L'Onde |
Cassiopée ? Forum de questions et réponses Nos Articles Nouveau ! Programmes, tampons et "Esprit du prédateur" Nouveau ! Le résultat de l'impact du Dryas récent et les cycles de catastrophes cosmiques – les climatologues se réveillent Nouveau
SOTT Focus ! Pendant que les Européens sont en vacances, les Américains triment Nouveau
SOTT Focus ! Comment créer la réalité de la "War on Terror" - guide pratique Nouveau
SOTT Focus ! Des squatters sans conscience Nouveau
SOTT Focus ! Si le sociopathe habite à côté - montez à l'étage Nouveau
! L’Amérique
fasciste, en dix mesures faciles Nouveau ! Michael Topper à propos du Harcèlement —SOTT— Virginia
Tech – Le tueur était-il programmé mentalement L'hypocrite Tony s'attaque à Téhéran La pression pour la paix et la "Pâque juive" Oubliez le réchauffement planétaire : nous sommes au bord de l’extinction ! Une vérité qui dérange Piratage de la Démocratie La main cachée derrière l'affrontement entre Hamas et Fatah Encore Des Absurdites « Al-Qaïda » Du Gang Bush Fascisme galopant: La France interdit à ses journalistes de rapporter la violence Amir Peretz et la foi fondée à l'école de la politique Encore Des Absurdites « Al-Qaïda » Du Gang Bush Nous chutons tous D'Israël à Bush par l'entremise de la BBC et de CNN : Attaquez l'Iran -- sinon… Une Question Légale Le Futur A
quel point pensent-ils que nous sommes stupides? Le
Mythe Des Attentats Suicide Palestiniens Rassembler
en un lieu tous les juifs Le
MI6 et les médias - les manipulateurs de l'esprit Litvinenko
- Par la tromperie Litvinenko
- Par la tromperie 2 La
capture, le procès et la condamnation de Saddam Hussein – Une autre
farce du renseignement américain La
mystique contre Hitler Les
Bush et Le Roi Perdu Bush
révèle sa véritable politique iraquienne : le massacre
de civils iraquiens Donnez
leur un 5 novembre qu'ils n'oublieront jamais Le
sionisme et le président iranien Une
planète au bord de l'anarchie? De
l’Holocauste à l’Armageddon Ensemencement
de graines de guerre civile Le
racisme, pas la défense, au coeur de la politique israélienne Commentaires Commentaires des Signes 23 fev 2004 , 14 &15 Mar 2004 Supplément des Signs: Armes Ethniques Spécifiques Supplément des Signs: L'Assassinat de JFK HITLER : Tel que le Peuple Allemand Le Connaît —Série
JFK— John F. Kennedy, le Pétrole et la Guerre à la Terreur John F. Kennedy, le Services Secrets et les Riches Texans Fascistes John F. Kennedy et la Conspiration Monolithique et Impitoyable John F. Kennedy et les Cochons de Guerre John F. Kennedy et la Psychopathologie de la Politique John F. Kennedy, J. Edgar Hoover, le Crime Organisé et le Village Mondial John F. Kennedy et tous ces "ismes" Le Gladiateur : John Fitzgerald Kennedy —11 septembre— Jim Hoffman – Attrape-nigaud pour les Chercheurs de Vérité du 11 septembre - Joe Quinn L'ADMINISTRATION BUSH ET le 11 SEPTEMBRE: 100 RAISONS DE DISSIDENCE Commentaires sur l'attaque du Pentagone Les récits de témoins oculaires du crash du Pentagone ne riment à rien Le Mossad et les Sociétés de Déménagement Mahmoud Ahmad et le Culte Secret Commentaires sur l'attaque du Pentagone —Ponérologie & Psychopathie—Ponérologie Politique : une Science sur la Nature du Mal adaptée à des Buts Politiques Le Paysage Intérieur du Psychopathe de Herve Cleckley Le Psychopathe - Le Masque de Santé Mentale Le Culte le plus dangereux dans le Monde - Laura Knight-Jadczyk L'Idée la plus dangereuse dans le Monde - Laura Knight-Jadczyk "Culture
officielle" en Amérique: Contrôle des Mots, Contrôle des Pensées, Contrôle du Monde —La Bible déconstruite— Le Livre Q et les Origines Chrétiennes La Véritable Identité de Fulcanelli, les Quatre éléments et Le Code Da Vinci Qui a écrit la Bible et pourquoi? —Les catastrophescycliques— Le Monde Arrive-t-il à sa Fin? Est-ce que notre Soleil a un compagnon sombre? —Les mystères—Extraits de l'Histoire Secrète du Monde Introduction à La Science antique Qui a écrit la Bible et pourquoi? La Véritable Identité de Fulcanelli et Le Code Da Vinci
Les portails organiques ? L' "autre" race - 1ère partie Prédateur Spirituel – Prem Rawat alias Maharaji - Henry See Qui parle au nom de la Vérité? Chronologie de Cointelpro Cosmique 11, 12 Un gouffre dans le coeur - John Kaminski Le Jeu Global du Survivant: Les Quatre Prochaines Années de l'Amérique La Haute Étrangeté des Dimensions et le Processus d'Enlèvement Alien Schwaller
de Lubicz et le Quatrième Reich Jupiter,
Nostradamus, Edgar Cayce, et le Retour des Mongols Vérité
ou Mensonge Ouspensky, Gurdjieff et les Fragments d'un Enseignement inconnu Picknett et Prince sur les Cassiopéens Le Crop Circle de Chibolton et les Cassiopéens sur les Crop Circles Jour D'Indépendance - KAH Les portails organiques ? L'Â "autre" race - 2ième partie L'Affaire OVNI de Morris Jessup Meilleurs voeux pour un monde heureux Le Matériel sur l'Aéroport de Denver Les ETs et COINTELPRO cosmique Discernement ou Machiavel et les ET Discernement 2: Le Monde est pénétré de malignité St. Malachie et le Travail du Soleil Les Compagnons du devoir de Liberté Nous vous proposons aussi les sites : |
La Connaissance protège, l'Ignorance expose au péril … (Cassiopéens) Traduction par Micheline Deschreider Chapitre XIa
Tout n’est que leçons.. 24-11-94 Les remarques
qui précèdent, faites par les Cassiopéens, reflètent l’essence
de nombreux enseignements à travers les âges.
Alors, où est la différence entre ce que disent les Cassiopéens
et ce qui a déjà été dit?
Peut-être pouvons-nous
répondre à cette question en en posant une autre: quel bien cela
nous fait-il de savoir toutes les autres choses que les Cassiopéens
nous ont dites? A quoi cela sert-il ? Je suis une personne
TRES pratique. Pour
moi-même et pour mon mari, Ark, ce sont les RESULTATS qui comptent. Je pense qu’on pourrait appeler cela la « reconnaissance
des fruits », puisqu’il a été dit : « c’est
à leurs fruits que vous les reconnaîtrez ». Cela est bel et bon d’avoir
un aperçu du monde qui admette une unité sous-jacente de tout ce
qui est. Mais
en pratique, en dépit des prétentions d’innombrables instructeurs
et gourous tout au long de l’histoire, y compris une pléthore
de promoteurs Nouvel Age du genre “vous créez votre propre
réalité”, nous pouvons voir que cela n’est pas précisément
applicable à notre monde. Et cependant,
c’est bien ce que viennent de dire les Cassiopéens. Mais ils
ont ajouté quelque chose d’autre: “A CONDITION DE SAVOIR
COMMENT". C’est clairement
là qu’est le problème: nous ne savons pas comment. Et c’est dans le « savoir comment », dans
la création d’outils pour l’esprit et de la psyché qu’il
semble y avoir une différence. Concrètement: ce que disent les Cassiopéens
de notre réalité, c’est que lorsqu’on l’applique
d’une manière
qui devient évidente quand on en est conscient, ça marche. Nous avons déjà
traité divers aspects de cette question, et à présent je voudrais
prendre encore une direction différente pour voir s’il est
possible de rendre les choses plus « malléables ».
Outre mon idée
de la “reconnaissance des fruits”, il y a aussi ce que j’appellerai le facteur « Abracadabra ».
Dans ma maison il y a deux bibliothèques d’1m80 de haut sur
90cm de large, pleines de ce que j’appelle en plaisantant
la catégorie “Abracadabra”. Je ne sais pas ce que le
système décimal de Dewey ferait de tout cela, mais quand j’ai
lu un livre, je sais s’il doit être rangé dans cette section-là. Je n’aime
vraiment pas l’ambiguïté. Et il semble que beaucoup, et même
la majeure partie, des informations qui nous parviennent de prétendues
“sources supérieures” sont TRES ambiguës. Terry a un jour posé une question qui
a contribué à me faire comprendre ceci: 26-11-94 [mitigate:
rendre plus doux, moins rigoureux, moins strict;. (dictionnaire:
Le Robert pour Tous]
Eh bien j’ai
essayé! Et je m’approchais réellement du but, et puis ils
sont devenus ambigus envers moi! Mais l’important est que
les Cassiopéens tentaient de faire passer quelque chose à propos
des Symboles de la Réalité. Ils nous proposent l’idée que notre réalité
est une réalité symbolique. Mais remémorez-vous
la première déclaration : Chaque âme est toute-puissante et peu créer
ou détruire toute existence à condition de savoir comment. Vous et nous, et tous les autres,
nous sommes tous interconnectés par notre possession mutuelle de tout ce qui est. Vous pouvez créer des univers
alternatifs si vous le voulez, et y habiter. Chacun de vous est une réplique de l’univers
dans lequel vous résidez. Votre esprit représente tout ce qui existe.
C’est « amusant » de constater que l’on
a accès à autant de choses. Nous avons déjà
parlé du pseudo-symbolisme de la réalité: notre monde est très probablement
comme une “version limitée” d’une réalité plus
vaste, tout comme les ombres de Platon sur le mur de la caverne
étaient les symboles d’une réalité plus grande. Mais même si nous parlons d’espace
hyperdimensionnel et de 4e densité, nous parlons toujours d’un
point de vue matériel. Vous souvenez-vous du tesseract
(hypercube)? Eh bien maintenant nous dirons que TOUT est symbolique
dans un autre sens: symboles d’ idées et d’énergies
dans un sens strictement non-matériel. En outre, à mesure
que nous progressons, nous allons parler des réalités possibles
derrière ces symboles de 3e et de 4e densité, et plus important
encore, la RAISON pour laquelle il en est ainsi. Et nous verrons
que cela est directement lié à l’ambiguïté des informations
en provenance de mondes supérieurs. Michael Topper commente cette
“ambiguïté” ou “facteur Abracadabra” de
la manière suivante: Nous consultons le channeler fondamentalement
parce que nous sommes préoccupés,
d’une manière conceptuelle très ordinaire, comme toute
personne en équilibre précaire sur le fil psychologique qui surplombe
l’abîme temporalisé de l’existence. [...] Il nous conviendrait
toujours, ô combien, de savoir ce qui va arriver,
d’être informés des conséquences qu’auront les
alternatives confrontant la perplexité du moment de
décision. Nous voudrions obtenir des garanties, non seulement
pour nos engagements financiers, mais aussi pour nos engagements
psychiques; nous voudrions être rassurés à l’avance sur les
contingences habituelles. Et le channeler permet d’envisager
cette commode perspective. [...] Les myriades de voix transmises par channelling
auxquelles nous avons été soumis ces dernières années, présentent
en effet une avalanche de prédictions, d’avis sur le général
et le particulier, et une caractérisation massive de plans états,
niveaux et dimensions de réalités qui introduisent
d’autres magnitudes dans les questions ultimes
au sujet des buts et conséquences. Par les innombrables contributions de sources reçues en channelling, nous avons
en un certain sens été invités à ré-examiner tout le chapitre du succès en termes non-conventionnels,
de sorte que l’horizon sur lequel repose le graal de l’accomplissement
a été en quelque sorte élevé; les visions ont été élevées à la perspective
d’un point focal plus complet et crucial, sacré en
fait. Du côté positif, le phénomène du channelling a fourni un choeur verbal
de confirmations tendant collectivement à placer nos questions et
préoccupations habituelles dans un contexte décalé par de distinctes
considérations de l’Ame.
Les "réponses » à nos questions les plus triviales
quant à l’avenir, aux choix et aux résultats, ont reçu une
dimension supplémentaire de signifiant. Le plus commun d’entre
les écumeurs de matériel reçu en channelling est bien obligé de
percevoir, ne serait-ce qu’implicitement, l’influence qu’a tout choix
egotiste conventionnel sur la destinée plus vaste de la croissance
de l’âme. Peu importe, actuellement, que
des exhortations si emphatiques soient le résultat d’une intervention,
d’une intrusion verbale abrupte dans le courant méditatif
primordial qui coulait ostensiblement en direction de la valeur
unique de la cognition personnelle (sans intermédiaire) et de la
perception directe de ces modes très spirituels et hautement psychiques
décrits à présent des plus approximativement. Peu importe si le
phénomène tout entier semble, sous une certaine lumière, exprimer
l’impatience d’une intelligence de dimension
supérieure qui a longtemps attendu le lent développement personnel
caractéristique de ce « plan matériel ».
C’est pourquoi, ils font simplement intrusion, équipés
des informations nécessaires, à l’obtention d’un minimum
de quiétude méditative. Pour être équitable, certaines circonstances
de channelling semblent favoriser vraiment le progrès personnel
du channeler en ce que celui-ci parvient
à un accès direct aux plans, états, phénomènes et degrés d’intégration
esprit-corps, généralement décrite ou caractérisée verbalement par
une transmission par ventriloquie
(cf. le matériel Seth, et les quelques descriptions
faites par feue Jane Roberts de son développement personnel
entendu sur un « plan intérieur »). Mais dans la plupart
des cas, c’est l’attitude d’expression
Ryerson qui prévaut.
Il s’agit d’une curieuse dissociation qui se
produit entre la personne du channeler et le contenu de la
communication, et qui a pour résultat une substitution quasiment
totale de la description par la chose décrite.
Plus immédiatement, du côté négatif du phénomène, nous nous retrouvons
(dans cette avalanche de descriptions en provenance de sources
diverses) devant une collision plutôt qu’une confluence
fluide de matériaux. Aux niveaux supérieurs de conscience, non limités par
le cadre spatio-temporel du channeler dont la vue a été obscurcie,
il semble y avoir encore
rétrécissement ou divergences dans les caractérisations de la
Réalité. Il semble y avoir encore des
divisions concernant
ce qui est perçu ou connu, même dans ces plus vastes et supposément
plus complets Domaines de Connaissance. Tous ceux qui ont parcouru
une fois ou l’autre ces sources sous forme imprimée, ou qui
ont relu leurs notes prises lors de séances “sur le vif”,
doivent avoir observé (s’ils sont dotés d’un minimum
de conscience) que s’il est généralement admis qu’il
existe des états et plans supérieurs, d’autres ordres de connaissance
et d’action que ceux qui sont exprimés dans un contexte strictement
physique, il y a d’innombrables petites et grandes divergences
qui vont de petites variantes à une profusion de criantes contradictions.
Ceci est expliqué dans l’une de ces sources:
Cosmic Revelation reçu en "channelling"
par Virginia Essene et Ann Valentin, comme
étant une inévitable confusion
résultant du besoin urgent et sans précédent de dimensions supérieures,
de répandre des modèles changeants d’informations appartenant
à des « programmes éducationnels remaniés » rendus nécessaires par cette critique époque de transition que nous traversons
avec hésitation. Selon ces sources, cette confusion est due à la
nécessité de transmettre en suivant la hiérarchie spirituelle
d’êtres du plan intérieur
par l’intermédiaire desquels ces informations, formulées
aux échelons les plus élevés, doivent passer. Consistents avec ce
qui peut être récolté par d’autres sources de channelling,
les divers niveaux au travers desquels les ordres d’intelligence
transmettent les flux de données « vers le bas » formulent
les schémas d’information en fonction de la compréhension
de leur plan particulier. Déjà colorées par cette qualification,
les informations peuvent
être encore plus déformées au niveau du
channeler ou, selon la variable du « lien »
en question, il peut y avoir plus ou moins de recours à la mémoire
personnelle, à la matrice conceptuelle ou au vocabulaire propre
au channeler. Le produit verbal qui en résulte est de toute
manière éloigné de plusieurs pas dimensionnels de l’intention
originale. Ajoutons à cela que toutes ces connaissances
émanent, dans leur forme la plus haute, de niveaux d’intelligence
créatrice fondamentalement non-verbale, formulant tout processus
d’acquisition de connaissances en termes spirituels abstraits,
impossibles à traduire directement en concepts
faciles à saisir pour une structure axée sur le physique,
et nous semblons avoir ce qui paraît être, en surface, une explication
valable de la raison pour laquelle Seth et Hilarion ne sont
pas d’accord, pourquoi, Ramtha et le matériel « christique »
des « Nouveaux Enseignements » (New Teachings) se
querellent sur leurs étagères. [Topper, caractères mis en gras par
moi.] Cela semble certainement
expliquer le problème: différentes sources disent des choses différentes
à cause du processus de “filtrage” de haut en bas, depuis
les mondes supérieurs.
Et naturellement, lorsqu’elles atteignent le channel
(canal), elles sont encore plus déformées par rapport à la connaissance,
au vocabulaire et aux convictions du canal en question.
Donc, la solution
évidente est de rechercher des informations auprès des sources les
plus élevées possible.
C’est en
fait ce problème qui nous a poussés Frank et moi-même à mener notre
expérience de channelling de la manière dont nous l’avons
fait. Nous ne voulions pas nous satisfaire de “chers
disparus” qui n’ont généralement pas plus d’informations
ni de perspectives plus claires que nous-mêmes à notre niveau de
« contrôle » de 3e densité.
En fait, ainsi que je l’ai appris par nombreux de mes sujets
placés sous hypnose, et de nombreuses conversations avec des “chers
disparus”, le niveau d’ignorance à ce « stade » d’existence
est souvent abyssal! J’ai absolument refusé de gaspiller mon
temps avec des “chers disparus” parce que c’était
là un moyen infaillible d’aboutir à de
l’occultation délibérée, à de la désinformation innocente ou à des spéculations inutiles. Ainsi que l’a dit Cayce:
« Un Presbytérien mort n’est toujours qu’un Presbytérien
mort » . Et il
est de fait que la plupart des chers disparus se TROUVENT ENCORE
DANS LEUR PRISON! Mais pour en revenir
aux Symboles de Réalité
tels que mentionnés ci-dessus par les Cassiopéens: Q: (T) Alors, quand nous disons que: "La
Californie va tomber dans l’océan”, ce qui est l’analogie
que nous avons utilisée, nous parlons en fait des changements qui
surviendront sur la Terre, et de la possibilité de divers séismes
qui pourraient se produire le long de la faille et dont personne
ne connaît réellement l’ampleur ... Cette question
me rendait folle. Pourquoi
ne recevais-je donc jamais une réponse directe à mes questions?!
Bon. Ce n’est pas tout à fait juste. Les Cassiopéens nous ont donné de nombreuses
réponses directes, tant vérifiables que non vérifiables, sur de
nombreux sujets. Mais sur certains sujets, l’ambiguïté est
restée suspendue telle l’épée de
Damoclès. Il semble que c’était à moi de trouver. Comme je l’ai
écrit précédemment, j’avais lu, In Search of the Miraculous d’Ouspensky au milieu des
années 1980, et bien des choses écrites dans ce livre m’avaient
tellement outragée que j’avais littéralement jeté le livre
loin de moi. A cette époque, je devais rester
alitée et je n’avais rien d’autre à faire que de penser. Alors, j’avais jeté le livre
contre le mur de l’autre côté de la pièce, et j’écumais
de rage contre ce que Gurdjieff
avait dit (comme Carlos
Castaneda avait régi aux nombreuses choses dites par
Don Juan Matus) jusqu’à ce que, graduellement, j’eusse
récupéré mon calme. Alors,
une petite voix intérieure me suggéra de réfléchir à tout cela sans
laisser bouillir mes émotions.
Je méditai un peu sur le sujet, examinant en esprit les nombreuses
expériences de ma vie, et j’en vins rapidement à la conclusion
que ce que Gurdjieff disait ne décrivait peut-être pas le tableau
entier, mais qu’il allait dans la bonne direction. Alors, je demandai
qu’on vienne ramasser le livre et me remis à lire quelques
pages jusqu’à ce que, oui, à nouveau, je me sente outragée
et insultée, et que le livre atterrisse à nouveau sur le mur ! C’est
ce même livre que j’ai devant moi en ce moment, tenu ensemble
par du papier collant. Qu’avait
dit Gurdjieff de si offensant pour moi? Vous ne réalisez pas votre propre situation.
Vous êtes dans une prison. Tout ce que vous pouvez souhaiter, si
vous êtes un homme sensé, c’est d’y échapper.
Mais comment s’échapper ? Il faut creuser un tunnel
sous la muraille. Un seul homme ne peut rien faire. Mais supposons qu’il y ait dix ou vingt hommes; s’ils
travaillent chacun à leur tour et qu’ils se couvrent mutuellement,
ils peuvent terminer le tunnel et s’enfuir.
En outre, personne ne peut s’échapper
de la prison sans l’aide de ceux qui s’en sont enfuis
avant. Eux seuls peuvent dire comment la fuite
est possible, ou envoyer des outils, des limes ou d’autres
choses nécessaires. Mais un prisonnier isolé ne peut trouver
ces gens ni entrer en contact avec eux. ...Il faut comprendre que l’essence de
l’homme, dans la vie et dans la mort, si elle existe après
la mort, peut être de qualité
très différente. L’ « homme-machine »
pour lequel tout dépend des influences extérieures, à qui tout arrive,
qui est d’une manière à un moment et autrement le moment
d’après et encore un autre le moment suivant, n’a aucun
avenir: il est enterré et c’est tout. Ce qui est poussière redevient poussière. Cela s’applique à lui. Afin de pouvoir parler d’une quelconque
vie future, une certaine cristallisation est nécessaire, une certaine
fusion des qualités intérieures de l’homme, une certaine indépendance
par rapport aux influences extérieures.
S’il y a dans l’homme quelque chose qui permette
de résister aux influences extérieures, alors cette chose doit aussi
pouvoir résister à la mort du corps physique... La fusion, l’unité intérieure, s’obtient
au moyen de la 'friction,' par la lutte entre le « oui »
et le « non » dans l’homme.
Si un homme vit sans lutte intérieure, si tout se produit
en lui sans qu’il y ait d’opposition, s’il s’en
va où il est attiré ou poussé par le vent, il restera tel qu’il
est. Mais s’il
y a lutte à l’intérieur de lui-même, en particulier si cette
lutte est orientée, alors, peu à peu des traits permanents commencent
à se former, il commence à « cristalliser ». Mais la cristallisation peut se faire sur une bonne
base ou sur une mauvaise base.
Sur une mauvaise base il peut aisément y avoir « friction » :
la lutte entre le « oui » et le « non ».
Par exemple, une croyance fanatique en une quelconque idée,
ou la peur du “péché” peut provoquer une lutte terrible
et intense entre le « oui » et le « non », et
on peut cristalliser sur ces bases. Mais il s’agit là d’une
cristallisation erronée et incomplète.
Un tel homme n’aura pas la possibilité de se développer. Pour rendre possible un développement
ultérieur il doit se refondre et ceci ne peut s’accomplir
qu’au prix de terribles souffrances.
La cristallisation peut se produire à partir
de n’importe quelle base.
Prenons pour exemple un brigand ; un bon brigand authentique.
J’ai connu de tels brigands dans le Caucase.
Il peut rester embusqué avec son fusil derrière une pierre
près du chemin, sans bouger pendant huit heures.
Pourriez-vous faire cela? Mais pendant tout ce temps, se
déroule en lui une lutte.
Il a soif et chaud, et les mouches le tourmentent, mais il
reste immobile. Autre exemple, celui d’un
moine. Il a peur du
diable. Toute la nuit il cogne sa tête sur le
sol et prie. C’est ainsi que la cristallisation se produit. C’est ainsi que les gens peuvent
produire en eux-mêmes une énorme force intérieure; ils peuvent endurer
des tortures; ils peuvent obtenir ce qu’ils veulent. Cela signifie alors qu’il y a en eux quelque chose
de solide, quelque chose de permanent.
De telles personnes peuvent devenir immortelles. Mais quel
est l’avantage ?
Un homme de cette sorte devient une « chose immortelle »
bien qu’un certain degré de conscience soit parfois encore
présent en lui. Mais même cela, il faut s’en souvenir,
ne se produit que très rarement. De quelle manière suscite-t-on en soi une lutte
entre le “oui” et le “non”?
Il faut le sacrifice. Si on ne sacrifie rien, on n’obtient
rien. Et il est nécessaire
de sacrifier quelque chose qui est
précieux à ce moment, il faut sacrifier pendant longtemps
et sacrifier beaucoup.
Mais pas pour toujours, cependant.
Ceci doit être compris, parce que, souvent, on ne le comprend
pas. Le
sacrifice n’est nécessaire que pendant la durée du processus
de cristallisation. Quand la cristallisation est achevée, renoncement, privations, et sacrifices ne sont plus nécessaires. [Ouspensky,
1949, 1977] Lorsque j’ai
commencé à réfléchir au POURQUOI des symboles de réalité, je me
suis souvenue de ce passage. J’ai senti qu’il
y avait quelque part une connexion.
Ce passage semble dire, en opposition à de nombreux enseignements
actuels, qu’en tant qu’êtres de la 3e densité il se
pourrait que nous ne soyons pas aussi spéciaux, ni élus, ni merveilleux
que ne nous l’ont enseigné la plupart des religions du monde
et les mouvements qui en découlent. Les commentaires de Gurdjieff vont à l’encontre
des dogmes-standard Nouvel Age, qui disent que la plupart d’entre
nous sont des “êtres spéciaux”, même si nous avons commis
quelques méchantes erreurs. Quelques existences permettront
de redresser tout ça, et nous serons brillants comme des sous neufs. Si nous ne pensons qu’à
de bonnes choses, nous pouvons créer une bonne réalité, parce que
nous créons ce sur quoi nous nous concentrons, donc nous devons
oublier les choses mauvaises ou négatives et "love is all you
need" La la la la la! (il n’y a que l’amour qui
compte) Mais Gurdjieff
dit que nous sommes dans une PRISON et qu’il n’y a aucun
espoir de s’en échapper sans avoir certaines connaissances,
la première étant de réaliser que nous nous TROUVONS effectivement
dans une prison. Ensuite, qu’il nous est impossible de
nous en échapper sans une aide et des efforts groupés, et que cette
aide ne peut être obtenue, qu’il est impossible d’y
avoir accès, sans une certaine « cristallisation »
ou effort. Il semble aussi vouloir dire que nos
concepts selon lesquels les “âmes” sont intégrées
et consistantes pourraient bien être légèrement égotistes et tout
à fait infondés! Voilà qui est
plutôt effrayant! Souvenez-vous
de ce que dit Don Juan à Carlos Castaneda dans l’extrait de la série Abduction: ... Il y a un prédateur qui vient des profondeurs
du cosmos et qui a
pris le commandement de nos vies.
Les êtres humains sont ses prisonniers. Le prédateur est notre seigneur et maître. Il nous
a rendus dociles, sans défense.
Si nous voulons protester, il supprime nos protestations. Si nous voulons agir dans l’indépendance,
il exige que nous ne le fassions pas [agir dans l’indépendance
...] Par vos seuls efforts, vous êtes parvenu à ce que les chamans
de l’ancien Mexique appelaient la question des questions.
J’ai tourné autour du pot pendant
tout ce temps, essayant de vous faire comprendre que quelque
chose nous retient prisonniers. En vérité, nous sommes prisonniers!
Cela était un fait d’énergie pour les sorciers de l’ancien
Mexique. Pourquoi est-ce que ce prédateur nous domine de la façon que vous décrivez,
Don Juan?' demandai-je. Il doit y avoir une explication logique.'
“Il y a une explication” répondit
Don Juan, “qui est la plus simple du monde. Les prédateurs
nous dominent parce que nous sommes leur nourriture, et ils nous
écrasent sans merci parce que nous sommes leur subsistance.
Exactement comme nous élevons des poulets dans des poulaillers,
les prédateurs nous élèvent dans des cages à humains. Ainsi, ils ont toujours leur nourriture sous la main.' Je sentis que ma tête se mettait à trembler
violemment. J’étais incapable d’exprimer mon profond
malaise et mon mécontentement, mais mon corps se mouvait de manière
à exprimer cela. Je me mis à trembler de la tête aux
pieds, involontairement. 'Non, non, non, non,' m’entendis-je dire.
« Cela est absurde, Don Juan. Ce que vous dites est monstrueux. Cela ne peut être vrai ni pour les sorciers,
ni pour l’homme moyen, ni pour personne ». Pourquoi pas?' demanda calmement Don Juan. Pourquoi
pas? Parce que cela vous met en fureur?' "Oui, cela me met en fureur' rétorquai-je.
Ces affirmations sont monstrueuses!' [...] “Je vais faire appel à votre esprit analytique”
dit Don Juan.
Réfléchissez un moment et dites-moi comment vous pouvez expliquer
la contradiction entre
l’intelligence de l’homme ingénieux et la stupidité
de ses systèmes de croyance, ou la stupidité de son comportement
contradictoire. Les sorciers croient que les prédateurs nous ont
donné nos systèmes de croyance, nos idées du bien et du mal, nos
conventions sociales. Ce sont eux qui ont construit nos espoirs
et nos attentes et nos rêves de succès ou d’échec.
Ils nous ont donné la convoitise, l’avidité et la couardise. Ce sont les prédateurs qui nous font
complaisants, routiniers et égocentriques.' Mais comment peuvent-ils faire cela, Don Juan?”
demandai-je, encore plus en colère par ce qu’il venait de
me dire. « Est-ce
qu’ils nous murmurent tout cela à l’oreille pendant
que nous dormons ? »' 'Non, non, ils ne le font pas comme cela.
C’est idiot, ça!' dit Don Juan en souriant. Ils sont
infiniment plus efficaces et organisés que cela. Pour nous garder obéissants, dociles
et faibles, les prédateurs ont entrepris une manœuvre étonnante - étonnante du point de vue stratégique,
s’entend ! Une manoeuvre horrible du point de vue des
victimes. Ils ont
mis en nous leur esprit! M’entendez-vous?
Les prédateurs nous ont donné leur esprit, qui est devenu
notre esprit. L’esprit des prédateurs est
baroque, contradictoire, morose, rempli de la peur d’être
découverts à tout instant. Don Juan poursuivit: 'Je sais que, même si vous
n’avez jamais souffert de la faim... vous avez la peur de
la faim... ce qui n’est autre chose que la peur éprouvée par
les prédateurs qui craignent à tout moment que leur manoeuvre soit
découverte et qu’ils n’aient ainsi plus accès à leur
source de nourriture
Par l’esprit, qui est après tout leur esprit, les prédateurs
instillent dans la vie des êtres humains ce qui leur chante. Et ils s’assurent de cette manière
une certaine sécurité qui agit comme tampon contre leur peur.' [Castaneda,
1998, pp. 213-220] Notez plus particulièrement
la remarque de Don Juan: ... les prédateurs nous ont instillé nos systèmes
de croyance, nos idées du bien et du mal, nos conventions sociales.
Ce sont eux qui ont construit nos espoirs et nos attentes et nos
rêves de succès ou d’échec.
Ils nous ont donné la convoitise, l’avidité et la couardise. Ce sont les prédateurs qui nous font complaisants, routiniers
et égocentriques. Ce qui est dit
essentiellement ici, c’est que “rien n’est comme
il semble et ne l’a JAMAIS été ! Nous ne pouvons nous
fier à pratiquement rien en ce qui concerne notre réalité, si nous
nous efforçons de la voir au travers de nos "systèmes de croyance, nos idées
du bien et du mal, nos conventions sociales" . Nous sommes informés par Gurdjieff, Don Juan et les Cassiopéens
que nos “geôliers” sont ceux qui construisent nos espoirs,
nos attentes et nos rêves de succès ou d’échec - et nous notons que ces choses: nos croyances, espoirs,
rêves et idées du bien et du mal-
sont toutes des idées reçues il y a des millénaires, de sources
de channelling. Nous
consultons prêtres, prêtresses, pasteurs, Bible, Coran, Védas,
et de nos jours d’innombrables livres reçus en channelling
parce que nous sommes, comme l’a noté
MT, " préoccupés, d’une manière
conceptuelle très ordinaire , ... C’est toujours tellement
commode de pouvoir voir le futur , être informés des conséquences
[de nos choix]..." Et les nombreuses sources que nous consultons offrent
en vérité les « réponses ».
Comme l’a noté
MT: Les myriades de voix en channelling entendues
ces dernières années, proposent en effet une avalanche de prédictions, d’avis généraux et particuliers,
et une caractérisation massive de plans, états, niveaux et dimensions de réalité qui introduisent
d’autres magnitudes dans les questions ultimes de raisons
et de conséquences.
Alors, qu’est-ce
qui ne va pas là-dedans? Est-ce
que ce n’est pas une bonne chose que nous soyons conduits
à penser à notre réalité autrement qu’en termes matériels ? Est-ce qu’il n’est pas bon en général de
prendre conscience du fait que notre vie a une signification dans
un contexte plus large, cosmique ?
Est-ce que ce n’est pas bon de recevoir quelques informations
et descriptions de niveaux supérieurs de
réalité, auxquels nous pourrons accéder si nous adhérons aux principes
spirituels qui nous sont présentés ? Est-ce qu’ils ne sont pas tous d’accord
sur le principe, et est-ce que cela a de l’importance de choisir
un système plutôt qu’un autre ?
Est-ce que la plupart d’entre eux ne disent pas que
“tous les chemins mènent à Rome » ?
Est-ce qu’ils ne nous encouragent pas à créer notre
propre réalité » afin d’être “sauvés”, ou
autres choses du genre selon les versions proposées? Et cependant, Gurdjieff, Don Juan, et les Cassiopéens
disent que nous sommes prisonniers et ils s’opposent là à
la vaste majorité des autres enseignements. Les Cassiopéens
ont dit: 21-01-95 26-12-98 Cela ne semble
vraiment pas très amical! Et il y a autre chose à prendre en considération. Le matériel Ra a été, pour autant que je sache, le premier exposé sur
des densités par l’intermédiaire de channelling. Mais des idées considérant les “octaves de la
réalité” comme
SEPT niveaux d’expérience avaient déjà été enseignées par
Gurdjieff et dans certains de ses travaux ultérieurs. Pour autant
qu’on le sache, Gurdjieff a reçu des enseignements dans des
centres soufis secrets d’Asie Mineure. Il a souvent répété que l’Homme
était « nourriture pour la Lune ». Et ce qu’il a dit là équivaut pratiquement à dire que
la 3e densité est une prison, et que le seul moyen d’en
sortir est « d’obtenir son diplôme »
pour passer en 4e densité. Il a fait une
autre remarque curieuse, qui m’a fort intriguée. (je conseillerais aux lecteurs de se procurer un exemplaire
du l’œuvre d’ Ouspensky In Search of the Miraculous afin de se faire une idée de ces matières, mais
je vais m’efforcer de condenser l’idée). Pour bien se faire
comprendre, Gurdjieff a décrit ces différents états, d’une
manière qui suggère clairement des densités: 1) Absolu, 2) Tous
les mondes, 3) Tous les Soleils (étoiles), 4) Le Soleil, 5) Toutes
les planètes, 6) La Terre, 7) La Lune. On peut comprendre comment
tout cela correspond à des densités en lisant le livre.
Mais, pour en revenir au choc que j’ai éprouvé en lisant
ce que Gurdjieff disait: Ouspensky avait eu une conversation avec
Gurdjieff et celui-ci écrit: G. dessina un petit diagramme et tenta d’expliquer
ce qu’il appelait la “corrélation des forces dans les
différents mondes” .
Ceci découlait d’une conversation précédente sur les
facteurs influençant l’humanité. L’idée générale était
la suivante : l’humanité, ou plus correctement dit, la
vie organique sur Terre, est influencée simultanément par diverses
sources et divers mondes... Toutes ces influences se produisent
simultanément; une influence prédomine à un moment, une autre influence
prédomine à un autre moment. Et l’Homme a une certaine possibilité
de choix parmi ces influences; c’est-à-dire qu’il peut
passer d’une influence à une autre. ...Il est impossible de
se libérer d’une influence sans être soumis à une autre. Le
tout, tout le travail sur soi, consiste à choisir l’influence
à laquelle on veut être soumis, et à passer réellement sous cette
influence. Et pour ce faire, il faut savoir à l’avance quelle
influence est la plus favorable. En quels termes se trouve l’intelligence
terrestre par rapport à l’intelligence du soleil ?”
demandai-je. « L’intelligence du Soleil est divine”
répondit G. Mais la Terre peut devenir pareille; mais naturellement
cela n’est pas garanti et la Terre pourrait tout aussi bien
mourir sans avoir rien accompli”.
De quoi cela dépend-il?' demandai-je? La réponse de G. fut très vague. Il y a une période bien précise pour accomplir
certaines choses, dit-il.
Si cette chose n’est pas accomplie en temps voulu,
la Terre pourrait périr sans avoir réalisé ce qu’elle aurait
pu réaliser.' Sait-on ce qui est entendu par ce “en
temps voulu” ? demandai-je. Il est connu,' dit G. “Mais
ce ne serait bon pour personne de le connaître. Ce pourrait même être bien plus mauvais. Certains le croiraient, d’autres
ne croiraient pas, d’autres encore exigeraient des preuves. Ensuite les uns commenceraient à casser
la tête aux autres. Tout finit comme cela avec les gens.' [Ouspensky,
c’est moi qui ai mis en gras certaines parties de phrases.] Je suis convaincue
que Gurdjieff fait ici allusion à l’Onde et à la possibilité
pour la Terre de passer en 4e densité, et à la “réussite”
ou à la “moisson” pour certains individus passés en
état de 4e densité. Comme nous l’avons noté, il y a un nombre infini
de futurs possibles en un point donné de « bifurcation »
de l’univers. Il
semble que ces choix se rétrécissent à mesure que l’on approche
du moment de fusion ou de bifurcation.
Et il semble aussi que
la direction que prend la Terre en ce moment, à en juger
par les signes que nous observons dans notre environnement, n’est
PAS le futur que nous voudrions voir se manifester.
Et il se pourrait bien que ce soient
nos religions et croyances religieuses ainsi que de nombreux messages
reçus de nos jours en channeling, qui nous ont amenés en ce point
périlleux et qui continuent à nous propulser en quelque sorte dans
cette même direction. Donc, ce que je
veux dire, c’est ceci: tout comme les enseignements des Cassiopéens
ont produit un changement REEL de nature très spectaculaire dans
ma réalité personnelle, et
que ces mêmes effets se sont manifestés dans la vie d’autres
personnes qui ont adopté ce “SCHEMA DE REALITE”,"
il se pourrait que nous avons une opportunité de choisir un futur
différent en devenant conscients... et que cela est aussi présent
dans la discussion de Gurdjieff
sur le fait qu’il nous faut prendre conscience que
nous sommes dans une prison, avant de pouvoir imaginer comment en
sortir. A un certain niveau, oui, c’est une prison que nous
avons choisie lorsque nous sommes entrés en 3e densité. Mais en entrant, nous avons accepté
d’oublier notre « vraie nature » et de fonctionner
dans la réalité qui nous a été attribuée afin d’ « apprendre ». Cela ne sert pas à grand chose
de parler en termes d’ « unicité cosmique » ni de
dire que “nous sommes, en notre vraie nature, des êtres tout-puissants »,
parce que PAR CHOIX nous n’avons pas accès à ces réalités. Et l’accès à la chaîne des circonstances, à la
chaîne des choix, doit semble-t-il, être obtenu en étapes logiques.
Il est possible que nous ayons la possibilité d’ “accélérer”
notre progression, mais apparemment, il n’est « pas bien
vu » de tenter de “sauter” des leçons. Bien peu nombreux
sont ceux qui sont capables de méditer sur l”Unicité Cosmique”
et de sauter pouf! Comme ça
en 7e densité et d’en avoir fini avec tout le sale
boulot. Et il se pourrait
bien qu’en réalité ce ne soit pas cela qui est souhaité au
niveau le plus profond. J’ai
un jour posé la question aux Cassiopéens: 28-12-96 Et remémorez-vous
ce que les Cassiopéens ont dit au début de ce chapitre: c’est
“amusant” de voir combien de choses nous sont accessibles. Dès lors, je ne pense pas que le but est de trouver
des raccourcis vers la 7e densité. Le but c’est de suivre “la route pavée”,
de s’engager dans l’aventure, et la tâche, en ce moment,
semble être que nous nous trouvons dans une prison et qu’il
nous faut trouver le moyen d’en sortir. Mais il ne sert
à rien, dans le cadre de la leçon, de considérer la prison comme
n’existant pas, à moins que nous n’en soyons les créateurs.
Elle a manifestement été “construite” à partir d’un
niveau de réalité que nous ne sommes pas encore capables d’atteindre,
(une fois encore, parce qu’à un niveau beaucoup plus élevé
nous avons choisi ce drame); dès lors, il est inutile de dire que
si l’on n’y pense pas ou si on ne se concentre pas dessus,
la prison n’existera pas. C’est un complet non-sens
si l’on considère le problème dans sa portée la plus large.
Nous sommes DANS UNE PRISON.
Mais ce n’est pas parce que nous y pensons ou que nous
concentrons nos pensées dessus à ce niveau-ci que nous y sommes. En
fait, si nous n’y pensons pas ou si nous ne focalisons pas
dessus, si nous n’apprenons pas tout ce qu’il y a moyen
d’apprendre à ce sujet et les moyens de s’en échapper,
nous choisirons par défaut de continuer à vivre dans ses murs! Si nous considérons
comme une prison les limites de notre état actuel, et si nous nous
efforçons de nous en échapper, nous avons un espoir de pouvoir le
faire - d’apprendre notre leçon actuelle. Si nous décidons de rester
dans notre prison, de rester dans les limites de notre état actuel,
ce qui est manifestement le cas, et que nous nous en débarrassons
par la pensée en ne la voyant pas comme une prison, nous n’aurons
rien fait d’autre que « changer la couleur des murs »
ou autre chose de ce genre. Nous aurons alors changé
l’apparence de la prison
pour celle d’un parc ou d’un hôtel de luxe.
Mais nous n’aurons RIEN fait pour sortir dans le vaste
monde. Et il semble que
nous soyons mal informés par ces sources qui nous enseignent que
nous pouvons faire cela: qu’il suffit de “se focaliser
sur” ou de “penser” à des choses agréables ... qu’on a accès à tout, que
nous sommes tous « un » etc.
Faire cela, revient simplement à “choisir la pilule
bleue” comme dans The Matrix, c’est refuser de se réveiller, c’est
alimenter toujours davantage en énergie le système qui nous tient
aveugles et captifs. Oui,
si vous vous contentez d’avoir de
bonnes pensées et de vous « entourer d’amour et de lumière »
vous entretiendrez certainement une illusion de paradis. Mais de
telles illusions ont une fâcheuse tendance à s’évanouir.
Ce n’est pas que les faiseurs d’illusions n’aient
pas le désir permanent d’entretenir en permanence ces illusions
et de les reconstruire après chaque calamité; il est même possible
qu’après de nombreuses vies passées à ces expériences ils
en viennent à une complète désillusion qui les mène alors à rechercher
la VRAIE nature de la réalité telle qu’elle EST, et non comme
ils voudraient qu’elle soit, et qu’ils commencent alors
à réaliser qu’ils sont dans une prison.
La plupart des
enseignements et systèmes de croyance
ont justement pour but de perpétuer de telles illusions.
Ces systèmes sont construits presqu’exclusivement sur la foi. Et c’est là qu’est l’os: la vraie raison
d’être de ces enseignements qui disent que l’on crée
sa propre réalité par la pensée et la focalisation c’est qu’ils
sont des MANOEUVRES DEFENSIVES qui cachent la vraie nature du
Cosmos! Dans de tels enseignements
il n’est absolument pas permis de défier le système. La raison en est qu’il s’agit
d’un monde fragile qui doit être protégé à tout prix. C’est un domino théologique qui, si on le fait
tomber, fait tomber tous les autres mensonges, et les illusions
se mettent à tomber aussi.
Dans un tel système, tous les éléments de la vie doivent
trouver leur place. C’est-à-dire qu’il n’y
a en fait pas de mal; et s’il y a un mal apparent, ce n’est
que parce que vous lui avez permis d’apparaître en y pensant.
Aucune ambiguïté à ce propos ne peut être tolérée. Le mystère est hors-la-loi et le doute
envoyé en exil. Tous
ceux qui pensent différemment sont une menace, et il faut se garder
de telles personnes afin de se protéger de la contamination. Naturellement, le mieux est de les « convertir »
en les bombardant d’amour et de lumière. La foi, telle
qu’elle est généralement comprise, recherche toujours l’ordre
au milieu du désordre. Elle bâtit des mondes habitables au
milieu du chaos et
de l’absurdité. Il vaut mieux vivre dans la crainte respectueuse
du MYSTERE, de FAIRE UN CHOIX quand il y a un doute, que d’avoir
foi en une illusion. Le doute n’est
pas l’adversaire de la foi.
Il est son frère. L’opposé de la foi c’est le
pharisaïsme. Lorsque nous observons
de tels systèmes bâtis sur la foi, que voyons-nous? Nous voyons que
ces systèmes font quelque chose de très bizarre: ils parviennent
à produire un sentiment aigu de culpabilité dans ceux qui ne sont
pas capables de “concrétiser” tous leurs besoins et
désirs, c’est-à-dire chez pratiquement tout le monde dans
certains cas, et chez la plupart le plus souvent. Et
alors, ils « vendent
un remède au sentiment de
culpabilité » sous forme d’autres enseignements,
d’autres séminaires, d’autres livres et d’ autres
verbiages censés résoudre le problème. En fait, ils provoquent un
syndrome qu’ils “guérissent” ensuite. Seulement, personne ne semble remarquer
ce petit fait. Au commencement,
pour l’âme en train de se noyer, ces enseignements paraissent
être une bouée de sauvetage.
Mais par la suite ils se révèlent être une camisole de force. Réfléchissez à ceci: la plupart de ceux qui recommandent le “voyage
de la foi”, que leurs allégations proviennent
de religions-standard ou de versions Nouvel Age du style
“c’est vous qui créez votre propre réalité” (ce
qui revient au même) rencontrent aussi dans leur propre vie les
mêmes déceptions et chagrins. La réponse est généralement une pieuse
supposition que Dieu/le Soi a envoyé l’expérience pour une
bonne raison. Quand
quelque chose de positif se produit/se manifeste, on suppose que Dieu/le Soi a répondu à une prière/affirmation.
Le seul problème
est que lorsqu’on fait le compte des déceptions et des succès,
leur nombre est également réparti, SANS DISTINCTION DE CROYANCE. On commence dès lors à comprendre que quelque
chose d’autre se passe en coulisse, et que déceptions et succès
sont des SYMBOLES de quelque chose d’autre. Oui, les échecs
et l’immaturité humains sont une explication adéquate de pratiquement
tout cela, et voilà où nous voulons en venir: apprendre le pourquoi
des échecs et de l’immaturité humains, en apprendre les causes
et les origines, voilà la prison décrite par Don Juan: Pensez un moment, et dites-moi comment vous pourriez expliquer la
contradiction entre l’homme ingénieux et la stupidité
de son système de croyances ou la stupidité de ses comportements
contradictoires. Les sorciers croient que les prédateurs nous
ont donné nos systèmes de croyance, nos idées du bien et du mal,
et nos mœurs sociales.
Ce sont eux qui ont créé nos espoirs et nos attentes, et
nos rêves de succès ou d’échec.
Ce sont eux qui ont mis en nous la convoitise, l’avidité
et la couardise. Ce sont les prédateurs qui nous ont
fait complaisants, Ce sont les prédateurs qui nous rendent dociles,
routiniers et égocentriques,' Et lorsque vous
commencez à penser de cette manière, lorsque vous commencez à penser
à la 3e densité et à la domination
d’êtres qui représentent des
"forces," alors vous commencez à réaliser qu’il
s’agit là d’une prison, d’un dédale, qui a été
choisi pour apprendre. Un correspondant
a écrit: Je commence à voir ce que j’appellerai
simplement un “culte des Lézards”
c’est-à-dire
une intolérable concentration
et fascination pour ceux-ci, au point qu’une rumination sans
fin, des « et si » sans fin, et des spéculations sans
fin sur les causes de ceci et les résultats de cela, commencent
à envahir nos pensées quotidiennes. Nous sommes ici en tant qu’êtres
dotés de sens, conscients, nés dans un monde physique qui est parfois
frustrant pour certains d’entre nous, mais dont nous faisons
partie; et nous ne pouvons pas nous défaire des lois, ni de la nature
de ce monde parce qu’il n’est pas temps de le faire.
Cela est très simple et devrait être
évident pour tous. En
ce qui me concerne, les Lézards peuvent bien aller au diable, et
je ne ferai pas des Cassiopéens d’autres substituts de gourous
ou de dieux ou de source de la plus grande sagesse.
Je trouve personnellement que ce qu’ils ont à faire
est d’un très grand intérêt ; et j’ai appris à
regarder autour de moi avec les yeux plus ouverts que ce n’était
le cas auparavant, mais, tout en gardant à l’esprit ce qu’ils
m’ont appris, je continuerai à prendre mes propres décisions
et à suivre ma propre conscience, et à suivre ma propre intuition
en ce qui concerne la vie, l’amour et la recherche du bonheur,
jusqu’à ce que je sois transporté dans les airs, ou ce qu’on
voudra. Ou laissé pour
compte. Ce que le correspondant
veut dire ici, et c’est là l’important, c’est
qu’il est aussi dangereux d’utiliser les “Lézards”
comme béquilles ou pour expliquer l’absence de succès que
de dire que c’est parce que nous n’avons pas eu assez
foi en ceci ou cela qui fait partie de la réalité. Mais il est aussi
dangereux de dire “que les Lézards aillent au diable”,
parce qu’alors il n’est pas tenu pleinement compte de
la notion d’emprisonnement. Jusqu’à ce que nous connaissions
la vraie nature de la prison et les habitudes des geôliers,, il
ne nous sera pas possible ne nous échapper. Et il est vrai également
que pour certains le “temps n’est pas venu”.
Ils n’ont aucun désir de voir ou d’examiner la situation dans la profondeur et le détail nécessaires pour
“devenir libres”. Mais l’examen
de la situation doit aboutir à quelque
chose, sinon, cela ne sert à rien. Et voilà le fond de l’affaire:
“la reconnaissance des fruits”. Il y a une discussion
intéressante à ce sujet dans
The Fourth Way d’Ouspensky, et je la reproduis ici pour votre plaisir.
Il paraît évident d’après ce que nous pouvons inférer,
que Gurdjieff était au courant des "Lézards," d’une
manière ou une autre, bien que cela n’ait sans doute pas été
le système sur lequel il a basé ses travaux. Gurdjieff a été l’instructeur
d’Ouspensky, et il ressort clairement des recherches et allusions
faites par Gurdjieff lui-même, qu’il a plus ou moins ajouté
son grain de sel à de très anciens enseignements.
Dans le dialogue qui suit, c’est Ouspensky qui répond
aux questions qui lui sont posées par le public au cours d’une
réunion dans la décennie qui a précédé sa mort qui a eu lieu
en 1947: Q: Est-ce que ce sont les différentes lois sous
l’influence desquelles nous nous trouvons qui produisent les
différents “moi” qui sont en nous? R: Oui, elles sont très nombreuses. Des forces
traversent l’homme et il les prend pour ses propres désirs,
sympathies, attirances. Mais ce ne sont que des forces qui le traversent,
en provenance de toutes les
directions. Q: Vous avez dit que nous sommes sous la Loi
de l’accident. De quelle source d’influence provient
cette loi? Pouvons-nous nous en libérer? R: L’accident a de nombreuses manifestations
différentes. Les formes les plus simples commencent à disparaître
très rapidement lorsque nous sommes mieux éveillés. Mais ne
prenez pas ceci littéralement: cette loi est très large et a de
nombreux aspects. C’est une question de degré. Il
n’y a que dans l’Absolu que les choses sont absolues. Pour nous c’est comme un long escalier, et à
chaque marche on est plus libre.
Si on est en bas, on ne peut pas parler de ce qui se passera
quand on sera au sommet. Nous
pouvons seulement dire : “si je me mets à travailler
de manière à me libérer des lois de l’accident, est-ce que
ma vie deviendra moins chaotique? ». Il est certain que si vous gardez un
but en permanence, vous serez libéré des buts accidentels. Q: Comment pouvons-nous nous libérer des mauvaises
influences? R : Avant de pouvoir penser à “agir”
nous devons essayer de comprendre ce que sont ces influences. C’est
une erreur que tout le monde fait constamment: penser qu’on
peut agir. Nous ne pouvons pas « agir », mais si nous
savons, nous pouvons arriver à changer quelque chose. [et nous
pouvons commencer à savoir lorsque nous nous ouvrons à des forces
supérieures] ...Les forces ou influences supérieures sont normales,
cosmiques; mais nous pouvons nous ouvrir pour les recevoir, ou nous
fermer à elles. Si nous sommes endormis nous sommes fermés à elles,
et plus nous sommes endormis plus nous sommes fermés à elles. Si nous nous éveillons, nous nous ouvrons
aux influences supérieures. Q: Puisque nous n’avons pas développé
nos centres supérieurs, comment recevons-nous les influences en
provenance de mondes supérieurs? R: Notre état ordinaire est relatif; dans nos
meilleurs moments nous
sommes réceptifs aux influences supérieures. Elles nous atteignent
par l’intermédiaire de centres. Bien que nous ne soyons pas
connectés en permanence aux centres supérieurs, ils nous influencent
s’ils ne sont pas ensevelis trop profondément, et quelque
chose parvient à nous atteindre à travers eux. . Q: Quel est le but de l’existence de l’Homme? R: L’homme et même toute l’humanité
n’existe pas séparément, mais en tant que partie de toute
la vie organique. La Terre a besoin de la vie organique
tout entière : êtres humains, animaux, plantes. Le Rayon de la Création est une branche
qui croît, et cette communication est nécessaire afin qu’elle
puisse croître davantage.
Tout est lié, rien n’est séparé, et les plus petites
choses, dès qu’elles existent, servent à quelque chose de
plus grand. ...La vie organique est une unité cosmique particulière
et l’homme est une unité qui fait partie de cette grande masse
de vie organique. Il
a la possibilité d’un plus grand développement, mais ce développement
dépend de l’effort et de la compréhension de l’homme
lui-même. Il entre dans les desseins cosmiques qu’un certain
nombre d’hommes se développent, mais pas tous, car cela viendrait
en contradiction avec un autre dessein cosmique.
Evidemment, l’humanité doit être sur la Terre et doit
vivre cette vie et souffrir. Mais un certain nombre d’hommes
peuvent y échapper; ceci entre aussi dans le dessein cosmique .... Q: Avez-vous dit qu’il est intentionnel
que certains d’entre nous se développeront? R : Pour autant que nous puissions le voir,
cela est sous la même loi que, disons, les accidents dans les rues.
Il est bien connu que dans toute grande ville, un certain
nombre de personnes périssent dans des accidents de circulation.
Qui sera tué ?
cela n’est pas prédéterminé ; il ne faut pas que
ce soit nécessairement telle ou telle personne, mais un certain nombre. De la même manière, un certain nombre
de gens PEUVENT avoir une chance d’y échapper, mais il n’y
a aucune obligation dans ce cas.
Voilà la différence. Q: Avons-nous la possibilité, ou devons-nous
la créer selon les circonstances? R: La possibilité est donnée. Toute personne
normale a cette possibilité. Le reste dépend de nous. Q: Sous combien de lois vit l’homme? R: Nous ne savons pas... Ce n’est pas
une question de catalogue mais de compréhension
de l’idée. L’Homme n’obéit pas à un certain type
de lois mais à de nombreux types différents.
En premier lieu, l’homme, la vie, toutes les créatures sur
Terre obéissent aux lois physiques, ce qui signifie qu’ils
ne peuvent vivre que dans certaines limites de température. Et il
doit y avoir un certain degré d’humidité dans l’air,
et l’air doit avoir une certaine composition chimique pour
que l’homme y puisse respirer. L’homme est également limité par les sortes de
nourriture qu’il peut digérer.
Toutes ces choses sont des lois pour l’homme. Ensuite, pour en venir à des lois très
simples, il y a par exemple notre ignorance. Nous ne nous connaissons
pas nous-mêmes. Cela
est une loi. Si
nous commençons à nous connaître nous-mêmes, nous nous débarrassons
d’une loi. Nous savons que tous les hommes vivent
sous la loi de l’identification... Ceux qui commencent à se
souvenir d’eux-mêmes se débarrassent de la loi d’identification. Donc, pour nous libérer nous-mêmes
des lois, il faut d’abord trouver une loi dont nous pouvons
nous libérer, puis nous en libérer.
Ensuite, quand nous nous sommes libérés de cette loi, nous
pouvons en trouver une autre.
Nous nous en libérons, et ainsi de suite. Voilà la manière
pratique d’étudier les lois. ...Il y a des lois qui nous
contraignent de tous côtés ou qui nous gardent en sujétion... Q: Pouvons-nous nous en libérer? R: Nous le pouvons, sous certains conditions. Les moyens entrent en jeu
ici. Les quatre moyens
sont des moyens de libération des lois non nécessaires. Le chemin
peut vous être montré, mais il vous faut travailler par vous-mêmes. La plupart des lois auxquelles nous
devons obéir sont le résultat de notre sommeil et de notre inconscience. Chaque pas que nous faisons sur
le chemin de la conscience nous rend plus libres. Considérons un homme qui serait satisfait d’une vie
mécanique. Il se coupe
dans ce cas d’ influences supérieures [qui pourraient lui
montrer comment s’éveiller] et il reçoit seulement des influences
[de niveaux inférieurs, y compris ses propres inclinations]. Il
est certain qu’il se trouve alors dans une position plus mauvaise
que l’homme qui reçoit des influences de mondes supérieurs.
De nombreuses influences peuvent être reçues mécaniquement,
mais d’autres nécessitent des efforts... [Ouspensky.
C’est moi qui ai mis certains caractères en gras.] Notez
particulièrement les remarques suivantes, extraites de ce qui précède: Les formes les plus simples [d’ accidents
ou attaques] commencent à disparaître très rapidement quand nous
sommes mieux éveillés. ...Quand nous savons, alors nous pouvons changer
quelque chose. Chaque pas que nous faisons vers la conscience
nous rend plus libres. Donc, pour nous libérer nous-mêmes des lois,
il faut d’abord trouver une loi dont nous pouvons nous libérer,
puis nous en libérer.
Ensuite, quand nous nous sommes libérés de cette loi, nous
pouvons en trouver une autre.
Nous nous en libérons, et ainsi de suite. Voilà la manière
pratique d’étudier les lois. .... Donc, la connaissance des "forces/lois," c’est-à-dire les Lézards qui sont nos adversaires dans le Grand Drame de la Création, est une étape CRUCIALE de la libération. Et nous allons entrer dans certains de ces exemples d’une manière très concrète. Vous vous souvenez que je vous ai dit que je suis une personne très pratique? Je n’aime pas l’abracadabra ni les déclarations nébuleuses, ambiguës qui ne mènent à aucun résultat utile, c’est pourquoi je vais partager avec vous certaines choses que nous avons apprises sur le chemin de la prise de conscience.
En tant que propriétaires et éditeurs de ces pages, nous souhaitons souligner que le matériel présenté ici est le fruit de notre recherche et de notre expérimentation en communication supraluminique. Nous nous demandons parfois si les Cassiopéens sont ce qu¹ils prétendent être, parce que nous ne tenons rien pour vérité indiscutable. Nous prenons tout "cum granulo salis", même si nous considérons qu¹il y a de bonnes chances que ce soit la vérité. Nous analysons constamment ce matériel ainsi que beaucoup d¹autres qui attirent notre attention, issus de divers domaines de la Science et du mysticisme. Honnêtement, nous ne savons pas CE QU'EST la vérité, mais nous croyons qu¹elle est « quelque part par là» et que nous pouvons sans doute en découvrir une partie. Oui, nous pouvons dire que nos vies ont été enrichies par ces contacts, mais certains éléments nous ont aussi rendus perplexes et nous ont désorientés, et ils restent encore à être clarifiés. Nous avons certes trouvé beaucoup de «confirmations» et de « corroborations » dans d¹autres domaines, entre autres la Science et l¹Histoire, mais il y a aussi de nombreux éléments qui, par nature, sont invérifiables. C¹est pourquoi nous invitons le lecteur à partager notre recherche de la Vérité en lisant avec un esprit ouvert, mais sceptique. Nous n¹encourageons pas « l'adepte-isme », ni aucune « Vraie Croyance ». Nous ENCOURAGEONS la recherche de la Connaissance et de la Conscience dans tous les domaines qui en valent la peine, comme le meilleur moyen de discerner le mensonge de la vérité. Voici ce que nous pouvons dire au lecteur: nous travaillons très dur, plusieurs heures par jour, et nous le faisons depuis de nombreuses années, pour découvrir la raison de notre existence sur Terre. C¹est notre vocation, notre queste, notre mission. Nous recherchons constamment à valider et/ou à affiner ce que nous envisageons comme possible, probable, ou les deux. Nous faisons cela avec l¹espoir sincère que toute l¹humanité pourra en bénéficier, si ce n¹est maintenant, alors dans un de nos futurs probables. Contactez l¹administrateur
web à cassiopaea.com You are visitor number . |