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Commentaires des Signes 23 fev 2004 , 14 &15 Mar 2004

Supplément des Signs: Armes Ethniques Spécifiques

Supplément des Signs: L'Assassinat de JFK

HITLER : Tel que le Peuple Allemand Le Connaît

—Série JFK—
Laura Knight-Jacdzyk

John F. Kennedy, le Pétrole et la Guerre à la Terreur

John F. Kennedy, le Services Secrets et les Riches Texans Fascistes

John F. Kennedy et la Conspiration Monolithique et Impitoyable

John F. Kennedy et les Titans

John F. Kennedy et les Cochons de Guerre

John F. Kennedy et la Psychopathologie de la Politique

John F. Kennedy, J. Edgar Hoover, le Crime Organisé et le Village Mondial

John F. Kennedy et tous ces "ismes"

Sim City et John F. Kennedy

Le Gladiateur : John Fitzgerald Kennedy

Les Débris de l'Histoire

—11 septembre

Jim Hoffman – Attrape-nigaud pour les Chercheurs de Vérité du 11 septembre - Joe Quinn

L'ADMINISTRATION BUSH ET le 11 SEPTEMBRE: 100 RAISONS DE DISSIDENCE

La Cinquième Colonne

Commentaires sur l'attaque du Pentagone

Les récits de témoins oculaires du crash du Pentagone ne riment à rien

Le Mossad et les Sociétés de Déménagement

Mahmoud Ahmad et le Culte Secret

Commentaires sur l'attaque du Pentagone

—Ponérologie & Psychopathie—

Ponérologie Politique : une Science sur la Nature du Mal adaptée à des Buts Politiques

Le Paysage Intérieur du Psychopathe de Herve Cleckley

Le Psychopathe - Le Masque de Santé Mentale

Le Culte le plus dangereux dans le Monde - Laura Knight-Jadczyk

L'Idée la plus dangereuse dans le Monde - Laura Knight-Jadczyk

"Culture officielle" en Amérique:
Un Etat Naturel de Psychopathie?

Exposé Greenbaum

Contrôle des Mots, Contrôle des Pensées, Contrôle du Monde

La Bible déconstruite

Le Livre Q et les Origines Chrétiennes

La Véritable Identité de Fulcanelli, les Quatre éléments et Le Code Da Vinci

Qui a écrit la Bible et pourquoi?

—Les catastrophes
cycliques—

Jour d'Indépendance

Le Monde Arrive-t-il à sa Fin?

Est-ce que notre Soleil a un compagnon sombre?

—Les mystères—

Extraits de l'Histoire Secrète du Monde

Introduction à La Science antique

La chimie de l'alchimie

Réalité hyperdimensionnelle

Qui a écrit la Bible et pourquoi?

La Véritable Identité de Fulcanelli et Le Code Da Vinci

 

Les portails organiques ? L' "autre" race - 1ère partie

Prédateur Spirituel – Prem Rawat alias Maharaji - Henry See

Qui parle au nom de la Vérité?

Chronologie de Cointelpro Cosmique 11, 12

Etoiles déchues

Un gouffre dans le coeur - John Kaminski

Le Jeu Global du Survivant: Les Quatre Prochaines Années de l'Amérique

La Bête et Son Empire

La Haute Étrangeté des Dimensions et le Processus d'Enlèvement Alien

Schwaller de Lubicz et le Quatrième Reich
2, 3, 4

La face obscure du Tibet

Jupiter, Nostradamus, Edgar Cayce, et le Retour des Mongols
1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13

Vérité ou Mensonge
1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
, 7a, 7b

Ouspensky, Gurdjieff et les Fragments d'un Enseignement inconnu

Picknett et Prince sur les Cassiopéens

Le Crop Circle de Chibolton et les Cassiopéens sur les Crop Circles

Jour D'Indépendance - KAH

Les portails organiques ? L' "autre" race - 2ième partie

L'Affaire OVNI de Morris Jessup

Meilleurs voeux pour un monde heureux

Tyrannie du pouvoir executif

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Chronologie de Cointelpro Cosmique
1914 - 1917

Traduction française: Henri R.


1914

Le Système de Réserve Fédérale commença ses opérations en 1914 par l'activité du Comité d'Organisation, nommé par Woodrow Wilson et composé du Ministre des Finances William McAdoo, qui était son gendre, du Secrétaire à l'Agriculture Houston et du Contrôleur de la Monnaie John Skelton Williams. [...]

La certification d'incorporation de la Banque de Réserve Fédérale de New York fut présentée officiellement le 18 mai 1914. Elle a pourvu trois directeurs de classe A représentant des banques membres dans la zone, trois directeurs de Classe B représentant le commerce, l'agriculture et l'industrie et trois directeurs de Classe C représentant le Conseil de la Réserve Fédérale. Les directeurs originaux furent élus en 1914; ils continuèrent à produire un programme énergique. Dans la première année d'organisation, la Banque de Réserve Fédérale de New York ne tint pas moins de 50 réunions.

Pendant beaucoup d'années, il y eut un mystère considérable sur qui possède en réalité la valeur de la Banque de Réserve Fédérale. Le membre du Congrès Wright Patman, le critique principal du Système, essaya de découvrir qui étaient les actionnaires. La valeur dans les douze Banques originales de Réserve Fédérale régionales fut achetée par des banques nationales dans ces douze régions. Parce que la Banque de Réserve Fédérale de New York devait fixer les taux d'intérêt et les opérations ouvertes directes du marché, contrôlant ainsi la provision quotidienne et le prix de l'argent partout dans les Etats-Unis, ce sont les actionnaires de cette banque qui sont les directeurs réels du système entier.

Les certificats d'organisation originaux des douze Banques de Réserve Fédérale, donnant la propriété des parts par les banques nationales dans chaque zone fournissent les détails : la Banque de Réserve Fédérale de New York a émis 203 053 parts et, comme classé avec le Contrôleur de la Monnaie le 19 mai 1914, les grandes banques de New York ont pris plus de la moitié des actions en circulation. La National City Bank contrôlée par Rockefeller, Kuhn, Loeb prit le plus grand nombre de parts de n'importe quelle banque, 30000 parts. La First National Bank de Morgan prit 15000 parts. Quand ces deux banques ont fusionné en 1955, elles possédaient en un bloc presque un quart des parts dans la Banque de Réserve Fédérale de New York, qui contrôlait le système entier et ainsi ils pouvaient nommer Paul Volcker ou un autre qu'ils choisissaient comme Président du Conseil d'Administration de la Réserve Fédérale.

La Chase National Bank prit 6000 parts. La Marine Nation Bank de Buffalo, plus tard connue comme la Marine Midland, prit 6000 parts. Cette banque appartenait à la famille Schoellkopf, qui contrôlait la Niagara Power Company et d'autres grands intérêts. La National Bank of Commerce de New York prit 21000 parts.

Ces intérêts ont fusionné et se sont consolidés ces dernières années, pour que le contrôle soit bien plus concentré. La National Bank of Commerce est maintenant la Morgan Guaranty Trust Company.  Lehman Brothers a fusionné avec Kuhn, Loeb Company, La First National Bank a fusionné avec la National City Bank et dans les onze autres Districts de la Réserve Fédérale, ces mêmes actionnaires possèdent ou contrôlent indirectement des parts dans ces banques, avec les autres parts appartenant aux familles principales dans ces secteurs qui possèdent ou contrôlent les industries principales dans ces régions. Les familles "locales" installent des conseils régionaux, sur des ordres de New York, de groupes tels que le Council on Foreign Relations (Conseil de Relations avec l'Etranger), la Commission Trilatérale et autres instruments de contrôle inventés par leurs maîtres. Ils financent et contrôlent les événements politiques dans leur secteur, nomment des candidats et sont rarement opposés avec succès dans leurs plans. [...]

Ces événements après le passage du Federal Reserve Act ont prouvé chacune des allégations que Thomas Jefferson avait fait contre une banque centrale en 1791 : que les souscripteurs à la valeur de la Banque de Réserve Fédérale avaient formé une société, dont les actions pourraient être et étaient tenues par des étrangers; que ces actions seraient transmises à une certaine lignée de successeurs; qu'elles seraient placées au-delà de la confiscation et déshérence; qu'ils reçoivent un monopole d'opérations de banque, ce qui était contre les lois de monopole; et qu'ils avaient maintenant le pouvoir de faire des lois, au-dessus des lois des états. Aucune législature de l'Etat ne peut annuler aucune des lois fixées par le Conseil d'Administration de la Réserve Fédérale à l'avantage de leurs actionnaires privés. Ce conseil publie des lois quant à ce que le taux d'intérêt sera, ce que sera la quantité d'argent et quel sera le prix de l'argent. Tous ces pouvoirs abrogent les pouvoirs des législatures de l'Etat et leur responsabilité envers les citoyens de ces états. [...]

Les dix plus grands holdings de banque aux Etats-Unis sont fermement dans les mains de certaines banques, dont toutes ont des filiales à Londres. Ce sont J.P. Morgan Company, Brown Brothers Harriman, Warburg, Kuhn Loeb et J. Henry Schroder. Tous maintiennent des rapports proches avec la Maison de Rothschild, principalement par le contrôle de Rothschild des marchés de capitaux internationaux par sa manipulation du prix de l'or. Chaque jour, le prix mondial de l'or est fixé dans le bureau de Londres de N.M. Rothschild & Company. (Secrets of the Federal Reserve (Secrets de la Réserve Fédérale), Griffin, 1952)

Le Congrès adopte la loi Clayton Anti-trust.

Le Congrès adopte le Federal Trade Commission Act.

L'Archiduc Ferdinand est assassiné. Débuts de la Première Guerre Mondiale. Le Président américain Woodrow Wilson proclame la neutralité américaine.

La J. Henry Schroder Banking Company joua un rôle important dans les coulisses de la Première Guerre Mondiale. Aucun historien n'a une explication raisonnable de la manière dont la Première Guerre Mondiale commença. L'Archiduc Ferdinand fut assassiné à Sarajevo par Gavril Princeps, l'Autriche exigea une excuse de la Serbie et la Serbie envoya la note d'excuse. Malgré cela, l'Autriche déclara la guerre et bientôt les autres nations d'Europe rejoignirent la rixe. Une fois que la guerre était commencée, il fut  trouvé qu'il n'était pas facile de la faire continuer. Le problème principal était que l'Allemagne manquait désespérément de nourriture et de charbon et sans l'Allemagne, la guerre ne pouvait pas continuer.

John Hamill dans The Strange Career of Mr. Hoover (La Carrière Étrange de M. Hoover)  explique comment le problème a été résolu. Il nous dit que l'initiative est venue des autorités allemandes en Belgique par leurs relations continues avec le  American Relief Committee (Comité du Secours Américain). Hamill fait remarquer "C'est ce pour quoi le Relief Committee belge était organisé - pour maintenir l'alimentation en Allemagne." La Relief Commission belge était organisée par Emile Francqui, directeur d'une grande banque belge, la Société Générale et un promoteur de mines de Londres, un Américain nommé Herbert Hoover, qui avait été associé à Francqui dans un certain nombre de scandales qui étaient devenus des affaires de justice célèbres, notamment le scandale de la Kaiping Coal Company en Chine, dits avoir mis en route la Rébellion des Boxers, qui avait pour but l'expulsion de tous les hommes d'affaires étrangers de la Chine. Hoover avait aussi effectué un certain nombre d'initiatives d'extraction dans diverses parties du monde comme agent secret pour les Rothschilds et avait été récompensé avec un directoire dans une des principales entreprises de Rothschild, les Mines Rio Tinto en Espagne et en Bolivie.

Hoover avait été empêché d'avoir affaire à la Bourse de Londres à cause d'un jugement contre lui, et son associé, Stanley Rowe, avait été envoyé en prison pendant dix ans. Avec ce passé, Hoover fut appelé à un choix idéal pour une carrière dans le travail humanitaire. (John Hamill The Strange Career of Mr. Hoover, William Faro, New York, 1931 - Les copies du livre d'Hamill ont été systématiquement localisées et détruites par des agents du gouvernement, parce qu'il a été publié à la veille de la campagne de réélection du Président Hoover).

Bien que son nom soit inconnu aux Etats-Unis, Emile Francqui était l'esprit dirigeant  derrière l'ascension d'Herbert Hoover à la fortune. Hamill (à la page 156) identifie Francqui comme le directeur de beaucoup d'atrocités commises contre les indigènes au Congo. "Pour chaque cartouche qu'ils dépensaient, ils devaient présenter la main d'un homme". Hamill dit aussi que Francqui "dupa" les Américains hors de la concession du chemin de fer d'Hankow-Canton en Chine en 1901 et en même temps était resté en attente" dans le cas où Hoover aurait eu besoin d'une aide supplémentaire dans la "prise" des houillères Kaiping.

C'est l'humanitaire qui avait la charge unique de la distribution du "secours" belge pendant la Guerre mondiale, pour laquelle Hoover faisait l'achat et le chargement. Francqui était un directeur avec Hoover, dans la Chinese Engineering and Mining Company (les mines Kaiping), par laquelle Hoover transporta 200 000 ouvriers esclaves chinois au Congo pour travailler dans les mines de cuivre de Francqui. "

Hamill dit à la page 311 que "Francqui a ouvert les bureaux du Belgian Relief dans sa banque, la Société Générale, comme un one man show, avec une lettre de permission du Gouverneur-général allemand von der Goltz daté du 16 octobre 1914. Francqui et Hoover se jetèrent dans la tâche apparemment impossible de ravitailler l'Allemagne pendant la Première Guerre Mondiale."

Le Président Wilson prononce un discours au Hall d'Indépendance à Philadelphie sur la signification de la Déclaration d'Indépendance. Il prononce les mots célèbres, "Notre pays, juste ou dans l'erreur." La santé d'Ellen Wilson commence à chuter au début de l'année, de la maladie de Bright. Informé qu'elle meurt, le Congrès passe à la hâte un projet de loi pour le dégagement de taudis à Washington qu'elle avait beaucoup à cœur pour que l'on puisse en parler avant qu'elle ne meure. Elle meurt le 6 août. Le président deviendra solitaire et diminué.

Canada, Ontario. Huit témoins ont vu un OVNI flotter sur l'eau de la Georgian Bay. Les entités manipulaient un tuyau plongé dans l'eau. En voyant les témoins, ils sont retournés à l'intérieur, tous sauf un qui était toujours à l'extérieur quand l'engin a décollé.

1915

Le succès de Francqui et Hoover au ravitaillement de l'Allemagne pendant la Première Guerre Mondiale fut noté dans Norddeutsche Allgemeine Zeitung, le 13 mars 1915, qui notait que de grandes quantités d'alimentation arrivaient maintenant de la Belgique par le train. L'Annuaire de Schmoller pour la Législation, l'Administration et l'Économie Politique pour 1916, montre qu'un milliard de livres de viande, 1,5 milliards de livres de pommes de terre, 1,5 milliards de livres de pain et cent vingt et un millions de livres de beurre avait été expédiés de la Belgique vers l'Allemagne cette année. Une femme britannique patriotique qui avait fait fonctionner un petit hôpital en Belgique pendant plusieurs années, Edith Cavell, a écrit au Nursing Mirror à Londres, le 15 avril 1915, se plaignant que des provisions du "Secours belge" soient expédiées en Allemagne pour alimenter l'armée allemande. Les Allemands ont considéré Mlle Cavell n'être d'aucune importance et ne lui ont prêté aucune attention, mais le Service secret britannique à Londres a été épouvanté par la découverte de Mlle Cavell et exigé que les Allemands l'arrêtent comme espionne. Monsieur William Wiseman, le chef de l'Intelligence britannique et associé de la Kuhn Loeb Company, a craint que la durée de la guerre ne soit en jeu et a secrètement notifié les Allemands que Mlle Cavell soit exécutée. Les Allemands l'ont à contrecœur arrêtée et l'ont chargée d'aider des prisonniers de guerre à s'échapper. La pénalité habituelle pour cette violation était un emprisonnement de trois mois, mais les Allemands se sont inclinés aux demandes de Sir William Wiseman et ont tué Edith Cavell, créant ainsi un des principaux martyrs de la Première Guerre Mondiale.

28 états américains avaient invalidé des mariages entre 'des Noirs et des personnes blanches'.

Canada. Il a été affiché dans les journaux du temps comme l'Invasion Fantôme du Canada. Un avion mystérieux a envahi les cieux et la capitale de cette nation.

L' American International Corporation (Société Internationale Américaine) (AIC) a été organisée à New York le 22 novembre 1915, par les intérêts de J.P. Morgan, avec la participation principale de la Stillman's National City Bank et les intérêts de Rockefeller. Le bureau général de l'AIC était à 120 Broadway. La charte de la société l'a autorisé à s'engager dans n'importe quelle sorte d'affaire, sauf des utilitaires bancaires et publics, dans n'importe quel pays dans le monde. Le but exposé de la société était de développer des entreprises intérieures et étrangères, étendre les activités américaines à l'étranger et promouvoir les intérêts de banquiers, affaires et ingénierie américains et étrangers. L'autorisation de capital originale était de 50 millions de $ et le conseil d'administration a représenté les lumières principales du monde financier de New York. La société a établi la représentation à Londres, Paris, Buenos Aires et Pékin aussi bien qu'à Petrograd, en Russie. Moins de deux ans après sa formation, AIC fonctionnait à une échelle substantielle en Australie, Argentine, Uruguay, Paraguay, Colombie, Brésil, Chili, Chine, Japon, Inde, Ceylan, Italie, Suisse, France, Espagne, Cuba, Mexique et d'autres pays en Amérique Centrale.

American International possédait entièrement plusieurs sociétés subsidiaires, avaient des intérêts substantiels dans encore d'autres sociétés et faisait fonctionner toujours d'autres sociétés aux Etats-Unis et à l'étranger. AIC investit aussi dans la United Fruit Company, qui a été impliquée dans des révolutions de l'Amérique centrale dans les années 1920.

1916

Avec Edith Cavell éliminée du chemin, l'opération "Secours belge" a continué, bien qu'en 1916, des émissaires allemands se soient de nouveau approchés des fonctionnaires de Londres avec l'information qu'ils n'ont pas crue que l'Allemagne pourrait continuer des opérations militaires, non seulement à cause des manques d'alimentation, mais à cause des problèmes financiers. Plus de "soulagement de secours" fut envoyé et l'Allemagne continua dans la guerre jusqu'en novembre 1918. Deux des aides principaux de Hoover étaient un ancien employé dans l'expédition de bois de charpente  de la Côte Ouest, Prentiss Gray, et Julius H. Granges, un vendeur de grain de Duluth. Les deux hommes sont devenus associés dans la  J. Henry Schroder Banking Corporation à New York après la guerre et amassèrent de grandes fortunes, principalement dans les céréales et le sucre.

Le Congrès adopte le Shipping Act.

Le Président Wilson ordonne au Général John J. Pershing de poursuivre le rebelle mexicain Pancho Villa profondément dans le Mexique. Ils ne l'attrapent pas. Seule une série d'événements dramatiques empêchera la guerre ouverte entre le Mexique et les Etats-Unis.

La Allied Machinery Company of America fut fondée en février 1916 et le capital entier pris par la American International Corporation. Le vice-président de l'American International Corporation était Frederick Holbrook, un ingénieur et autrefois chef de la Holbrook Cabot & Rollins Corporation.

Irlande, Ballinasloe. On a vu un objet brillant planant dans le ciel. Il fut visible pendant quinze minutes avant de se déplacer vers le nord-ouest. Il fut alors observé planer pendant encore quarante-cinq minutes. Il a finalement disparu pour de bon après que Vénus se lève à l'horizon.

Léon Trotski fut expulsé de France, officiellement à cause de sa participation à la conférence Zimmerwald, mais aussi sans doute à cause des articles incendiaires écrits pour Nashe Slovo, un journal en russe imprimé à Paris. En septembre 1916, Trotski a été poliment escorté à travers la frontière espagnole par la police française. Quelques jours après, la police de Madrid l'a arrêté et l'a logé dans une "cellule de première classe" pour un coût de "une et demi" pesetas par jour. Par la suite Trotski fut emmené à Cadix, puis à Barcelone pour être finalement placé à bord du vapeur de la Compagnie  Transatlantique Espagnole Monserrat. Trotski et sa famille traversèrent l'Océan Atlantique et arrivèrent à New York le 13 janvier 1917.

1917

En janvier la Grace Russian Company fut formée, les copropriétaires étant W. R. Grace & Co. Et la San Galli Trading Company of Petrograd. L'American International Corporation avait un investissement substantiel dans la Grace Russian Company et par Holbrook un directoire entrecroisant.

Trotski écrivit dans son autobiographie, Ma Vie, "Ma seule profession à New York était celle d'un socialiste révolutionnaire." Cependant, l'appartement de la famille Trotski à New York avait un réfrigérateur et un téléphone et, selon Trotski, la famille voyageait de temps en temps dans une limousine avec chauffeur. Le niveau de vie élégant est aussi en désaccord avec le revenu annoncé de Trotski. Les seuls fonds que Trotski admet recevoir en 1916 et 1917 sont 310 $ et, dit Trotski, "J'ai distribué 310 $ à cinq émigrants qui retournaient en Russie." Cependant, Trotski avait payé pour une cellule de première classe en Espagne, la famille Trotski avait voyagé à travers l'Europe jusqu'aux Etats-Unis, ils avaient acquis un appartement excellent à New York - le paiement du loyer avec trois mois d'avance - et ils avaient l'usage d'une limousine avec chauffeur. Tout cela sur les bénéfices d'un révolutionnaire appauvri pour quelques articles pour les journaux en russe à faible tirage Nashe Slovo à Paris et Novy Mir à New York! Trotski prétendait  que ceux qui ont dit qu'il avait d'autres sources de revenu étaient des "calomniateurs" répandant des "calomnies stupides" et des "mensonges", mais évidemment Trotski avait une source de revenu non déclarée.

Portugal, Fatima. Des phénomènes incluant des disques, comme un "avion de lumière," furent décrits exactement en ces termes par les témoins de la cinquième apparition. Aussi observées étaient des détonations supersoniques doubles, des protubérances légères, des charges électrostatiques et des "étoiles" se déplaçant, des fleurs blanches mystérieuses ou la neige qui est tombée de "l'avion de lumière,", mais a disparu quand elle a pris contact avec le sol. Ces descriptions de "neige" ou de "fleurs" blanches mystérieuses sont tout à fait semblables aux descriptions de "cheveux d'ange" qui sont bien connues de quelques cas d'OVNIs célèbres. Cela a été accompagné par des phénomènes aériens non expliqués complémentaires, en forme de sphères rayonnantes et d'objets en forme de disque. L'histoire donnée était qu'un disque d'argent apparut de même que "la pluie s'est arrêtée et les nuages se sont enroulés en arrière, le soleil s'obscurcit et tout prit une apparition grise, opaque". Le disque plongea alors dans un mouvement irrégulier, en zigzag vers la foule, s'arrêta juste au-dessus de leurs têtes et manœuvra ensuite lentement en arrière dans le ciel. Comme il s'effaçait de la vue, le soleil s'éclaira et commença à briller de nouveau normalement. Un journaliste local prit une photo du disque.

Allemagne, Bonn. Le pilote de chasse flamboyant Baron Manfred von Richtofen, connu comme le Baron Rouge, a non seulement abattu 80 avions ennemis pour les Allemands pendant la Première Guerre Mondiale, il est revendiqué qu'il était aussi le premier homme dans l'histoire à abattre un vaisseau spatial alien! L'ancien as de l'Armée de l'air allemande Peter Waitzrik dit qu'il a observé avec étonnement tandis que le pilote de chasse d'élite descendait un OVNI avec des feux oranges onduleux dans le ciel de la Belgique en 1917. Puis, dit Waitzrik, il regarda fixement avec incrédulité tandis que deux occupants contusionnés et meurtris de l'engin abattu descendirent de leur vaisseau spatial et détalèrent dans les bois - apparemment pour ne jamais être vus de nouveau.

"Le Baron et moi avons donné un rapport complet sur l'incident au quartier général et ils nous ont dit de ne pas jamais le mentionner de nouveau," le pilote de ligne aérienne retraité bagarreur, de 105 ans a récemment dit à un journaliste. "Et à part ma femme et mes petits enfants, je ne l'ai jamais dit à quiconque. Mais c'était il y a plus de 80 ans, donc quelle différence cela pourrait-il probablement faire maintenant ?"

Waitzrik vieillissant a dit que lui et le Baron Manfred von Richtofen – l'illustre Baron Rouge - volaient dans une mission de bonne heure le matin sur la Belgique occidentale au printemps de 1917 où l'OVNI est soudainement apparu dans un ciel clair, bleu,  directement en avant de leur Fokker triplan. "Nous avons été terrifiés parce que nous n'avions jamais rien vu comme cela auparavant," s'est rappelé le brave arrière-grand-père de cinq enfants. "Les Etats-Unis venaient d'entrer en guerre, donc nous avons supposé que c'était quelque chose qu'ils avaient apporté." Le Baron a immédiatement ouvert le feu et la chose est descendue comme une roche, cassant les branches d'arbre tandis qu'il s'effondrait dans les bois. Alors les deux petits types chauves en sont sortis et sont partis en courant. "Waitzrik a dit qu'il a supposé que le vaisseau spatial scintillant comme l'argent était une sorte d'invention ennemie jusqu'à l'alarme de soucoupe volante qui a commencé à la fin des années 1940 l'a convaincu que son copain avait abattu un OVNI." La chose était peut-être de 40 mètres en diamètre et ressemblait à ces vaisseaux spatiaux en forme de soucoupe que tout le monde a vu pendant les 50 dernières années, "le vieillard effrayé a dit." S'il n'y a aucun doute dans mon esprit maintenant que ce n'était aucun avion de reconnaissance américain que le Baron avait abattu, c'était quelque vaisseau spatial d'une autre planète et ces petits types qui sont partis en courant dans les bois n'étaient pas des Américains, ils étaient des étrangers spatiaux d'une certaine sorte. "

L'Union Soviétique est formée après que le Tsar Nicolas II soit renversé. Il est souvent dit que Jacob Schiff de Kuhn & Loeb a financé la Révolution Russe, cependant, les documents dans les fichiers du Département d'Etat confirment que Jacob Schiff était en fait contre le soutien du régime Bolchevique. Cette position, comme nous verrons, était en contraste direct avec la promotion des Bolcheviques de Morgan-Rockefeller.

Wilson, qui était candidat à la présidence de nouveau sur le slogan, Ò Il nous a tenus hors de la guerre, Ó Commence son second mandat. En décembre, les Etats-Unis entrent dans la Première Guerre Mondiale.

G Amsinck & Co., Inc. de New York; le contrôle de la société fut acquis par l'American International Corporation en novembre 1917. Amsinck était la source de financement pour l'espionnage allemand aux Etats-Unis.

L'American International Corporation s'est formée en novembre, et a entièrement acquis la Symington Forge Corporation, un entrepreneur principal du gouvernement pour des forgeages d'obus. Par conséquent, l' American International Corporation avait un intérêt significatif dans les contrats de guerre aux Etats-Unis et à l'étranger. Elle avait un intérêt acquis dans la continuation de la Première Guerre Mondiale.

L'American International Shipbuilding Corporation appartenait complètement à l'AIC et signa des contrats substantiels sur des navires de guerre avec la Emergency Fleet Corporation: un contrat appela à cinquante navires, suivis par un autre contrat pour quarante navires, suivis par encore un autre contrat pour soixante navires cargos. L'American International Shipbuilding fut le seul plus grand bénéficiaire de contrats attribués par la Emergency Fleet Corporation du gouvernement américain.

Les directeurs d'American International (et certaines de leurs associations en 1917) :

J. OGDEN ARMOUR Meatpacker, de Armour & Company, Chicago; directeur de la National City Bank of New York; et mentionné par A. A. Heller en connexion avec le Bureau soviétique
GEORGE JOHNSON BALDWIN de Stone & Webster, 120 Broadway. Pendant la Première guerre mondiale Baldwin était président du conseil de l'American International Shipbuilding, vice-président senior de l'American International Corporation, directeur de G. Amsinck (Von Pavenstedt d'Amsinck était un trésorier de l'espionnage allemand aux Etats-Unis) et un administrateur de la Fondation Carnegie, qui a financé le Plan de Marburg pour que le socialisme international soit contrôlé dans les coulisses par la finance mondiale.
C. A. COFFIN Président de General Electric (bureau exécutif : 120 Broadway), président du comité de coopération de la Croix-Rouge américaine.
W. E. COREY (14 Wall Street) Directeur de l'American Bank Note Company, Mechanics and Metals Bank, Midvale Steel and Ordnance, et l'International Nickel Company; plus tard directeur de la National City Bank.
ROBERT DOLLAR magnat du transport à San Francisco, qui essaya au nom des Soviets d'importer des roubles tsaristes d'or aux Etats-Unis en 1920, en dérogation aux règlements américains.
PIERRE S. DU PONT de la famille du Pont.
PHILIP A. S. FRANKLIN Directeur de la National City Bank.
J.P. GRACE Directeur de la National City Bank.
R. F. HERRICK Directeur de la New York Life Insurance; ancien président de l'American Bankers Association; administrateur de la Fondation Carnegie.
OTTO H. KAHN  associé dans Kuhn, Loeb. Le père de Kahn arriva en Amérique en 1948, "ayant participé dans la révolution allemande avortée de cette année." Selon J. H. Thomas (socialiste britannique, financé par les Soviets), "le visage de Otto Kahn est vers la lumière." ???
H. W. PRITCHETT Administrateur de la Fondation Carnegie.
PERCY A. ROCKEFELLER Fils de John D. Rockefeller; marié à Isabel, fille de J. A. Stillman de la National City Bank.
JOHN D. RYAN Directeur de sociétés de mines de cuivre, National City Bank, et Mechanics & Metals Bank.
W. L. SAUNDERS Directeur de la Banque de Réserve Fédérale de New York, 120 Broadway et président d'Ingersoll-Rand. Selon National Cyclopaedia (26:81) : "Tout au long de la guerre il était un des conseillers présidentiels les plus écoutés."
J. A. STILLMAN Président de la National City Bank, après que son père (J. Stillman, président de NCB) décède en mars 1918.
C. A. STONE  Directeur (1920-22) de la Banque de Réserve Fédérale de New York, 120 Broadway; Président de Stone & Webster, 120 Broadway; Président (1916-23) de l'American International Corporation, 120 Broadway.
T. N. VAIL Président de la National City Bank de Troy, New York
F. A. VANDERLIP  Président de la National City Bank.
E. S. WEBSTER de Stone & Webster, 120 Broadway.
A. H. WIGGIN Directeur de la Banque de Réserve Fédérale de New York au début des années 1930.
BECKMAN WINTHROPE Directeur de la National City Bank.
WILLIAM WOODWARD Directeur de la Banque de Réserve Fédérale de New York, 120 Broadway et Hanover National Bank.

Les positions des vingt-deux directeurs de l'American International Corporation avec d'autres institutions sont significatives. La National City Bank avait pas moins de dix directeurs dans le conseil d'AIC; Stillman de NCB était à ce moment-là un intermédiaire entre les intérêts de Rockefeller et Morgan et tant les intérêts de Morgan que de Rockefeller étaient représentés directement à AIC. Kuhn, Loeb et les du Ponts, chacun avait un directeur. La Stone & Webster avait trois directeurs. Pas moins de quatre directeurs d'AIC (Saunders, Stone, Wiggin, Woodward) étaient soit les directeurs, soit  devaient ultérieurement rejoindre la Banque de Réserve Fédérale de New York. William Boyce Thompson, qui contribua aux fonds et son prestige considérable à la Révolution Bolchevique, était aussi un directeur de la Banque de Réserve Fédérale de New York - le directoire de la BRF de New York comprenait seulement neuf membres.

En 1917 les trois directeurs de Classe A de la BRF étaient Franklin D. Locke, William Woodward et Robert H. Treman. William Woodward était un directeur de l'American International Corporation (120 Broadway) et de la Hanover National Bank contrôlée par Rockefeller.

Les trois directeurs de Classe B étaient William Boyce Thompson, Henry R. Towne et Leslie R. Palmer. Nous avons déjà noté la contribution en espèces substantielle de William B. Thompson à la cause Bolchevique. Henry R. Towne était le président du conseil d'administration de Morris Plan de New York, situé à 120 Broadway; sa place fut prise postérieurement par Charles A. Stone de l' American International Corporation (120 Broadway) et de Stone & Webster (120 Broadway).

La trois directeurs de Classe C étaient Pierre Jay, W. L. Saunders et George Foster Peabody. On ne connaît rien de Pierre Jay, sauf que son bureau était à 120 Broadway et il a semblé être significatif seulement comme le propriétaire de Brearley School, Ltd. William Lawrence Saunders était aussi un directeur de l'American International Corporation; il a ouvertement avoué des sympathies pro-bolcheviques, les révélant dans une lettre au Président Woodrow Wilson. George Foster Peabody était un socialiste actif. En bref, des neuf directeurs de la Banque de Réserve Fédérale de New York, quatre étaient physiquement placés à 120 Broadway et deux étaient alors connectés avec l'American International Corporation. Et au moins quatre membres du conseil d'AIC étaient à un moment ou à un autre directeurs de la BRF de New York.

Woodrow Wilson fut la marraine magique qui a fourni à Trotski un passeport pour retourner en Russie pour "faire avancer" la révolution. Ce passeport américain était accompagné d'un visa d'entrée russe et d'un visa de transit britannique. Jennings C. Sage, dans Woodrow Wilson: Disciple of Revolution, fait le commentaire pertinent, "les historiens ne doivent jamais oublier que Woodrow Wilson, malgré les efforts de la police britannique, a permis à Leon Trotski d'entrer en Russie avec un passeport américain."

Par conséquent, en vertu du traitement préférentiel pour Trotski, quand le S.S. Kristianiafjord quitta New York le 26 mars 1917, Trotski était à bord et détenait un passeport américain - et en compagnie d'autres révolutionnaires trotskistes, des financiers de Wall Street, des communistes américains et d'autres personnes intéressantes, dont peu s'étaient embarquées pour une affaire légitime. Ce groupe mélangé de passagers a été décrit par Lincoln Steffens, le communiste américain :

La liste des passagers était longue et mystérieuse. Trotski était dans la classe la moins chère avec un groupe de révolutionnaires; il y avait un japonais révolutionnaire dans ma cabine. Il y avait beaucoup de hollandais se dépêchant de rentrer de Java, les seuls gens innocents à bord. Le reste était des messagers de guerre, deux de Wall Street à l'Allemagne....

Notamment, Lincoln Steffens était à bord en route pour la Russie à l'invitation spécifique de Charles Richard Crane, un protecteur et un ancien président du comité de finances du parti démocrate. Charles Crane, vice-président de la Crane Company, avait organisé la Westinghouse Company en Russie, était un membre de la mission de Root en Russie et avait fait pas moins de vingt-trois visites en Russie entre 1890 et 1930. Richard Crane, son fils, était alors l'aide confidentiel au Secrétaire D'Etat Robert Lansing. Selon l'ancien ambassadeur en Allemagne William Dodd, Crane "fit beaucoup pour provoquer la révolution Kerenski qui ouvrit le chemin au Communisme."

Et donc les commentaires de Steffens dans son journal sur les conversations à bord du S.S. Kristianiafjord sont fortement pertinents :

"... tous reconnaissent que la révolution est dans sa première phase seulement, qu'elle doit grandir. Crane et les radicaux russes sur le bateau pensent que nous serons à Petrograd pour la re-révolution."

Crane retourna aux Etats-Unis quand la Révolution Bolchevique (c'est-à-dire "la re-révolution") fut achevée et, bien qu'un citoyen privé, reçut des rapports immédiats du progrès de la Révolution Bolchevique tandis que des câbles étaient reçus au Département d'Etat. Par exemple, un mémorandum, daté du 11 décembre 1917, est intitulé "Copie du rapport sur le soulèvement Maximaliste pour M. Crane." Il provenait de Maddin Summers, consul général américain à Moscou.

L'image peu probable et embarrassante qui apparaît est que Charles Crane, un ami et protecteur de Woodrow Wilson et un financier en vue et un politicien, avait un rôle connu dans la "première" révolution et a voyagé en Russie au milieu de 1917 en compagnie du Communiste américain Lincoln Steffens, qui était en contact tant avec Woodrow Wilson qu'avec Trotski. Ce dernier portait à son tour un passeport publié aux ordres de Wilson et 10 000 $ de sources allemandes supposées. A son retour aux Etats-Unis après "a "re-révolution", on a accordé à Crane l'accès aux documents officiels concernant la consolidation du régime Bolchevique : c'est un ensemble d'événements imbriqués - si déconcertants - qui garantissent plus d'enquête et suggèrent un certain lien, quoique sans fournir à ce point la preuve, entre le financier Crane et le révolutionnaire Trotski.

Les documents sur le séjour bref de Trotski dans la détention  canadienne sont maintenant déclassés et disponibles des archives du gouvernement canadien. Selon ces archives, Trotski a été enlevé par le personnel naval canadien et britannique du S.S. Kristianiafjord à Halifax, Nouvelle Ecosse, le 3 avril 1917, inscrit comme un prisonnier de guerre allemand et interné à Amherst, Nouvelle Ecosse, la station d'internement pour des prisonniers allemands. Mme. Trotski, les deux garçons Trotski et cinq autres hommes sont décrits comme des "socialistes russes" ont été aussi pris et internés. Leurs noms sont enregistrés par les fichiers canadiens comme : Nickita Muchin, Leiba Fisheleff, Konstantin Romanchanco, Gregor Teheodnovski, Gerchon Melintchansky et Leon Bronstein Trotski (toutes les orthographes de documents canadiens originaux). [...]

Le groupe de Trotski a été enlevé du S.S. Kristianiafjord sous instructions officielles reçues par câblogramme du 29 mars 1917, Londres, provenant  vraisemblablement de l'Amirauté avec l'officier de contrôle naval à Halifax. Le câblogramme a annoncé que le groupe de Trotski était sur le "Christianiafjord" (sic) et devrait être "pris et conservé en attente d'instructions." La raison donnée à l'officier de contrôle naval à Halifax était que "ceux-ci sont des socialistes russes partant avec les buts de commencer une révolution contre le gouvernement russe présent pour lequel on annonce que Trotski a 10 000 dollars souscrits par des Socialistes et des Allemands."

Le 1er avril 1917, l'officier de contrôle naval, le Capitaine O. M. Makins, envoya un mémorandum confidentiel à l'officier général commandant à Halifax, dans le sens où il avait "examiné tous les passagers russes" à bord du S.S. Kristianiafjord et trouvé six hommes dans la section de deuxième classe :

"Ils sont tous des socialistes avérés et bien que professant un désir d'aider le nouveau gouvernement russe, pourraient bien être en coalition avec des socialistes allemands en Amérique et tout à fait probables d'être une grande entrave pour le gouvernement en Russie juste à présent."

Le document suivant dans les fichiers canadiens est daté du 7 avril, du chef du Personnel Général à Ottawa, au directeur d'opérations d'internement et accuse réception d'une lettre précédente (pas dans les fichiers) de l'internement des socialistes russes à Amherst, Nouvelle Ecosse :

"... dans cette connexion, doit vous informer de la réception d'un long télégramme hier du Consul général russe, MONTRÉAL, protestant contre l'arrestation de ces hommes alors qu'ils étaient en possession de passeports fournis par le Consul Général Russe, NEW YORK, U.S.A."

La réponse à ce télégramme de Montréal était dans le sens où les hommes étaient internés "sur le soupçon d'être allemands," et seraient libérés seulement sur la preuve définie de leur nationalité et fidélité aux Alliés.

Aucun télégramme du consul général russe à New York n'est dans les fichiers canadiens et on connaît que ce bureau était peu disposé à publier des passeports russes aux exilés politiques russes. Cependant, il y a un télégramme dans les fichiers d'un avocat de New York, N. Aleinikoff, à R. M. Coulter, alors ministre adjoint des Postes et Télécommunications du Canada. Le bureau du ministre des Postes et Télécommunications au Canada n'avait aucune connexion avec l'internement de prisonniers de guerre ou avec les activités militaires. En conséquence, ce télégramme était de la nature d'une intervention personnelle, non officielle. Il dit :

Docteur R. M. COULTER, Receveur des postes Genl. OTTAWA
Des exilés politiques russes retournant en Russie détenus au camp Amherst à Halifax. Examinez avec bonté et informez de la cause de la détention et des noms de tous les détenus. Confiant comme champion de liberté vous intercéderez sur leur défense. Télégraphiez s'il vous plaît en PCV.
NICHOLAS ALEINIKOFF

Le 11 avril, Coulter câble à Aleinikoff,

"Télégramme reçu. Vous écris cet après-midi. Vous devriez le recevoir demain soir. R. M. Coulter."

Ce télégramme fut envoyé par la Canadian Pacific Railway, mais porté au débit du Département de la Poste canadien. Normalement un télégramme d'affaires privées serait porté au débit du destinataire et ce n'était pas une affaire officielle.

La lettre à suivre de Coulter à Aleinikoff est intéressante parce que, après la confirmation que le groupe de Trotski soit détenu à Amherst, il déclare qu'ils étaient soupçonnés de propagande contre le gouvernement russe présent et "sont supposés être des agents de l'Allemagne." Coulter ajoute alors, "... ils ne sont pas ce qu'ils se représentent être"; le groupe Trotski est "... non retenu par le Canada, mais par les autorités Impériales." Après avoir assuré Aleinikoff que les détenus seraient relâchés, Coulter ajoute que n'importe quelle information "en leur faveur" serait transmise aux autorités militaires.

Le 11 avril Arthur Wolf de 134 East Broadway, New York, envoya un télégramme à Coulter. Quoiqu'envoyé de New York, ce télégramme, après accusé de réception, fut aussi porté au débit du Département de la Poste canadien.

Prêtez fortement attention à ceci: Dans l'affaire Trotski, ici nous avons deux résidants américains correspondant avec un ministre adjoint des Postes et Télécommunications canadien pour intervenir dans la défense d'un révolutionnaire russe interné, une question militaire canadienne ou Impériale d'importance internationale. L'action suivante de Coulter suggère quelque chose de plus qu'une intervention occasionnelle.

Après que Coulter ait accusé réception des télégrammes d'Aleinikoff et de Wolf, il écrivit au Major Général Willoughby Gwatkin du Département de la Milice et de la Défense à Ottawa - un homme d'influence significative dans l'armée canadienne - et attacha les copies des Télégrammes de Wolf et Aleinikoff. Il écrivit :

Ces hommes ont été hostiles à la Russie à cause de la manière dont les Juifs ont été traités et sont maintenant fortement en faveur de l'Administration présente, pour autant que je sache. Tous les deux sont des hommes responsables. Tous les deux sont des hommes honorables, et je vous envoie leurs télégrammes pour ce qu'ils peuvent valoir et pour que vous puissiez les représenter aux autorités anglaises si vous le considérez sage.

Coulter laisse entendre qu'il sait beaucoup sur Aleinikoff et Wolf. Sa lettre était en effet une référence de caractère et visait la source évidente du problème d'internement - Londres.

Gwatkin était bien connu à Londres et était en fait prêté au Canada par le  Bureau de la Guerre à Londres.

Aleinikoff envoya alors une lettre à Coulter pour le remercier

"Le plus chaleureusement pour l'intérêt que vous avez pris dans le destin des Exilés Politiques russes.... Vous me connaissez, l'estimé docteur Coulter et vous connaissez  aussi ma dévotion pour la cause de la liberté russe.... Heureusement je connais M. Trotski, M. Melnichahnsky et M. Chudnowsky ... intimement."

Il pourrait être noté en aparté que si Aleinikoff connaissait Trotski "intimement", donc il serait aussi probablement conscient que Trotski avait déclaré son intention de retourner en Russie pour renverser le Gouvernement Temporaire et instituer la "re-révolution".

Au reçu de la lettre d'Aleinikoff, Coulter immédiatement (le 16 avril) l'expédia au Major Général Gwatkin, ajoutant qu'il fit la connaissance de Aleinikoff

"En connexion avec l'action Départementale sur les journaux  des Etats-Unis en langue russe" et qu'Aleinikoff travaillait "dans les mêmes domaines que M. Wolf ... qui était un prisonnier échappé de Sibérie."

Précédemment, le 14 avril, Gwatkin envoya un mémorandum à son homologue naval au Comité Interdépartemental Militaire Canadien répétant que les internés étaient des socialistes russes avec "10 000 dollars souscrits par des socialistes et des Allemands." Le paragraphe concluant déclarait : "d'autre part il y a ceux qui déclarent qu'un acte d'injustice autoritaire a été commis."

Puis le 16 avril, le Vice-Amiral C. E. Kingsmill, directeur du Service Naval, prit l'intervention de Gwatkin à sa valeur nominale. Dans une lettre au Capitaine Makins, l'officier du contrôle naval à Halifax, il déclara, "les autorités de la Milice demandent qu'une décision quant à leur (c'est-à-dire les six russes) évacuation puisse être activée." Une copie de cette instruction fut relayée à Gwatkin qui a à son tour informa le Ministre adjoint des Postes et Télécommunications Coulter.

Trois jours plus tard, Gwatkin mit la pression. Dans un mémorandum du 20 avril au secrétaire naval, il écrivit, "pouvez-vous dire, s'il vous plaît, si vraiment le Bureau du Contrôle Naval a donné une décision ?"

Le même jour (le 20 avril) le Capitaine Makins écrivit à l'Amiral Kingsmill expliquant ses raisons de relâcher Trotski; il refusa de subir des pressions dans le fait de prendre une décision, déclarant, "Je câblerai à l'Amirauté les informant que les autorités de la Milice demandent une décision rapide quant à leur évacuation."

Cependant, le jour suivant, le 21 avril, Gwatkin écrivit à Coulter :

"Nos amis les socialistes russes doivent être relâchés; et les dispositions sont prises pour leur passage en Europe."

L'ordre à Makins pour la libération de Trotski provenait de l'Amirauté, à Londres. Coulter accusa réception de l'information, "qui plaira immensément à nos correspondants de New York."

Nous pouvons conclure que Coulter et Gwatkin étaient intensément intéressés par la libération de Trotski, mais nous ne savons pas pourquoi. Il y avait peu dans la carrière du Ministre adjoint des Postes et Télécommunications Coulter ou du Général Principal Gwatkin qui expliquerait une forte envie de libérer Léon Trotski.

Le Docteur Robert Miller Coulter était un docteur médical de parents écossais et irlandais, un libéral, un Franc-maçon et un membre de société secrète. Il fut nommé ministre adjoint des Postes et Télécommunications du Canada en 1897. Son unique prétention à la gloire provint d'être délégué à la Convention d'Union Postale Universelle en 1906 et délégué en Nouvelle-Zélande et en Australie en 1908 pour le projet "All Red". All Red n'avait aucun rapport avec les Révolutionnaires Rouges; c'était seulement un plan pour des navires à vapeur rapides tout-rouges ou tout-britanniques entre la Grande-Bretagne, le Canada et l'Australie.

Le Major Général Willoughby Gwatkin provenait d'une longue tradition militaire britannique (Cambridge et ensuite le Staff College). Un spécialiste en mobilisation, il servit au Canada de 1905 à 1918.

Etant donné seulement les documents dans les fichiers canadiens, nous ne pouvons que conclure que leur intervention dans la défense de Trotski est un mystère.

Le Lieutenant-Colonel John Bayne MacLean, un éditeur et un homme d'affaires canadien en vue, fondateur et président de la MacLean Publishing Company, Toronto, avec une association de longue date avec le Renseignement de l'armée canadien, a écrit pour son propre magazine MacLean, en 1918, un article intitulé "Pourquoi avons-nous laissé Trotski s'en aller ? Comment le Canada a Perdu une Occasion de Raccourcir la Guerre." L'article contenait une information détaillée et peu commune sur Léon Trotski qui fournit deux indices. Des rapports du gouvernement libérés depuis par le Canada, la Grande-Bretagne et les Etats-Unis confirment les indices de MacLean à un degré significatif. L'argument d'ouverture de MacLean est cela

"certains politiciens ou fonctionnaires canadiens furent principalement responsables de la prolongation de la guerre [la Première Guerre Mondiale], pour les grandes pertes humaines, les blessures et les souffrances de l'hiver de 1917 et les grands mouvements de 1918." En outre, "l'homme principalement responsable de la défection de la Russie était Trotski ... agissant sous des instructions allemandes."

Qui était Trotski ? Selon MacLean, Trotski n'était pas russe, mais allemand.

Étrange comme cela peut sembler, cela coïncide vraiment avec d'autres débris d'information du renseignement : à savoir, que Trotski parlait mieux allemand que russe et qu'il était le cadre russe du "Lien Noir" allemand.

Selon MacLean, Trotski en août 1914 avait été expulsé de Berlin "avec ostentation"; il est finalement arrivé aux Etats-Unis où il a organisé les révolutionnaires russes, aussi bien que les révolutionnaires au Canada Occidental, qui "étaient en grande partie des Allemands et des Autrichiens voyageant comme des Russes." MacLean continue : À l'origine les Britanniques trouvèrent par des associés russes que Kerenski, Lénine et quelques leaders moindres étaient pratiquement payés par les Allemands dès 1915 et ils ont découvert en 1916 les connexions avec Trotski vivant alors à New York.

Dans la première partie de 1916 un fonctionnaire allemand alla à New York par bateau. Les fonctionnaires du Renseignement britannique l'accompagnaient. Il fut arrêté à Halifax; mais sur leur instruction il a continué sa route avec des excuses prodigues pour le retard nécessaire. Après beaucoup de manœuvres, il arriva dans un petit bureau sale de presse dans les taudis et trouva là Trotski, à qui il porta des instructions importantes. De juin 1916, jusqu'à ce qu'ils ne l'aient transmis aux Anglais, la Bomb Squad de New York ne perdit jamais le contact avec Trotski. Ils ont découvert que son nom réel était Braunstein et qu'il était un allemand, pas un russe.

Une telle activité allemande dans des pays neutres est confirmée dans un  rapport (316-9-764-9) du Département d'Etat décrivant l'organisation de réfugiés russes pour des buts révolutionnaires.

En continuant, MacLean déclare que Trotski et quatre associés ont navigué sur "le S.S. Christiania" (sic) et le 3 avril s'annonçèrent au "Capitaine Making" (sic) et furent pris sur le bateau à Halifax sous la direction du Lieutenant Jones. (En réalité un groupe de neuf, y compris six hommes, a été débarqué du S.S. Kristianiafjord. Le nom de l'officier du contrôle naval à Halifax était le Capitaine O. M. Makins, R.N. Le nom de l'officier qui libéra le groupe de Trotski du bateau n'est pas dans les documents canadiens du gouvernement; Trotski a dit que c'était "Machen.") de nouveau, selon MacLean, l'argent de Trotski venait de "sources allemandes à New York."

MacLean déclare plus loin que Trotski a été relâché "à la demande de l'Ambassade britannique à Washington ... qui a agi à la requête du Département d'Etat américain, qui agissait pour quelqu'un d'autre."

Le thème du rapport de MacLean est que Trotski avait des relations intimes et a probablement travaillé pour l'Etat-Major allemand. Tandis que de telles relations ont été établies quant à Lénine - dans la mesure où  Lénine a été subventionné et son retour en Russie facilité par les Allemands - il apparaît certain que l'on a de la même façon aidé Trotski. Le fonds de 10000 $ de Trotski à New York était de sources allemandes et un document récemment déclassé dans les fichiers du Département d'Etat américain dit comme suit :

Le 9 mars 1918 : Au Consul américain, Vladivostok de Polk, Secrétaire d'Etat en activité, Washington D.C. Pour votre information confidentielle et prompte attention: la chose suivante est la substance du message du douze janvier de Von Schanz de la Banque Impériale Allemande à Trotski, cite un consentement de la banque impériale à l'appropriation du personnel de général de crédit de cinq millions de roubles pour envoyer le commissaire auxiliaire naval en chef Kudrisheff en Extrême-Orient.

Ce message suggère une certaine liaison entre Trotski et les Allemands en janvier 1918, un moment où Trotski proposait une alliance avec l'Ouest. Le Département d'Etat ne donne pas la provenance du télégramme, seulement qu'il provenait du War College Staff. Le Département d'Etat a vraiment traité le message comme authentique et a agi sur la base de l'authenticité assumée. C'est compatible avec le thème général de l'article du Colonel MacLean.

La documentation officielle démontre clairement deux visages à Trotski : un pour le public et un en privé. Par exemple, la Division des Affaires d'Extrême-Orient dans le Département d'Etat américain a reçu le 23 mars 1918, deux rapports provenant de Trotski; l'un est incompatible avec l'autre. Un rapport, daté du 20 mars et de Moscou, apparut dans le journal russe Russkoe Slovo. Le rapport citait une entrevue avec Trotski dans laquelle il déclarait :

"... toute alliance avec les Etats-Unis était impossible : la Russie des soviétiques ne peut pas s'aligner ... sur l'Amérique capitaliste car ce serait une trahison. Il est possible que les Américains cherchent un tel rapprochement avec nous, piloté par son antagonisme vers le Japon, mais en tout cas il ne peut y avoir aucune question d'une alliance par nous de quelque nature que ce soit avec une nation bourgeoise."

L'autre rapport, provenant aussi de Moscou, est un message daté du 17 mars 1918, trois jours plus tôt et de l'Ambassadeur Francis :

"Trotski demande que cinq officiers américains inspecteurs de l'armée soient organisés pour la défense, demande aussi des hommes et de l'équipement d'exploitation de chemin de fer."
Cette requête privée aux Etats-Unis est bien sûr incohérente avec le rejet public d'une "alliance".

Tant que nous voyons tous les révolutionnaires internationaux et tous les capitalistes internationaux comme les ennemis implacables l'un de l'autre, alors nous manquons un point critique - qu'il y a en effet eu une certaine  coopération opérationnelle entre des capitalistes internationaux, y compris des fascistes. Et il n'y a aucune raison a priori pour laquelle nous devrions rejeter Trotski comme une partie de cette alliance.

D'abord il y a Trotski, un révolutionnaire internationaliste russe avec les connexions allemandes qui suscite l'aide de deux partisans supposés du gouvernement du Prince Lvov en Russie (Aleinikoff et Wolf, résidants russes à New York). Ces deux enflamment l'action d'un ministre adjoint des Postes et Télécommunications canadien libéral, qui intercède à son tour avec un major général britannique D'armée en dans l'Etat-Major canadien. Ce sont des liens tous vérifiables.

Bref, les allégeances ne peuvent pas toujours consister en ce qu'ils sont appelés, ou apparaissent. Nous pouvons, cependant, conjecturer que Trotski, Aleinikoff, Wolf, Coulter et Gwatkin en agissant pour un objectif limité commun avaient aussi un certain but commun plus haut que l'allégeance nationale ou l'étiquette politique. Ce n'est qu'une supposition logique des faits. (WALL STREET ET LA RÉVOLUTION BOLCHEVIQUE Par Antony C. Sutton. 2001, version HTML créée dans les Etats-Unis d'Amérique par Studies in Reformed Theology)

Olof Aschberg et Nya Banken à Stockholm étaient majeurs dans le financement  Bolchevique.

Avec l'entrée des Etats-Unis dans la guerre, Barnes & Gary, les aides de Hoover dans l'Opération du Secours Belge, reçurent des postes importants dans l' U.S. Food Administration nouvellement créée, qui était placée aussi sous la direction d'Herbert Hoover. Barnes devint Président de la Grain Corporation of the U.S. Food Administration de 1917 à 1918 et Gary était chef de Marine Transportation. Un autre associé de  J. Henry Schroder ,G. A. Zabriskie, fut nommé chef du U.S. Sugar Equalization Board.

Hoover choisit Lewis Lichtenstein Strauss comme son aide principal dans l' U.S. Food Administration. Strauss devait bientôt devenir un associé dans la Kuhn Loeb Company, épousant la fille de Jérôme Hanauer de Kuhn Loeb. Partout dans son service avec la Commission du Secours Belge, l' U.S. Food Administration et, après la guerre, l'American Relief Administration, l'associé le plus proche de Hoover était un Edgar Rickard, né à Pontgibaud, en France. Après que Hoover fût devenu Ministre du Commerce sous Coolidge, Hamill nous dit que Hoover attribua à son ami les brevets de la Radio Hazeltine, qui lui paya un million de dollars par an en royalties.

 


En tant que propriétaires et éditeurs de ces pages, nous souhaitons souligner que le matériel présenté ici est le fruit de notre recherche et de notre expérimentation en communication supraluminique. Nous nous demandons parfois si les Cassiopéens sont ce qu¹ils prétendent être, parce que nous ne tenons rien pour vérité indiscutable. Nous prenons tout "cum granulo salis", même si nous considérons qu¹il y a de bonnes chances que ce soit la vérité. Nous analysons constamment ce matériel ainsi que beaucoup d¹autres qui attirent notre attention, issus de divers domaines de la Science et du mysticisme. Honnêtement, nous ne savons pas CE QU'EST la vérité, mais nous croyons qu¹elle est « quelque part par là» et que nous pouvons sans doute en découvrir une partie. Oui, nous pouvons dire que nos vies ont été enrichies par ces contacts, mais certains éléments nous ont aussi rendus perplexes et nous ont désorientés, et ils restent encore à être clarifiés. Nous avons certes trouvé beaucoup de «confirmations» et de « corroborations » dans d¹autres domaines, entre autres la Science et l¹Histoire, mais il y a aussi de nombreux éléments qui, par nature, sont invérifiables. C¹est pourquoi nous invitons le lecteur à partager notre recherche de la Vérité en lisant avec un esprit ouvert, mais sceptique.

Nous n¹encourageons pas « l'adepte-isme », ni aucune « Vraie Croyance ». Nous ENCOURAGEONS la recherche de la Connaissance et de la Conscience dans tous les domaines qui en valent la peine, comme le meilleur moyen de discerner le mensonge de la vérité. Voici ce que nous pouvons dire au lecteur: nous travaillons très dur, plusieurs heures par jour, et nous le faisons depuis de nombreuses années, pour découvrir la raison de notre existence sur Terre. C¹est notre vocation, notre queste, notre mission. Nous recherchons constamment à valider et/ou à affiner ce que nous envisageons comme possible, probable, ou les deux. Nous faisons cela avec l¹espoir sincère que toute l¹humanité pourra en bénéficier, si ce n¹est maintenant, alors dans un de nos futurs probables.

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