à trois ans, âge auquel il se mit également à l’étude des
caractères hébraïques. Dès l’âge de 10 ans, il était capable de lire
l’hébreu, le persan, l’arabe, le sanscrit, le bengali, le latin et
le grec, ainsi que plusieurs langues européennes modernes. Hamilton
était tellement doué en calcul mental qu’on l’opposa, lors d’un concours,
à un garçon du Vermont qui parcourait le pays en tant que prodige
du calcul. Hamilton fut déçu quand il s’aperçut que son adversaire
ne disposait d’autres connaissances que ses extraordinaires talents
mathématiques.
Pendant ses études universitaires, Hamilton rejoignit le mouvement Tractarien,
une organisation religieuse dont était membre Samuel Taylor Coleridge.
Coleridge avait dans l’idée que l’algèbre était la science du Temps,
et apparemment, cette idée influença profondément Hamilton, qui découvrit
un ensemble de nombres quadridimensionnels: les "quaternions."
Bien qu‘il fût un mathématicien de génie, Hamilton était incapable
de penser au-delà du monde strictement matériel, et bien que son travail
eût abouti à une quatrième dimension, Hamilton ne put jamais considérer
celle-ci comme “réelle”.
La phase suivante de développement du concept d’un espace quadridimensionnel
a été l’œuvre de Ludwig Schlaefli, un maître d’école suisse. Il
comprit que l’idée de quatre dimensions était la suite conceptuelle
des trois premières dimensions spatiales. En tant que maître d’école,
Schlaefli ne fréquentait pas des universitaires, et ceci peut avoir
joué un rôle dans le fait qu’il put développer cette nouvelle géométrie
au début de sa carrière, avant de rejoindre la faculté de mathématiques
de l’Université de Berne. Il est intéressant de noter que Grassmann,
qui explora également une algèbre ingénieuse des dimensions supérieures,
fut aussi un maître d’école dont les écrits restèrent ignorés pendant
de nombreuses années. Pendant cette période, quiconque orientait
ses travaux dans cette direction était considéré comme un peu toqué,
alors que ce qu’ils faisaient en réalité n’était rien d’autre que
suivre une tradition reposant sur la pensée pure capable de les
emmener au-delà de ce qui pouvait être confirmé dans le monde des
sens.
De nombreux gourous
Nouvel Age enseignent que la Connaissance Supérieure ne peut être
obtenue directement que par le chemin du “coeur”. Pour ce faire,
ils ont recours à d’innombrables techniques et rituels destinés à
arrêter la pensée et à induire la “sensation”. Ceci n’est qu’une
simple variante de la routine de la “foi aveugle”, selon laquelle
seule la Connaissance apportée directement par Dieu est “vraie” et
que toute connaissance acquise par des moyens humains ne peut être
que billevesées.
Ce qui est intéressant à ce propos, c’ est que voilà un autre exemple de désinformation:
un mensonge emballé dans de la vérité pour le rendre plus facile à
avaler. Comme nous l’avons déjà souligné, la majeure partie de ce
que l’on fait passer pour "techniques d’ascension" n’est
pas beaucoup plus qu’une stimulation des produits chimiques qui se
trouvent dans le corps, ce qui produit une “sensation de bien-être”,
mais ne fait rien pour élever le niveau de l’Etre.
Et ainsi que nous l’avons déjà dit: il y a une "gravité" dans le monde
du Non-Etre, qui est le centre de pensée qui “crée” la matière. La
matière est la nature prédominante de notre réalité. Cela nous suggère
que notre “champ d’expression” est bipolaire: gravité par rapport
à conscience.
Le "champ de conscience" est un champ primaire, comme la gravité, mais
nous pouvons constater qu’il est très peu manifesté dans notre monde.
Cela signifie que pour quitter le champ de gravité de la matière il
nous faut lutter contre une force plutôt puissante.
Le champ de la conscience est celui des pensées, des sentiments, des idées, des
motivations, des attitudes/intentions, et de tout ce qui agit sur
nous en tant qu’actes de gravité sur les objets et les masses. Et
tout comme il y a gravité et anti-gravité, il doit y avoir conscience
et anti-conscience, comme nous l’avons décrit lors de notre discussion
sur les Centres de Pensée.
Le champ de conscience reflète comme dans un miroir le champ de gravité de la
matière. “Tout ce qui est en haut est comme ce qui est en bas”.
Et tout comme le fait de pousser une pierre en remontant une colline
demande de grands efforts, il nous faut faire de grands efforts pour
faire passer nos motivations, attitudes et émotions de l’influence
de la matière à celle du champ de conscience.
Lorsque se produit un tel mouvement à contre-courant, il faut faire un effort
tout particulier de conscience. Les pensées, idées, concepts basés
sur des interprétations matérielles de la réalité ne demandent que
peu d’efforts. C’est de pouvoir atteindre les mondes les plus élevés
de pensée qui nous permet de discerner quand nos émotions sont “matérielles”
ou quand elles sont pures et participent de l’âme. Approcher ce problème
sans créer le réceptacle des pensées, concepts et idées, est, une
fois encore, un processus de croyance à des mensonges et de liaison
à des “drogues spirituelles”.
Comprendre cela nous permet de distinguer quand nous travaillons à obtenir une
conscience plus élevée. “Descendre” dans le champ de la conscience
équivaut à descendre une pente dans le domaine de la gravité: aucun
travail d’élévation n’est nécessaire. Donc, un mouvement de descente
dans le champ de la conscience est aisé, ne demande aucun effort,
et donne du plaisir.
Lorsque nous remontons une pente dans n’importe quel domaine, y compris le domaine
de la conscience, il nous faut faire un effort considérable (de travail)
pour pouvoir effectuer ce mouvement.
Cela nous amène à la conclusion logique que les choses qui élèvent la conscience
sont également difficiles et vont à contre-courant de la gravité des
explications du monde matériel.
Il y a bien sûr, encore beaucoup à dire à ce sujet, mais nous le ferons dans
un volume ultérieur. Pour le moment, le point important est que
le développement de l’intellect dans le but d’en faire un outil de
perspicacité est l’une des première conditions essentielles du développement
spirituel.
Et à présent, aux instructeurs Nouvel Age et fondamentalistes qui dénigrent la
pensée, je demande de lire ce qui suit, et qui a été écrit par un
autre maître d’école encore:
N’est-il
pas surprenant que Newton n’ait été capable de découvrir la gravitation
universelle que 50 ans après que Descartes eût créé une méthode
mathématique d’analyse des données géométriques sous forme d’équation
algébrique? Cette méthode allait mettre à peu près 50 ans à se
répandre, à devenir une seconde nature, à éduquer une nouvelle génération
immergée dans celle-ci, et pour commencer à remarquer des phénomènes
montrant que ces nouvelles expressions mathématiques donnaient d’excellents
modèles. C’est
plus de 40 ans après que Hamilton eût créé les quaternions que
Maxwell découvrit combien ils sont utiles dans la formulation d’équations
concernant l’électromagnétisme. C’est 50 ans après que Riemann
eût mis au point sa géométrie générale non-euclidienne, curvilinéaire
qu’ Einstein, aidé par Minkowski, remarqua combien elle exprimait
de manière adéquate les relations de la relativité spéciale et
générale.
Ma
théorie est que les gens ne peuvent observer quelque chose qu’à
condition d’avoir un point de départ à partir duquel ils peuvent
comprendre ce qu’ils sont en train d’observer. Par exemple, aucun
scientifique ne peut remarquer: "hé! Ces nouveaux modèles
s’assemblent parfaitement” avant de disposer d’un modèle mathématique
décrivant cette sorte de relation comme étant un modèle plutôt que
des marques éparpillées au hasard sur un graphique. Pensez à
ce que ce serait de découvrir que toutes vos données peuvent être
inscrites dans une forme parabolique, mais que vous ne savez pas
ce qu’est une parabole. Combien désappointé vous seriez de constater
que vous n’obtenez pas une ligne droite alors que vous ne connaissez
rien d’autre que la ligne droite. "Je pense qu’après tout,
il n’y avait rien de valable dans cette hypothèse”, penserez-vous,
et vous rejetterez les données. Demain, un brillant mathématicien
mettra au point une méthode pour mettre sous forme de graphique
des équations du second degré, pensant qu’il a inventé une mathématique
pure sans aucune application pratique possible. Dans cinquante
ans d’ici, votre petit-fils ré-examinera vos données ou refera vos
expériences. Il obtiendra les mêmes points de données que vous
mais lui va reconnaître le modèle parabolique. Cela a toujours
été une parabole, mais vous ne le saviez pas, car la parabole n’avait
pas encore été inventée quand vous avez configuré les données.
Si
vous ne reconnaissez pas le modèle, votre cerveau l’interprète au
hasard: pas de modèle du tout. Cela signifie que vous n’y accordez
aucune attention. C’est de cette manière que les mathématiciens
créent le monde dans lequel nous vivons. Quelle affirmation scandaleuse!
Aucun physicien n’en admettrait la validité: après tout, ils ont
été habitués à observer le monde réel et non pas à confirmer les
fantasmes des rêveurs! Oui, très bien. La seule chose qui cloche
ici c’est que l’Histoire nous dit et répète que les physiciens ont
été incapables de voir les modèles qui se trouvaient devant leurs
yeux jusqu’à ce que quelqu’un invente des mathématiques rendant
ces modèles reconnaissables et discernables dans le vacarme fait
par le hasard.
C’est
donc dans un sens très réel que la seule réalité qui nous est perceptible
est celle des schémas pour lesquels nous avons un modèle mathématique.
C’est pourquoi nous ne pouvons observer que la partie d’infini dont
le modèle a été inventé par un mathématicien audacieux. Le mathématicien
en question ne décrit PAS une réalité objective qu’il observe, mais
il crée des relations qu’il qualifie de “belles”, “élégantes” ou
même “amusantes”.
Il
ne pense pas que sa création peut avoir des applications pratiques;
mais il y en a toujours. Parce qu’à chaque fois que quelqu’un fait
le descriptif d’un nouveau modèle, alors (dans environ 50 ans) les
gens vont commencer à remarquer ces parties de l’univers infini qui
s’adaptent à ce nouveau modèle. Jadis, ils ont semblé être des produits
du hasard mais maintenant que nous reconnaissons le motif, il est
devenu si apparent que nous ne comprenons pas comment Aristote a pu
passer à côté. Et une nouvelle génération d’historiens se mettra
à écrire des ouvrages pour dire comment Archimède était sur le point
d’inventer tout cela lui-même mais qu’il n’en a pas eu le temps avant
d’être tué par les Romains.
C’est exactement
de cette manière que la collecte d’informations, l’observation sans
préjugé, et le fait d’étendre le mental dans le champ de la conscience
permettent de développer le véhicule de l’âme qui “connaît” alors
les choses en vertu d’un présent de Dieu.
Quiconque s’est aventuré dans le monde de ces idées d’hyperdimensions qui nous
concernent profondément à présent, a pu suivre le chemin plus facilement
grâce à l’expansion simultanée d’autres branches de connaissance.
Par exemple, il a été observé en géométrie que les lignes, dans l’espace
tridimensionnel ordinaire, pouvaient être regardées comme des éléments
d’un ensemble à quatre dimensions. Des connexions de ce type ont
rapidement rendue acceptable la quatrième dimension aux mathématiciens.
Ici, quelque chose
de très étrange s’est produit. L’idée d’une “quatrième dimension”
a été adoptée par les spiritualistes et les occultistes comme étant
le “monde des éthers” ou de l’après-vie, le lieu des morts.
Au XIXe siècle, des séances de spiritisme ont attiré des entités désincarnées
qui ont produit des effets physiques et ont provoqué des états psychologiques
particuliers, pour disparaître ensuite -comme les OVNIs de notre
temps. Il a été commode alors (comme ce l’est encore de nos jours)
de les placer dans les dimensions inaccessibles de l’espace et de
faire en sorte que tout le monde était bien convaincu que ces dimensions
étaient éthérées.
L’astronome Zollner, qui a vécu au XIXe siècle, a prétendu démontrer scientifiquement
que les êtres éthérés qui se manifestaient lors de séances
de spiritisme venaient bien de la quatrième dimension. Bien qu’il
n’ait jamais réussi aucune démonstration, la quatrième dimension devint
un moyen de concevoir les phénomènes mystérieux d’une manière non-matérialiste.
Vers la fin du XIXe siècle, cependant, la quatrième dimension devint un sujet
de méditation et fut récupérée par la Société Théosophique puis par
Rudolf Steiner qui fit, dit-on, de brillants exposés sur ce thème,
en se basant sur les travaux de Howard Hinton.
Les travaux de Hinton sont l’aboutissement des idées de son père, James Hinton,
dont la philosophie était basée sur le monde nouménal de Kant, monde
qui se trouve en filigrane de l’expérience phénoménale. Ce monde
supérieur était féminin, riche, libre de toute contrainte sociale
ou légale, la vertu y consistait à “harmoniser ses propres intentions
avec celles du monde nouménal”, et il n’était pas possible d’y accéder
par un comportement uniquement régulateur. Une personne dévouée sans
compter au bien de l’humanité était tout aussi susceptible d’enfreindre
les lois que toute brute criminelle.
Howard Hinton s’inspira des écrits d’Hamilton pour adopter une forme matérialiste
du Kantianisme. Au début de sa carrière de maître d’école il mit
en doute le fait que la connaissance puisse provenir d’une puissance
extérieure. S’efforçant de trouver des connaissances dont il pourrait
être certain, il se fabriqua un ensemble de cubes coloriés qu’il disposa
de diverses manières pour obtenir des cubes plus grands. En disposant
ces cubes, il se sentit assuré qu’il pouvait acquérir de la sorte
la connaissance d’une position spatiale qui ne pouvait être mise
en doute. Alors qu’il cherchait des modèles en arrangeant ses blocs,
il commença à se poser des questions au sujet de la quatrième dimension,
qu’il voyait comme maîtrisant des séquences de transformation
en trois dimensions.
Déjà avant son décès en 1907, les écrits de Hinton avaient poussé les théosophes
d’Inde et d’Angleterre à étudier par eux-mêmes la quatrième dimension.
Steiner, qui suivait la ligne théosophique, continua à voir la quatrième
dimension comme un monde “spirituel”, bien qu’il fît un certain nombre
de commentaires perspicaces à ce sujet, dans la perspective de son
approche “ésotérique”.
Tout
ce que nous faisons ici est simplement une représentation symbolique
des mondes supérieurs. […] Ce qui se trouve dans ces mondes supérieurs
peut être réalisé seulement en développant de nouvelles possibilités
de vision. Les êtres humains doivent travailler pour pouvoir atteindre
ces mondes.
Howard Hinton et
les idées concernant une quatrième dimension influencèrent aussi
profondément P.D. Ouspensky, qui donna une illustration extrêmement
simple du concept de notre relation à la quatrième dimension, qui
donne en fait un aspect plus “physique” au concept. Dans cette illustration,
il décrit le voyage d’un escargot dans un jardin.
Ses
mouvements sont réglés par la douleur et le plaisir. Il se dirige
toujours vers celui-ci, et s’écarte toujours de la première. Il progresse
toujours sur une ligne, du désagréable vers l’agréable. Et il est
très probable qu’il ne perçoive et ne connaisse rien d’autre que
cette ligne. Cette ligne constitue tout son univers. Toutes les
sensations provenant de l’extérieur sont ressenties par l’escargot
sur cette ligne de progression. Et ces sensations lui sont intemporelles:
de potentialités elles deviennent actualités. Pour un escargot, tout
l’univers existe dans le futur et le passé, c’est-à-dire dans le temps.
L’escargot n’est
probablement pas conscient de lui-même, c’est-à-dire conscient qu’il
fait partie du paysage, dont tous les éléments existent simultanément,
et dont l’escargot ne pourrait prendre conscience que s’il pouvait
étendre sa conscience par quelque processus de métamorphose élevant
sa conscience loin au-dessus du jardin, pour étendre sa portée. Mais
il ne perçoit les différents phénomènes (la feuille, le brin d’herbe,
la brindille, le sable, le chemin) qu’au moment où il interagit avec
eux, et alors très peu à la fois. Ce sont des événements de courte
ou longue durée, passés et futurs, qui passent à mesure que
l’escargot progresse de centimètre en centimètre.
Ouspensky suggère que c’est ainsi que nous faisons l’expérience de notre monde
par rapport à la quatrième dimension. Les organes de nos cinq sens
ne sont que des senseurs, nos moyens de toucher et d’interpréter le
monde, par l’intermédiaire des modèles mathématiques de notre cerveau,
et de manière limitée de conscience tridimensionnelle. Les gadgets
scientifiques ne permettent que d’allonger un peu nos senseurs.
Imaginez
une conscience qui n’est pas limitée par les conditions de la perception
sensorielle. Une telle conscience peut s’élever au-dessus du plan
dans lequel nous évoluons; elle peut voir bien au-delà des limites
du cercle éclairé par notre conscience ordinaire; elle peut voir
que la ligne le long de laquelle nous évoluons existe, mais qu’existent
aussi toutes les autres lignes perpendiculaires à celle-ci, et que
nous croisons dans nos séries de “maintenant”. En s’élevant au-dessus
de ce plan, cette conscience peut apercevoir ce plan, s’assurer qu’il
s’agit bien d’un plan et non d’une ligne; et ensuite elle pourra voir
le passé et le futur existant côte à côte et simultanément.
Plusieurs considérations
d’importance sont contenues dans l’analogie avec l’escargot. Premièrement,
si notre perception réelle est aussi limitée, relativement parlant,
que celle d’un escargot pourquoi est-ce ainsi, si nous possédons
la connaissance intérieure et des facultés inconnues dans notre état
d’éveil, de la conscience ordinaire qui se manifeste parfois spontanément,
ou qui peut être développée par un entraînement long et difficile?
Deuxièmement, il nous faut noter les implications d’une conscience de ce type
qui existe en fait sur le plan physique, tridimensionnel. Mais avant
que nous nous efforcions de répondre à ces questions, revenons à la
question du temps.
Le
passé et le futur ne peuvent pas ne pas exister. Ils doivent co-exister
quelque-part ensemble, mais nous ne les voyons pas. Le présent, par
opposition au passé et au futur, est la réalité la plus irréelle de
toutes. Il nous faut admettre que le passé, le présent et le futur
ne diffèrent aucunement l’un de l’autre et que la seule chose qui
existe vraiment et l’Eternel Maintenant de la philosophie indienne
.
L’ Alpha et l’Omega.
Mais nous ne le voyons pas —ou, du moins, peu d’entre nous le voient.
Et ceux-la ne le voient qu’imparfaitement, “au travers d’un verre
sombre”. Nous sommes des escargots qui traversent les champs de fleurs
de l’univers, conscients seulement momentanément de la terre, de la
feuille, ou de la goutte de pluie devant nous. A n’importe quel moment,
nous ne sommes conscients que d’un petit fragment de l’univers, et
nous continuons à nier l’existence de n’importe quoi d’autre, et notamment
que le passé et le futur co-existent, et qu’il est possible
de percevoir cela.
Il y a deux théories principales à propos du futur: celle du futur prédestiné,
et celle du futur libre. La théorie de la prédestination affirme
que tout événement futur est le résultat d’événements passés. Si
nous pouvions tout connaître du passé, nous connaîtrions tout du futur.
C’est le temps linéaire. L’idée d’un futur libre se base sur des “probabilités”
quantiques. Le futur est soit déterminé, soit indéterminé en partie
seulement, car de nombreuses interactions de “possibles” peuvent se
produire en n’importe quel point donné. Ce futur probable repose
sur l’idée d’un vrai libre-arbitre et suggère que des actes volontaires,
délibérés, peuvent provoquer des changements dans les événements subséquents.
Ceux qui soutiennent l’idée de la prédestination disent que les actes prétendument
“volontaires” ne le sont pas en réalité. Ils seraient plutôt le résultat
de causes qui en ont fait des actes impératifs; autrement dit: rien
n’est accidentel.
Nous avons donc d’une part la “prédestination pure”: quoi qu’il arrive, on ne
peut rien y changer! Et d’autre part nous avons une réalité qui n’est
qu’un point sur une espèce d’aiguille appelée “présent” et qui est
entourée de tous côtés par le Golfe de la Non-Existence - un monde
qui naît et qui meurt à tout instant. Ouspensky unifie ces vues:
A
tout instant, le futur du monde est prédestiné et existant, mais il
est prédestiné conditionnellement, c’est-à-dire qu’il doit y avoir
l’un ou l’autre futur selon la direction des événements à un moment
donné, si aucun nouveau facteur n’entre en jeu. Et un nouveau facteur
ne peut provenir que de la conscience et de la volonté qui en résulte.
Autrement dit, l’escargot
peut choisir de changer de direction s’il étend ses connaissances
et devient plus conscient. L’escargot peut suivre une odeur
de nourriture, ou être attiré par une source de chaleur, et il peut
se trouver sur le chemin d’une voiture ou se diriger vers un champ
plein d’oiseaux prêts à le manger. Concrètement, cela signifie que
les escargots et les humains qui poursuivent leur chemin à travers
l’univers en rampant et dépourvus de connaissances, se retrouvent
très souvent sur un chemin qui leur sera fatal. Cette issue fatale
ne peut être évitée que par la maîtrise de l’instinct du plaisir
et du rejet de la souffrance. Mais cela ne peut se produire que si
l’on devient conscient du cours probable que l’on est en train
de suivre. Si ces tendances naturelles nous conduisent à un
abîme et nous plongent dans les flammes de l’enfer, alors il nous
incombe d’apprendre ce qu’il faut faire exactement pour l’éviter.
Et c’est là qu’est l’os. Pour y arriver, il nous faut atteindre un
état plus conscient, un état supérieur de conscience et non
pas un état plus intense de sensations!
Dans
le passé qui est derrière nous il y a non seulement ce qui a été,
mais aussi ce qui aurait pu être. De même, dans le futur il n’y a
pas seulement ce qui sera, mais aussi ce qui pourra être.
Autrement dit, le
mouvement dans l’espace n’est que l’illusion d’une brève lueur de
notre conscience éclairant une construction donnée de notre conscience.
S”’il est vrai que tout ce qui est existe simultanément, alors c’est
nous et seulement nous qui, isolément ou collectivement, pouvons
modifier la focalisation ou le développement de notre conscience.
Dans
le temps, les événements existent avant que notre conscience entre
en contact avec eux et ils existent encore quand notre conscience
s’en est retirée.
Revenons maintenant
aux questions: Pourquoi ne pouvons-nous pas percevoir la réalité
telle qu’elle est? Pourquoi ne pouvons-nous pas étendre notre perception
- —pourquoi sommes-nous enchaînés à cette douloureuse existence que
nous appelons “réalité”? Et nous en revenons à l’idée de la caverne
de Platon - —ou à ce qui est connu de nos jours comme étant La
Matrice. Nous nous trouvons devant le fait que la manière limitée
dont nous percevons notre monde est en fait une sorte de défaut -
—l’effet de la “Chute” – la "faute rituelle" qui a mis
fin à l’Age d’Or.
Actuellement, de nombreux physiciens suggèrent que “l’hyperespace” permet d’expliquer
comment faire le pont entre le monde physique et le monde éthérique.
Le marché du Nouvel Age s’est précipité avec une joie diabolique
sur ces idées, et a produit d’innombrables variantes ignares de la
Science Sacrée, noyées dans des millions de mots dont bien peu sont
compréhensibles au profane, et encore moins au scientifique. Ceux
qui lisent ces sornettes et se disent: “oh! Cela paraît si vrai! Mais
qu’est-ce que ça veut dire?” reçoivent la réponse méprisante que “seuls
les initiés peuvent comprendre ces idées élevées!”.
Le fait est que les réalités de notre monde en termes de principes connectant
matière et conscience ne deviennent pas plus claires grâce à ce genre
de discussions philosophiques; ce qu’il nous faut c’est davantage
d’étude empirique et d’expérimentation. Et cela doit être fait par
ceux qui sont qualifiés pour cela et non par des charlatans et maîtres-arnaqueurs.
Il y a des physiciens des plus hauts niveaux qui sont ouverts aux possibilités
d’autres formes de matière et d’autres dimensions. Ils comprennent
que de telles hypothèses peuvent avoir valeur explicative dans leurs
propres domaines et dans celui de la parapsychologie. C’est ainsi
que, bien que parapsychologie et physique soient des matières très
différentes, curieusement leurs perceptions fondamentales coïncident.
Il y a des ressemblances
entre les deux voies majeures de la recherche fondamentale en physique
théorique moderne, et les deux réalités que nous sommes en train
d’examiner: la matière et la conscience. Tout comme il y a eu en
recherche psy des tentatives de réconciliation et d’unification de
la matière et de la conscience, la même chose a été vraie pour la
physique avancée. Bien qu’il y ait eu de sérieuses tentatives, au
cours des vingt dernières années, pour trouver une théorie unifiée
capable de concilier approche quantique (matière) et approche du champ
(conscience), aucune de ces théories n’est parvenue au succès dans
aucun de ces problèmes. La mécanique quantique s’occupe fondamentalement
du monde sub-microscopique des particules élémentaires. Elle se
base sur l’idée que les événements probables se produisent d’une manière
non déterministe, plutôt que sur un état déterministe connu pouvant
être calculé par des équations classiques du mouvement.
Lorsqu’il existe un nombre infini d’états possibles, et que tous ces
états sont susceptibles d’ offrir des solutions dans certaines conditions
particulières, on rencontre certains problèmes lorsqu’on tente de
traduire ces concepts en des réalités classiques. Le vecteur
d’état est le rassemblement de tous les états de pré-réduction
(pre-collapse) et représente le système dans lequel l’événement
existe dans tous les états simultanément. Dès que l’événement
se produit ou que ce que l’on nomme “mensuration” a lieu, le système
réduit le vecteur d’état à un état probabilistiquement déterminé.
Avant qu’il y ait réduction, le système est spécifié collectivement
par le vecteur d’état qui s’est développé de manière déterministe
dans le temps. Cette interprétation de la mécanique quantique est
appelée Interprétation de Copenhague et prévaut, avec
des variantes mineures, dans la mécanique quantique telle qu’elle
est appliquée de nos jours. Elle est caractérisée par une rupture
directe par rapport à la physique classique où une cause mène nécessairement
à un effet.
Simultanément, la théorie des champs (la théorie générale d’Einstein sur la relativité)
jour un rôle capital dans l’étude des réalités du monde physique réel.
La théorie des champs semble découler des vues classiques concernant
causes et effets, et du déterminisme. La mécanique classique met
en oeuvre des équations de mouvement qui peuvent être résolues pour
des événements spécifiques lorsque des conditions initiales
telles que la position et la vélocité, ou les conditions initiales
et finales, sont connues. Il se fait donc que le champ représente
une interrelation déterministe de forces interagissant mutuellement
entre différents événements (c’est-à-dire des particules) qui peuvent
être trouvés quand on substitue des valeurs dans les équations de
champs.
Tant les théories des champs que les théories quantiques ont des caractéristiques
spéciales qui sont utiles dans les théories physiques Psy. Cependant,
les mêmes problèmes refont surface lorsqu’on tente de combiner la
théorie quantique avec la théorie (relativiste) des champs: aucun
système n’a encore été découvert, qui puisse couvrir tous les phénomènes.
Cependant, actuellement il semblerait que ce soit la théorie quantique des champs
qui présente les meilleures chances de succès dans cette entreprise.
Nombreuses sont les spéculations à propos de théories physiques de
psy qui se basent sur les quanta ou sur la théorie quantique des champs
plutôt que sur la théorie des champs. Whiteman note: "Il
semble, dès lors, que toute tentative faite pour unir parapsychologie
et physique doive adhérer, du moins substantiellement, au langage
de la théorie quantique des champs, en termes de champs “comme si”
(as if) au niveau de la potentialité créatrice"”.
Les théories de Psy les plus anciennes ont décrit les transferts d’énergie de
diverses manières, mais les idées nouvelles vont au-delà de telles
approches. Un des arguments allant à l’encontre de l’idée de Psy
et d’une théorie physique de Psy basées sur la transmission d’énergie
(ou de particules) est que les énergies seraient bien trop subtiles
pour être perçues par le cerveau. John Eccles a montré que le cortex
cérébral agit comme un détecteur sensible d’influences faibles.' Sur base d’un argument probabiliste
de mécanique quantique, il est possible de démontrer que les neurones
peuvent être stimulés par ces influences subtiles, provoquant
ainsi dans le cerveau un effet normal en cascade sur les neurones.
De cette manière, le cerveau peut agir comme un récepteur de faibles
influences telles que celles qui peuvent apparaître dans les porteurs
Psy.
Parmi les autres théories tentant d’unir fonctions biologiques et théorie quantique,
W. Elsasser a spéculé sur certaines lois biotoniques opérant
exclusivement dans les êtres vivants et se basant sur "des incertitudes
théoriques quanto-mécaniques et informatiques accumulées”. Toutes ces approches représentent
une convergence de la bioélectronique et de la théorie quantique,
pour expliquer les facultés Psy, y compris la psychokinèse ou mouvement
des objets provoquée par l’effort mental uniquement.
Il y a un tellement grand nombre d’interprétations de la théorie quantique qui
se rapportent au psy et peuvent aider à comprendre comment la conscience
interagit avec la matière! La plupart des nouvelles théories sont
basées sur l’introduction d’un nouveau niveau de dualité dans la nature,
selon lequel la conscience aurait une fonction d’onde distincte et
séparée de la fonction d’onde normale représentant la réalité matérielle
et physique dans la théorie quantique, une sorte de système à trois
ondes, semblable à celui des biorythmes, et dans lequel quand toutes
les lignes se croisent, quelque chose se produit.
Le problème que je veux souligner ici, c’est que nous avons à tout prix besoin
d’un cadre conceptuel scientifiquement acceptable, dans lequel les
phénomènes parapsychologiques ont un sens en tant que parties intégrantes
de la nature et de la vie humaine dans leur totalité. Je crois que
de telles idées ont été connues d’une civilisation antique, qui a
développé le “Saint Graal” de la physique: la Grande Théorie Unifiée,
et qu’en fait le Saint Graal de la physique pourrait bien avoir beaucoup
en commun avec le Saint Graal des légendes.
Lorsqu’elle traite
de la théorie générale de la relativité la science se base habituellement
sur un continuum spatio-temporel quadridimensionnel. En relativité
générale classique, les propriétés métriques du continuum sont intrinsèques
à celui-ci, mais une cinquième dimension dans laquelle
l’espace-temps que nous percevons normalement est “encastré”,
explique également en partie la courbure et les propriétés de l’espace
physique. On peut dire que dans le continuum espace-temps toutes
les parties du monde quadridimensionnel existent simultanément dans
le sens de règles mathématiques, et ceci pourrait sonner le glas pour
les idées philosophiques de la causalité.
Cependant, de nombreux scientifiques travaillant sur base de ces idées pensent
que ce continuum n’est pas “réel” au sens physique, de sorte que,
selon eux, il ne serait pas possible à des entités physiques de faire
à volonté des allers et retours hors et dans le temps, aussi facilement
que l’on peut changer de direction dans l’espace tri-dimensionnel..
En ce qui nous concerne, nous pensons que cela n’est pas seulement
possible, mais encore très probable, selon nos observations.
Dans la théorie de la relativité, les intervalles de temps entre événements ne
sont pas entièrement fixes par rapport aux systèmes de mouvement ou
cadres de référence. Ceci a abouti à certaines spéculations selon
lesquelles il pourrait y avoir aussi des analogies entre précognition
et anomalies. Cependant, la "dilatation du temps " et
la contraction des intervalles de temps entre les cadres de référence
en mouvement sont trop petits pour expliquer la précognition et demande
encore un transfert d’informations avant de pouvoir voyager plus vite
que la lumière, et la théorie spéciale de la relativité, quand elle
est interprétée au pied de la lettre, ne permet pas de voyages physiquement
hors et dans le temps, mais confine au contraire ce concept à des
règles mathématiques imaginaires.
Même
s’il est pratiquement interdit de mettre en question les restrictions
d’Einstein quant à pouvoir voyager plus vite que la lumière, Einstein
a bien proposé à un certain moment, de considérer le monde hyperdimensionnel
comme réel. En 1938, il a écrit en collaboration avec P. Bergmann,
un article intitulé On a Generalization of Kaluza's Theory of Electricity:
Jusqu’à
présent, deux tentatives relativement simples et naturelles ont
été émises pour connecter la gravitation et l’électricité au moyen
d’une théorie des champs unifiés: l’une par Weyl, l’autre par Kaluza.
En outre, il a été tenté à plusieurs reprises de représenter formellement
la théorie de Kaluza de manière à éviter l’introduction d’une
cinquième dimension du continuum physique. La théorie présentée
ici diffère de celle de Kaluza en un point essentiel: nous attribuons
une réalité physique à la cinquième dimension, tandis que dans la
théorie de Kaluza, cette cinquième dimension n’a été introduite
que dans le but d’obtenir de nouvelles composantes du tenseur métrique
qui représente le champ électromagnétique.
Nous pensons qu’Einstein
a suivi une voie qui devait se révéler très fructueuse par la suite.
Einstein était quelque peu inquiet au sujet de cette idée, mais il
l’a bien suivie, puisqu’il a écrit dans son article:
Si
la tentative de Kaluza représente un réel pas en avant, alors c’est
grâce à l’introduction de l’espace à cinq dimensions. De nombreuses
tentatives ont été faites pour retenir les résultats formels obtenus
par Kaluza sans devoir sacrifier le caractère quadri-dimensionnel
de l’espace physique. Cela démontre clairement combien fortement
notre intuition physique résiste à l’introduction d’une cinquième
dimension. Mais si l’on considère et compare toutes ces tentatives,
il nous faut conclure que tous ces efforts n’ont pas amélioré la
situation. Il semble impossible de formuler l’idée de Kaluza d’une
manière simple, sans introduire la cinquième dimension.
Il
nous faut donc prendre au sérieux la cinquième dimension, bien que
l’expérience ordinaire ne nous y encourage pas. Si donc la structure
de l’espace semble nous forcer à accepter la théorie d’un espace à
cinq dimensions, nous devons nous demander s’il est sensé de supposer
la réductibilité rigoureuse à un espace quadridimensionnel. Nous
croyons que la réponse devrait être “non”, à condition qu’il soit
possible de comprendre d’une autre manière le caractère quasi-quadridimensionnel
de l’espace physique en prenant pour base le continuum à cinq dimensions
et en simplifiant ainsi les suppositions géométriques de base. […]
Le point le plus essentiel de notre théorie est le remplacement d’une
..... rigoureuse cylindricité par la supposition que l’espace est
clos (ou périodique).[…] La théorie de Kaluza sur les cinq dimensions
de l’espace physique permet une représentation unitaire de la gravitation
et de l’électromagnétisme. […] Il est bien plus satisfaisant d’introduire
la cinquième dimension, non seulement formellement, mais aussi en
lui attribuant une certaine signification physique.
Lorsqu’on parle de
théorie des champs, il est nécessaire de faire la différence entre
théorie pure des champs (gravitation, champs électriques et magnétiques)
et théorie quantique des champs. Les champs tels les champs électromagnétiques
et gravitationnels, ils sont continus et spatiaux, tandis que les
champs quantiques sont quantifiés, fragmentés en sections discontinues
de substance particulaire. La théorie Psy basée sur un champ gravitationnel
repose en partie sur le fait que la gravitation ne dépend pas de la
vélocité maximale de la lumière parce qu’elle ne voyage pas, mais
est structurelle. L’évidence fournie par Vasiliev et d’autres
suggère que le Psy est également indépendant de la vélocité de
la lumière.
Cependant, la relativité générale a obligé la science à abandonner “l’idée d’action
à distance” selon laquelle il y a une “force à distance”, et a fait
de la gravité un facteur dépendant d’une vélocité maximale. Cependant,
Margenau a suggéré que la relativité générale devrait être regardée
comme un principe “formel” tel le Principe d’Exclusion formulé par
Pauli. Dans ce cas, la gravitation ne serait pas énergétique ni
assujettie à une vélocité maximale mais tendrait à des phénomènes
physiques.
Le lecteur devrait noter que lorsqu’on parle de théorie des champs il faut faire
la différence entre 1.) théorie pure des champs (tels gravitation,
champs électriques et magnétiques) et 2.) théorie quantique des champs.
Les champs tels les champs électromagnétiques et gravitationnels sont
continus et spatiaux, tandis que les champs quantiques sont quantifiés,
fragmentés en sections discontinues de substance ou d’énergie particulaire.
Ces idées ont été adoptées par de nombreux auteurs “appartenant aux sciences
alternatives” qui les ont mises en relation avec les constructions,
les champs d’énergie, les êtres de lumière, les grilles terrestres,
etc. et il semble, en effet, qu’il y ait des lieux, sur cette planète,
où l’on peut “puiser” plus ou moins facilement une certaine énergie.
Mais le phénomène auquel s’adressent particulièrement ces idées est
celui des réalités hyperdimensionnelles où les énergies mentales ou
de la conscience sont amplifiées, et peuvent interagir avec l’environnement
dans le cadre d’une technologie spécifique qui suggère non seulement
une puissance de transport en partie physique et en partie “éthérique”,
mais aussi des pouvoirs de "manifestation" qui peuvent nous
paraître impossibles dans l’état actuel de nos technologies. Toutes
ces propriétés appartiennent EFFECTIVEMENT à l’existence hyperdimensionnelle,
et une existence dans un tel état a fait l’objet d’allusions répétées,
au cours des millénaires, comme étant le “monde des dieux”, ainsi
que celui des Dragons et Serpents, et créatures de toutes sortes.
Steiner, Rudolf, The Fourth Dimension, Sacred Geometry, Alchemy, and
Mathematics, Une série de six conférences données à Berlin ente le 24 mars et le 7 juin
1905 Anthroposophic Press
En tant que propriétaires
et éditeurs de ces pages, nous souhaitons souligner que le matériel
présenté ici est le fruit de notre recherche et de notre expérimentation
en communication supraluminique. Nous nous demandons parfois si les Cassiopéens
sont ce qu¹ils prétendent être, parce que nous ne tenons rien
pour vérité indiscutable. Nous prenons tout "cum granulo
salis", même si nous considérons qu¹il y a de bonnes
chances que ce soit la vérité. Nous analysons constamment ce matériel
ainsi que beaucoup d¹autres qui attirent notre attention, issus de divers
domaines de la Science et du mysticisme. Honnêtement, nous ne savons pas
CE QU'EST la vérité, mais nous croyons qu¹elle est «
quelque part par là» et que nous pouvons sans doute en découvrir
une partie. Oui, nous pouvons dire que nos vies ont été enrichies
par ces contacts, mais certains éléments nous ont aussi rendus
perplexes et nous ont désorientés, et ils restent encore à
être clarifiés. Nous avons certes trouvé beaucoup de «confirmations»
et de « corroborations » dans d¹autres domaines, entre autres
la Science et l¹Histoire, mais il y a aussi de nombreux éléments
qui, par nature, sont invérifiables. C¹est pourquoi nous invitons
le lecteur à partager notre recherche de la Vérité en lisant
avec un esprit ouvert, mais sceptique.
Nous n¹encourageons
pas « l'adepte-isme », ni aucune « Vraie Croyance ».
Nous ENCOURAGEONS la recherche de la Connaissance et de la Conscience dans tous
les domaines qui en valent la peine, comme le meilleur moyen de discerner le
mensonge de la vérité. Voici ce que nous pouvons dire au lecteur:
nous travaillons très dur, plusieurs heures par jour, et nous le faisons
depuis de nombreuses années, pour découvrir la raison de notre
existence sur Terre. C¹est notre vocation, notre queste, notre mission.
Nous recherchons constamment à valider et/ou à affiner ce que
nous envisageons comme possible, probable, ou les deux. Nous faisons cela avec
l¹espoir sincère que toute l¹humanité pourra en bénéficier,
si ce n¹est maintenant, alors dans un de nos futurs probables.
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